Arriver au bar/ Entrée (Les armes déposées les au vestiaire)

Ludwig s'arreta devant la réceptionniste.

Je voudrais récuperer mes affaires s'il vous plait: un manteau, un chapeau, et un 9 mm.

Merci.

Après s'etre rhabillé, Ludwig posa un billet de 5 dollars sur le comptoir, puis sortit en disant:

Au revoir.

Une fois dehors, il monta dans sa voiture et démarra pour rentrer chez lui.

Ramirez pénétrat dans le lieux, retira sa cape noir et la jetat sur la table avant de rtirer sa quatriéme ceinture (celle à laquelle pend le katana) puis il tendit l'arme à la femme qui s'occupé des vestiraire...

Naelle pénétra dans le bar un peu décobcertée après une heure à tenté de retrouver son chemin dans la ville qu'elle ne connaissait que depuis deux jours. Elle rentra dans le bar et après avoir déposer ses armes contempla la salle d'un air perplexe. Après être restée bien cinq minutes à jouer la potiche au milieu du chemin, elle alla s'asseoir à une table vide, dans un coin de la salle le temps de se remettre les idées en place.Elle commanda un verre d'une boisson "soft" et bu la première gorgée en silence.

Ses armes récupéré, il était directement partit vers un table vide et dans un coin calme..........un coin révé pour se saouler la geule en paix en reprenant de veilles habitudes luxueuses

De sa table elle voyait clairement un homme enchainé depuis près d'une demi-heure les verres. Sas qu'elle ne veuille vraiment se mêler de ce qui ne la regardait pas, elle se leva tout de même lorsqu'elle le vit entamer son cinquième verre. Elle arriva devant lui.

"Veuillez m'excuser, ce ne sont certes pas mes affaires mais ... Je ne crois pas qu'il soit très bon que vous enchainiez ainsi les verres..."

Ramirez ne l'écoutat, déploya ses aile spour se vautrer dans ses propre plume puis attrapa carrément la bouteille de champagne

"vous avez raison....ce ne sont pas vos affaires..........."

Naelle le regarda longuement aant de soupirer. Elle avait un instant oublié qu'ils étaient tous des cas désespérés dans cette ville. Elle s'éloigna et repatit à sa table d'une humeur encore plus morose qu'à son arrivée.

En arrivant au bar, le père Clarence souffla un instant. Il commençait à apprécier l'ambiance de cette ville. Allumant un énième cigare, il observa la jeune demoiselle qui l'avait suivi jusque là en discutant de religion. Il était étonné par l'étendue des connaissances dont la gamine faisait étalage.
Après avoir pris une grande aspiration, il plongea dans l'antre de débauche, dont la porte lui rappellait bizarrement une gravure qu'il avait vu dans sa jeunesse représentant une antichambre du purgatoire.

A l'intérieur de la batisse, par galanterie, il laissa passer la jeune donzelle. Il s'arrêta ensuite devant le videur, lui sourit et sorti sa paire de shotgun qu'il tendit poliment avec un sourire innocent. Devant l'air ébahi de la brute, il planta également son poignard sur le comptoir et y déposa une bible.

Lorsque l'homme lui retendit le livre saint, son sourire s'élargit , s'illumina même puis il la rangea dans son manteau. Il ôta avec respect son chapeau et entra lentement dans la salle principale, claquant légèrement plus des talons qu'il n'était nécessaire pour attirer l'attention.
Il appréciait ces moments de stupéfaction, lorsqu'il entrait dans des bouges et que les personnes présente s'arrêtaient de discuter pour poser lourdement leur regard sur son habit et son col resplendissant.

Une fois au bar, il souleva d'un geste thêatral son manteau et s'accouda au zinc. Après un rapide tour de salle, son attention revint sur le barman.

"Un bourbon, sec je vous prie".

