Acceuil (obligation de poster ici en entrant)

[style, mes canines sont telement longues qu'elle dépassent de ma bouche, bref... J'vais arranger ça ^^]

Le destin avait voulu que par un curieux hasard, lors d'une conversation Tulkas avait apprit que la salle de muscu n'était autre qu'une taniere de Lycans. Dans cette meme conversation il avait entendu qu'un vampire y aurait laissé sa peau suite a un combat... mais ce n'était qu'une rumeur, et Tulkas n'était pas un etre qui pretait oreille a de telle sornette.

- Oui, je suis venu. j'tiens pas a ce qu'on dise que je n'ai pas de parole, alors me voila... Pour l'instant. balbutia Tulkas en jettant des coups d'oeil frénétiques vers la sortie.

Quand George lui dit qu'il ne devait pas en "ramener d'autres" le vampire comprit qu'il était démasqué et que tous ici, ou presque savait qu'il était un vampire.
- Oh, tu sais George, je ne ramene de la compagnie que pour le plaisir du sport... Et... aussi peut etre pour avoir un sentiment de sécurtié illusoire...

Il adressa un regard circulair a l'assemblée.
- Hum... ça sent le fauve ici... Hin hin hin... couinna-t-il en accompagnant cette plaisanterie d'un rire complétement débile. Cette vanne avait aussi pour but de signaler a George qu'il savait a qui il avait affaire. Mais Tulkas sembla bientot regretté ses paroles car il se remit a trembler de plus bel, et mis Malvina entre lui et le gros des troupes Lycannes.

- Effectivement, y a-t-il des regles ?! miaula-t-il pour rependre la question du grand Lycan a la peau noire, en adressant a celui-ci un sourir timide, dévoillant ainsi ses canines...

Malvina pressa la main de Tulkas comme pour lui faire passer un peu de son courage. Lorsqu’il la plaça entre lui et les lycans, eut un sourire en coin. Elle se dit que probablement il avait ce comportement on ne peut plus bizarre pour dérouter son adversaire… Elle détailla Arthas des pieds à la tête, mais n’émit aucun commentaire. Elle venait de pénétrer dans la tanière des plus grands ennemis des vampires et avait le ferme intention d’en ressortir entière.

Elle sourit à George, laissant apercevoir l’extrémité de ses canines bien pointues. Elle ne voulait provoquer personne, mais il était difficile de sourire sans qu’elles soient visibles.

"Monsieur, n’ayez crainte, je saurai me tenir. "

Léo.

"Hey p'tit commique!"

Dit lors le baraqué lycanthrope nommé Léo pour Tulkas interrompant George qui ne cesserait jamais de parler....

"Mademoiselle."

S'adressant à Malvina.

"P'tit gars......"

S'adressant maintenant à Arthas.

"Suivez moi, c'est par ici."

Dit il en leur faisant signe de le suivre d'un geste de son fusil à pompe munit d'une petite torche adaptée à l'aide de rubans adhésifs.
Il se dirigea alors ensuite vers les sous-sol, l'unique lumière qu'il produisait était seul guide dasn la salle suivit des sombres escaliers abimés pour enfin arriver dans une salle prévue pour les combats!

"Pour les regles c'est à voir avec Otto, z'avez peur de crever ?"


[je vous laisse poster votre chemin vers la salle, ensuite je poste au sous-sol^^]

- Oui. répondit simplement Tulkas a la derniere question de Léo. Une fois de plus il éclata d'un petit rire sans joie, qui ressemblait preque a des pleurs. Il regarda une derniere fois avec envie la porte de sortie, puis finalement il prit Malvina par la main en déclarant:

- Allons-y.
Sa voix etait sobre et clair. Le vampire semblait mal en point, outre la paleur habituelle de son teint, il etait pris de tremblement et il avait du mal a se fair obéir de ses jambes qui semblaient vouloir a tout prix trainner au sol...

Malvina salua Léo d’un signe de tête et lorsque Tulkas lui prit à nouveau la main, elle exerça une légère pression. Elle lui emboîta le pas en souriant. Il tremblait comme une feuille et elle avait bien envie de la serrer dans ses bras comme le ferait une maman avec son enfant, mais elle ne le fit pas, jugeant que ce n’était pas le moment d’en rajouter à sa panique. Elle se demanda toutefois comment il s’en sortirait lors du combat et surtout pourquoi il avait accepté !!! De toute évidence, il avait l’air terrorisé et Malvina commença à vraiment s’inquiéter pour Tulkas, mais n’en fit rien paraître. Elle lui glissa à l’oreille

"Allons, allons, plus vite vous le mettrez à terre et plus vite le combat sera terminé."

