Appart' de Jackal

Cid toujours endormi dans sa douloureuse torpeur, l'inconscience du sommeil n'était pas pour lui, ses rèves n'était pas regènerant et la prise de morphine s'estompait depuis quelques longues minutes...

La muraille recédait... La brêche n'était plus colmaté et le ciment de l'oublie n'avait pas pris... La rivière en crue de sa tristesse vint innondait les champs de la souffrance et Cid gémit profondèment dans son sommeil maintenant proche du coma. Un grand trou noir où dans l'âbime rougeoi la terreur de ne plus se reveiller et l'espoir d'oublier...

Le jeune homme commença à se tordre sur le canapé, ses jambes aussi fines que celle d'une jeune femme frappaient inconsiament John. Poussé par un spames plus puissant que les autres Cid tomba du canapé dans le fouilli des objets de l'apart', il ne se reveillait toujours pas...

Elle était là... Son nom lui avait encore échappé alors que le visage était comme gravé dans la chair de sa douleur... L'oubliez et se réveiller c'était ce qu'il souhaitait le plus au monde... A moins... Ne plus se réveillez... Jamais restez là dans la douce vision de son visage, flambeau parmi les ombres. Reines parmi les gueuses. Immortel parmi les mortel... Vivant parmi les morts... Ses longs cheveux ondulait dans un vent qui soufflait chaud sur le visage ruisselant de larmes de Cid. Il tendit sa main vers Elle... Pas un battement de cil indiquait qu'elle ait pu comprendre la demande, le supplique, la prière de Cid...

Cid était maintenant au sol, sa grande silhouette décharné parmi les décombres de l'appartement. Sa main blanche se tendit vers les cieux... Appellent à des puissances bien plsu grande qu'un quelquonque dieux ou être supèrieurs... De ses yeux fermé ruisselait un torrent de larmes noires... Cid délirait en murmurant des paroles incomprehensible mais dont le ton ne laissait peu de doute sur leurs signification. Le jeune homme suppliait une personne qu'il était seul à voir de venir...

Revenir sur terre, dans cette ville de merde ! A quoi bon si c'est pour ne plus la voir, il s'était avançé vers elle et sa main rencontra sa fine peau pâle. Les longts doigts filiformes carressèrent la peau d'albâtre du doux visage... Une larme naquit dans les perles d'onyx, elle se perdit dans les plaines blanches et mourus à la commisures des lèvres... Cid ruissella de plus belle, son visage fin inondé il comtemplait son aimée et sa seul raison de vivre...

Cid la main en l'air carressait l'air, comme si il y semblait trouver une personne... Jackal se doutait bien qui était t'elle, et John aussi après le récit de la vie durant leurs discussion dans le cimetière... Mais Cid semblait maintenant hors du temps, uniquement concentré dans son monde brumeux occupé par sa seule préscence...

Ses lèvres rencontrèrent les siennes et leur amour explosa...Cid hors du temps revivait, pour un court instant son armure n'eut plus lieu d'être puis la jeune femme commença à disparaître... Les lèvres du jeune homme se détachèrent de la brume qui auparavant était sa bien aimée puis un souffle dispersa cette brume.
REVIENS !!!!!!!!!!!

Le cri réveilla le jeune homme... Il avait crié dans les deux mondes... A des milliers de kilomètres de là, dans une chambre endormis une jeune femme s'éveilla en sursaut, un prénoms sur ses lèvres vermillon...

CID

Dans la sombre Nécropole Cid ouvrit des yeux larmoyant de douleurs.

Jackal je l'ai touché ! Murmura t'il épris des limbes du sommeils... Son visage ruisselait toujours de larmes aussi noirs qu'un ciel d'orage... Son coeur empli des vision magiques sautait dans sa cage thoracique comme si il voulait s'envoler et rejoindre la jeune femme...

Nombre de messages : 455 Age : 53 Race : Humain Date d'inscription : 18/10/2005

Il souria lentement et sadiquement.

"Refait la façade...hum...bon choix..."

Soudain, Cid fût prit d'une sorte de transe aussi bien dans son rêve que dans la réalité. Il bougeait et murmurait et même criait pendant son sommeil semblant jusque là paisible. Jackal se mit rapidement debout lorsque Cid dit qu'il avait touché quelqu'un ou quelque chose :

"Quoi t'a touché ta queue ? Tu savais pas que t'en avais une ?!"

Sa remarque en premier lieu aggressive pouvait paraître digne d'un homme se foutant de tout.

"Bon, qu'est ce que t'as encore...?"

Lorsque John parla à Jackal de ce qu'ils avaient fait avec Cid pendant la soirée, il souria sadiquement, le regard emplie de folie. Lorsque Cid fit comme une crise épileptique, il remuait dans tout les sens, criant et gémissant à tout va.
John regarda Jackal se lever brusquement lorsque Cid ouvra difficilement les yeux pour s'adresser au propriètaire de l'appartement.
Jackal fit une remarque plutôt déplaisante à un homme dans cette situation, et qui plus est, sur un ton agressif.
John enleva se veste et la posa sur le sol, il s'approcha ensuite de Cid et lui prit la tête par dessous pour la relever. Il essuya avec sa manche les larmes qui coulaient de son visage, et le souleva pour l'allonger sur le canapé.
John se redressa ensuite et regarda Jackal d'un air mauvais sans rien dire de plus.