Il sortit un billet de sa poche et le déposa sur le comptoir tandis que les discussions reprennaient dans son dos. Il s'aperçut à ce moment que son petit péché d'orgueil, son entrée, lui avait fait perdre la présence de la jeune Naëlle. Il se retourna et recommença son inspection plus longuement afin de la retrouver.

Naelle qui connaissait la salle pour y être allée ue fois, en avait refait le tour pendant qu'il déposait ses armes à l'entrée.Elle s'arrêta ou ralenti plusieurs fois d'étonnement, devant des personnes pour le moins étranges, voir même effrayantes... Elle passa finalement son chemin et continua à déambuler parmis les tables, divers canapés etautres choses multiples conçues pour satisfaire de vains plaisirs... Elle arriva devant une sorte de d'estrade. Elle regarda la scène, vide d'un air perplexe. Elle reprit son petit intinéraire de tour de salle. Elle ralentie devant une scène des plus bizarres. Rougissante, elle baissa la tête et accéléra d'un coup, percuttant quelqu'un de plein fouet.

"Gomen... Euh, pardon."

Dit-elle précipitemment avant de lever la tête vers la personne qu'elle venait de bousculer.

Lorsqu'il reussit enfin à la retrouver, la jeune fille se tenait rougissante et ennuyée devant une haute stature.

* Et merde...*

Il se leva et s'approcha d'elle son verre dans la main droite prêt à s'en servir de projectile si l'homme venait à s'en prendre à sa gamine.

* Ma gamine... mais qu'est ce que je raconte moi? Putain comme s'il était temps que je m'entiche d'une môme dans cette ville fangeuse*

Il n'empêche... Elle était entrée resplendissante dans son église et avait sourit. Des commes elles on n'en trouvait plus alors... qu'on tente de lui faire du mal...
Et la Divine Colère irradierait comme pour la chute du mur de Jéricho!!

Oscar suivait le couple mais faisait mine de déhambuller pour ne pas attirer leur attention. Il le savait : il avait cette chance de pouvoir passer inaperçu, mais il ne pensait pas pas être répéré tant ils étaient à leur discussion.

* Me demande bien pourquoi je les suis *

Il les vit s'engouffrer dans un batiment qui avait tout lieu d'être un bar, mal fréquenté c'était une certitude. Ca tombait bien, il avait soif, sa longue marche l'avait assoiffé et il avait bien besoin d'un scotch, un double même !

Il entra d'un trait et s'arrèta direct à "l'accueil", tenu par un garçon à la mine renfrogné. Sans attendre la moindre parole de sa part, il déposa délicatement sa paire d'automatique ainsi que la dague familiale qu'il cachait dans sa botte.

Avant d'entrer dans la salle, il se mit à l'aise et vérifia que son maillet pendait toujours à sa ceinture. Il entra....jeta un rapide coup d'oeil à la salle et repéra facilement l'homme qu'il suivait puisque l'énergumène s'activait à de grands gestes inutiles pour simplement s'accouder au comptoir.

* Bizarre ce curé, ressemble plus à un comédien de seconde zone en fin de carrière, m'enfin... *

Oscar se plaça face à l'homme d'église et lui dit d'un ton qu'il souhaita amical sans savoir s'il l'était vraiment :

" si c'est la jeune fille aux cheveuc blancs que vous cherchez, elle est assise à la table là bas "

Le temps que l'homme s'interpose entre lui et la jeune Naëlle, il avait perdu la fille des yeux. Il reporta donc son attention sur son nouvel interlocuteur.
En voyant le visage torturé de son vis à vis, il ne sut s'il devait rire ou ressentir de la pitié. Son coeur pris le dessus et il empoigna avec force et honneteté la main que l'homme lui tendait.

"Père Clarence NECRO, nouveau responsable de cette paroisse"
*de merde* ajouta t il intérieurement en espérant que son désarroi ne se voyait pas trop sur son visage.
" Mais appellez moi Père Clarence' ajouta t il en tentant d'apporter un peu de chaleur à l'homme qui lui faisait face. Comme chaque homme, il avait droit à l'amour de son prochain, et le Pere Espoir ne voyait pas pourquoi il lui aurait refusé cette attention.