(HJ : absente ce soir /HJ)

Arthas suivit Léo, il ne craignait pas de se battre, mais il ne voulait pas finir comme sont père, dans la honte d'être mort contre un vampire. Il essaya d'adopter un ton neutre et dit:

"peut importe, mais cette homme semble avoir peur de mourrir alors si vous voulez qu'il combatte je crois qu'il va falloir que ce soit un combat par KO"

Esperant avoir partut sincère, Arthas continua de marcher, suivant Léo et les 2 vampires. Cela faisait longtemps qu'il n'Avait pas combattu et il espérait ne pas être rouillé.

Fendant la pluie et le bourrasque, une berline noire se gara dans une rue adjacente au lourd bâtiment servant de salle de musculation.

Le chauffeur de la berline en sortit, dépliant un grand parapluie noir. Il fit le tour de la voiture, puis ouvrit très gravement la porte arrière côté passager.

Un jeune homme aux airs sournois et éphèbes en sortit, dévoilant un lourd éventail noir. Il se plaça près de son chauffeur, Marc, qui était également son seul garde-du-corps aujourd'hui.

Les deux hommes se dirigèrent rapidement vers l'entrée du bâtiment, et y pénètrèrent en trombe pour échapper au déluge. Ils se présentèrent à l'accueil, et face au comptoir, Alexandre CanterChase dévoila ses dents blanches dans un sourire étincelant d'hypocrisie, puis parla avec ferveur.

"Bonjour. Je souhaiterai avoir un entretien avec votre patron. Est-ce possible sans rendez vous ?"

Marc, quant à lui, tenait ton parapluie fermé d'une main, et l'autre faisait des aller et retour entre son épaule droite et son rein gauche.

Taya était restée plutot paisible mais elle commençait vraiment a s'ennuyer , a tourner en rond , de plus elle ne se remettait toujours pas du dentier du vieux qui lui avait sourit .... Une envie de gerber lui venait de temps à autre ,mais malgrés ça elle avait gardé un visage plutot serein. Elle se fit plus discrette jusqu'a totalement disparaitre de nouveau et partir au loin dans les rues sombres...Elle était simplement venue pour voir les autres likans ... Mais la chance ne devait pas étre de son coté pour l'instant, elle finit donc par se résoudre à aller s'amuser un peu . Enfin s'amuser ça dépend pour qui...
De toute façon si besoin était elle referait son apparision... pour l'instant elle avait le temps...

Alexandre pensa soudain qu'apparement, nul n'était prêt à lui accorder une once d'intérêt dans ce sacntuaire de la barbarie.

Il décida donc de se dégager de comptoir où il avait espéré qu'on daignerait s'occuper de lui, et alla s'appuyer contre un mur. Son large éventail noir remuait doucement, tandis qu'Alexandre continuait de sourire sournoisement. Il passa un coup de téléphone, puis fit signe à Marc de se rapprocher de lui.

"Nous patienterons le temps qu'il faudra. Le temps n'est plus de l'argent quand il s'agit de profit."

Et le profit, il espèrait que son idée en serait pleine à craquer.

Marc sourit stupidement, arrachant un rictus dédaigneux à son employeur.

Son sourire étincelant d'hypocrisie ne changea pas. Il déposa sa carte sur un rebord du comptoir, puis dit ensuite.

"Et je vous en prie. Signalez lui bien que de gros intérêts sont en jeux."

Il s'inclina devant le vieil homme, puis fit signe à son body-guard de le suivre.

"Et bonne journée !"

Ils se dirigèrent en courant vers la Berline noire, Alexandre prit place en tant que passager, et Marc prit sa place de chauffeur.

Alexandre murmura :

"Allons faire un tour en ville."

La berline se gara dans une allée adjacente, comme précèdamment.

Alexandre et Marc pénètrèrent dans le bâtiment, Alexandre discutant au téléphone.

"Oui ... à la salle de musculation ..."

Il raccrocha, puis se présenta à l'accueil.

"Je souhaiterai voir votre patronne immèdiatement."

Pensée :
[Traqueur] : Suivre cette odeur n'aura pas été bien difficille : elle est si forte...
[Bangara] : C'est la même ! C'est la même ! Dans le grenier !
[Jean] : C'est bon on a compris... Mais bon si la dominante est ici je ne la vois pas.
[Traqueur] : Il n'y a cas demandé... Le guichetier est un des notre, cela se sent...

Action :
Jean s'approcha du contoir et fit un léger mouvement du buste. Il prit ensuite la parole de sa voix enjouée :" Salut ! Je voudrais parlé a la Patronne !" Il esperait que le Lyckan comprandrait le message ...