Nhael contemplait la ville, tel Babylone qui fut détruite par la puissance divine elle connaissait son heure de gloire, et cela ne durerait pas ; Il était le messagers de dieu qui les détruirait tous, et il pourrait enfin retourner au paradis, le temps de la compassions touchait à sa fin… La tolérance est un signe de faiblesse et Nhael le savait, il ne ferait plus jamais deux fois la même erreur mais toute fois, il laisserait une chance à ces ennemis, Dieu n’as t il pas dit d’aimer avant tout ses ennemis, car qu’elle intérêt il y aurait il à aimer ses amis ?Nhael ruminait ses pensées, tout en scrutant la ville de la débauche, l’allégorie de la perdition, était il vraiment bon de laisser une chance à ses démons ? Toutefois si s’en était le prix à payé il le paierait largement. Il déplia ses ailes et commença à s’envoler pour scruter la vile dans ses menus détails. Son éclatante couleur zébrait le ciel bleu nuit tel un éclaire. Il vit plusieurs choses atroces ; Un braquage, deux violes et un meurtre. Nhael n’en fut pas pour le moins troublé car c’était des hommes qui perpétrait ces monstruosité et dieu avait laissé aux hommes le choix d’êtres bon ou mauvais, intervertir dans se choix serait se prendre pour dieu… Toutefois une scène en particuliers fit monter sa haine, un homme venait d’en égorger un pour lui sucer le sang ; un vampire. Nhael les détestait plus que tout, il se saisit de sa lance et descendit en piquet(c’est le cas de le dire). Le choc fut terrible, le monstre aux crocs mourut avant même de savoir ce qu’il lui arrivait, sa cage thoracique éclatant sous l’impact de la lance, broyant donc ses poumons et son cœur. Nhael, malgré le choc atterrit calmement et ne fit en aucuns cas attention au vampire, il regarda plutôt le cadavre de l’homme à ses pieds, il sortit son briquet et grâce à son don le brûla, avec de la chance cet hommes rejoindrait le purgatoire en attente du jugement dernier. Il se tourna enfin sur ce qui restait du vampire, sa colère était toujours vibrante et elle lui faisait mal, il était temps d’adresser un messages ses ennemis de toujours…… Il se saisit de la carcasse du vampires, s’envola et le fixa sur le murs d’un grand immeuble. Il l’avait fixé en étoile, les jambes et les bras bien écarté pour que l’on observe bien la blessure et surtout que l’on distingue bien le message qu’il écrivait grâce au sang de la victime.
Votre règne s’achève.
Nhael sourit et disparu, dans un bruissement d’aile.
[H.J: je sais, je me suis beaucoup inspiré de la bd rapace, enfin bref post libre à tous les vampires ou démons qui tout ou tard périront sous ma lance.niark,niark]