Se rapprochant du bar, il demanda à son nouveau compagnon ce qu'il désirait prendre et fit signe au serveur de s'approcher de leurs sièges pour les servir.

Tout en parlant, il ne cessait d'observer la salle qui lui faisait face derrière son interlocuteur. Sa main droite tapotait nerveusement sur sa cuisse, là ou se trouvait sa bible: il y avait dans cette pièce une athmosphère troublante qu'il n'avait ressentit que de dans de rares occasions et qui l'oppressait.

Il tenta de se raccrocher à la discussion :
"Et vous alors pour quelle raison vous trouvez vous ici, mon fils?"

La voix de Père Clarence était chaude et il arborait un regard franc. Oscar Gheko ne se trompait rarement sur les gens aux premiers contact et il sut d'emblée que ce personnage était dans la droiture même s'il devait avoir certains actes à se faire pardonner.

Il empoigna la main que lui tendait l'homme d'église et la serra vigoureusement mais sans exagération.

" Oscar Gheko, enchanté de faire votre connaissance Père Clarence "

Il s'assit à côté de cet homme, loufoque par certains côtés avec cette mise en scène à son arrivée dans ce rade pourri mais surtout atypique pour un homme qui prèche les Saintes Ecritures.

* Ca doit être caucasse ses prêches au curé *

Il empoigna son verre, remarqua que son vis à vis était nerveux, but d'un trait son scotch, arpenta la salle du regard et fixa son interlocuteur.

" Je suis ici par hasard, Mon père, mes pas m'ont mené dans cette ville qui me semble à l'abandon de tout droit chemin...Mais je compte bien y remettre un peu d'ordre, du moins atténué le mal qui règne en ces lieux "

Naelle parut à ce moment là derière eux, l'air hagarde.

"Veuillez m'excuser père Clarence..."

Elle s'interompit, voyant le nouvel arivant qu'elle dévisagea un court instant avant de s'incliner brièvement en signe de salutations.

"J'espère ne pas vous déranger... J'avais pour simple intention de faire le tour de la salle mais mon manque d'adresse a fait que je suis tombé sur quelqu'un..."

Comme pourappuyer ses dires, le dit "quelqu'un" apparut derriere elle. D'après ce qu'elle pouvais ressentir des sentiments de cette personne, elle n'avait pas apprécié qu'elle refuse son verre à boire... Elle se tourna vers lui, toute gentillesse avait clairement disparue du visage e la jeune femme qui s'avança d'un pas vers l'homme.

"Je vous ai expliqué mes raisons et me suis excusée. Vous n'avez plus rien à ma demander alors partez."

L'homme parut vuloir répliquer un instant mais le regard ocre de la jeune femme ne le lui conseillant pas, il tourna les talons en maugréant. Naelle se retourna vers les deux hommes, son éternel sourire était de retour.

"Veuillez à nouveau accepter mes excuses pour ce dérangement, peut-être y ai-je été un peu fort..."

Elle regarda le drôle d'homme qui accompagnait Nécro.Elle lui tendit la main.

"Je m'apelle Naelle Calimnor et vous?"

(oops, désolée, j'ai cré un nouveau topic dans "comptoir" pour que l'on continue )

"C'est ici que vous devez deposez vos armes, apres rejoignez moi au comptoir. Je vais voir si mme Love peut vous recevoir de suite."
Il laiisa les deux personne et parti vers le comptoir.

Tyrannia déposa son poignard et déchargea son pistolet avant de le poser à côt de la lame. Elle remit ses balles en poche, puis hésita quelques secondes avant de poser son briquet.

Tyrannia soupira. Elle trouvait le temps long.

hj: on peut quand même essayer^^:hj

Exilon retira son épée,non sans dégouts,et la jeta au sol."Bon...Qu'attendons nous..."