Les yeux de Cid ne cillèrent pas lorsque Jackal s'adressa à lui, pas plus qu'il ne reagit lorsque John le mit sur le canapé. Les yeux du jeune homme se fermèrent, cachant au yeux du monde l'horreur d'une âme éparpillé. Il retomba dans son coma... Le rêve avait laissé place aux cauchemars... Le corps du jeune homme se crispa sur son canapé...

C'est l'heure de la récolte des peines et des pleurs... La grande faucheuse s'avance, sous son large capuchon noir ses yeux sont invisibles, noirceurs dans l'ombre... Il se plante dans ceux de Cid. Le jeune homme gémit et la mort sourit. Le tanant de la rejoindre, lui pleurant qu'Elle est là... Pas loin et qu'elle l'attends... La faucheuse fini sa moisson et repars, sa carriole sombre portant les gerbes de la souffrance et sur sa faux quelques brin de pleurs...

Cid pleurs, de ses yeux s'échappe des torrents de gouttes noirs... Son visage blanc porte les marques de la douleurs. Isolé dans un monde qui n'appartient qu'a lui il ne voit personne lui tendre la main...

Le champ de douleurs disparait et laisse place à une mer obscure, déchainé... les grandes lames de fond l'engloutissent, il suffoque et esseye de garder la tête hors de l'eau. Chaque victoire sur une vague en ammêne une autre plus grosse. La mer, étendue de noirceurs l'engloutit enfin... Il lêve les bras pour remonter, remue les jambes mais rien n'y fait. L'eau noir de sa douleurs l'engloutit progressivement et dans sa descente faires les abîmes, profondeurs de la douleurs, les monstres marins se repêcent de sa chair brisé. Les crocs s'escriment contre sa peau blanche...

Sur le canapé Cid ne respire plus, Il remue comme pour nager et sortir d'un bassin qu'il est le seul à voir... Sa bouche s'ouvre et crache de l'eau noir comme l'ébène. Tordu par un spasmes plus violent que les autres il vomit de la bile, du sang et autres insanité présentes dans son corps. Son corps esseyant de rejeter la souffrance et la douleurs. Ses mains repoussent d'immaginaires creatures et sa peau se couvre de marques sanglantes...

Ses bottes touchent le fond de l'océan du désespoirs... Les bêtes ont disparues depuis quelques longues secondes... Le sol s'ouvre dans un grand précipices... L'eau à disparu et il tombe maintenant vers un âbime rougeoyant... Sa bouche s'ouvre et un long hurlement de bête agonisante s'en réchappe... Transpercant le silence millènaire du gouffre des pleurs... La vitesse de sa chute s'accentue et ses larmes se détache sur la noirceurs, maintenant goutte de sang...

Le corps sur le canapé semble s'agiter sous la contrainte d'une chute... Ses lèvres bleuis s'ouvre et sors de sa gorge un puissant cri de terreur rauque. Les larmes noirs se tarissent et ses yeux pleurs son sang... Sa respiration revient, haletante et cracheuse...

Il touche le fond... Sans douleurs... Il ne peut plus en ressentir de toute façons... Dans les deux mondes ses yeux s'ouvrent... Mais ils ne sont plus que douleurs et noirceurs... Deux orbites vide... Son monde à disparu et dans celui du commun il n'est plus que l'ombre de lui même. Sa bouche s'ouvre dans un pathetique effort il articule difficilement quelques mots...

Aidez... .... Moi... ... Pi...Tié...

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Jackal passa sa main dans ses cheveux rapidement et attrapa un bras de Cid pour le passer autour de sa nuque :

"Bon, fini, j'ai pas envie de me retrouver avec Cid mort sur mon canapé. On l'emmène à l'hosto point barre."

Il souleva le jeune homme de toutes ses forces mais le soulever d'un seul côté était bien trop désquilibrant et difficile pour un seul homme. Il tourna Cid vers John et lui dit :

"Aides moi. A moins que tu veuille voir Cid faire une overdose de je ne sais quelle merde..."

Jackal attendit que l'homme aux pentacles se décide à l'aider pour pouvoir emmener son seul et véritable ami à l'hôpital pour qu'il puisse être soigner...

John vit Jackal agir très rapidement et surement, il prit Cid par les bras pour tenter de la porter, il demanda ensuite à John de l'aider car il ne pouvait le faire seul.

Il se décida rapidement et prit les pieds de Cid pour le soulever tandis que Jackal prenait Cid par les bras.

"C'est bon je le tient bien avance vers la sortie vite !"

Les deux se dirigèrent vers la sortie portant leur ami commun en direction de l'hopital le plus vite possible.

[HRP : Je te laisse poster à l'hopital]

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