Nécropole 7
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Une ville corrompue où tout peut arriver...
 
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 Klaus Merkel alias "le Corbeau"

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Der Rabe

Der Rabe


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MessageSujet: Klaus Merkel alias "le Corbeau"   Klaus Merkel alias "le Corbeau" EmptyDim 5 Fév - 21:30

Nom : Merkel

Prénom : Klaus

Surnom : « Der Rabe » ( le corbeau )

Clan : Draks ( Chef )

Age : 25

Description Physique :
Relativement grand, un mètre quatre vingt, il n’a pas vraiment la carrure d’un athlète. Le développement de son corps n’étant pas ce qui lui importe le plus, il l’a comme qui dirait négligé, lui donnant une silhouette frêle voir complètement décharnée. Albinos de naissance, il possède des yeux d’un bleu extrêmement pale. Ses cheveux originellement blancs, sont, la plupart du temps, teint d’un bleu profond et hérissés en une multitude de petites piques. Il possède, en outre, un visage de jeune premier ; son nez aquilin, ses sourcils discrets se fondent à merveille dans la pâleur extrême de son teint. Seule ombre au tableau, les cernes profondes qui naissent sous ses yeux seuls signes de fatigue que les excitants ne parviennent pas à dissimuler.
Son arrivée dans la nécropole s'est profondément inscrite dans sa chair, son visage porte la marque du franchissement du barrage de la milice ; lacérées, couvertes de coupure ses joues sont méconnaissables. Sa peau lisse et sans imperfection est devenue râpeuse et terne, la lividité maladive qui faisait la fierté de Klaus s'est peu a peu transformée en un gris terreux, immonde. Aucune des blessures subies pendant les premières heures passée dans la gigapole ne sont visibles au premier abords, Le Corbeau dépensant beaucoup de temps et d'argent a ce que ses faiblesses physiques soient totalement masquées a la vue des personnes qu'il est amené a rencontrer.

Style vestimentaire :
Suivant du mieux qu’il puisse les « normes » du courant gothique actuel, il porte généralement un large baggy usé, noir. Ses frêles épaules sont souvent recouvertes par un tee-shirt sombre a l’effigie des groupes de black métal qu’il se plait à écouter. Le tout étant complété, par des sombres rangers et, au besoin, par un long manteau de cuir. Son oreille gauche est bardée d’une multitude de piques et autres boucles d’oreilles ornementales. Une chaînette relit ainsi son lobe gauche a l’une de ses narines lui conférant un style assez inhabituel voir même étrange.

Description morale :
Extrêmement brillant dans sa jeunesse, il a développé au fil du temps une certaine prétention. Il est, en général, sûr de lui et il est extrêmement difficile de lui faire changer d’avis.
Son esprit scientifique lui permet, dans la majorité des cas, d’analyser les situations avant de se lancer dans une entreprise aussi insignifiante soit-elle.
Cependant son addiction aux amphétamines et autres substances excitantes, lui fait perdre peu a peu sa capacité à prendre du recul et le rend de plus en plus lunatique. Il est donc compliqué voir impossible de prévoir ses réactions à l’avance ; celles ci étant de plus en plus dictées par ses pulsions et son instinct.
A l'instar des marques physiques, l'intégrité mentale du Corbeau a subie l'acclimatation de ce dernier a la vie dans la Nécropole, de plein fouet. Sa lutte acharnée contre le communisme est progressivement passée au second plan, Klaus ayant découvert des choses qui lui avait fait changer ses opinions sur la race humaine de manière radicale. Pour lui la médiocrité dans laquelle l'humanité se complait est le fruit de décennies de dépravation et de déchéance ; les êtres se plaisant dans cette état de plus qu'indécent, ne méritent, selon lui, qu'une mort rapide et totalement arbitraire. C'est la seule solution qui, a ses yeux, lavera l'humanité et la rendra digne de ses exploits et ses découvertes passées.
Le Corbeau se sent donc investit d'une mission, celle de laver l'humanité de ce qu'il appelle la gangrène qui la ronge. Il est cependant conscient que cette tache est bien trop grande pour pouvoir être réalisée par lui seul. Tous les moyens sont donc bon pour arrivé a ses fins, il ne refusera l'aide de personne mais chacune de ses décisions est prise dans l'optique de réaliser ce pourquoi il vit, désormais, et rien ne le fera dévier de sa voie.

Histoire :
Né le 24 mars 1981 à Berlin Est, Klaus grandit dans un quartier ouvrier loin de toute forme de confort. Ses parents, bien que travaillant sans relâche toute la journée, avaient toutes les peines du monde à joindre les deux bouts. Le jeune garçon était plutôt brillant, il obtenait des notes plus que satisfaisantes dans toutes les matières clefs ; ce qui rendait ses parents extrêmement fiers.
Tous les jours, en rentrant de l’école, il longeait avec ses amis le mur qui les séparaient de la partie Ouest de la ville. Il ne se passait pas un jour sans qu’il voit un groupe d’immigrant tenter de passer de l’autre coté et de se faire refouler par la police moyennant un lynchage en règle. Il se surprenait alors à rêver qu’il était né de l’autre coté et que les hautes flèches de verres et d’acier qu’il voyait par-dessus le mur faisaient partie de son quotidien. La misère qu’il vivait chaque jour le dégoûtait, il était, bien qu’un peu jeune pour comprendre, sensible à la doctrine originelle de Marx et il ne voyait pas comment quelque chose qui était née du désir d’égalité entre les hommes avait pu donner naissance à une société aussi inégalitaire et autant ancrée dans la pauvreté.
Aussi étrange que cela puisse paraître, il ne nourrissait aucune haine envers ceux qui habitaient de l’autre coté du rideau de fer, peut être juste un peu d’envie mais ça s’arrêtait là. Dans la tête de l’enfant, le communisme était le seul responsable de la misère dans laquelle il grandissait et qu’il était tout juste bon à fournir des grands noms au sport international.
Alors que la plupart des enfants de son age espéraient devenir pompiers ou bien mécaniciens, le jeune Klaus n’avait qu’une seule envie : Etre celui qui ferait chuter le communisme et qui délivrerait tous ceux que cet atroce système avait opprimé. Il ne vivait plus que pour réaliser ce titanesque projet, sa chambre était emplie de nombreux plans d’actions et autres mesures qu’il lui faudrait prendre lorsqu’il aurait réussi à faire ployer devant lui le communisme en RDA puis en URSS. Ses parents ne comprenaient pas comment un enfant de son âge pouvait bien pondre autant de directives pour un projet qui a leurs yeux n’avaient aucune chance de réussir. Ils ne se soucièrent donc pas des délires de leur fils, pensant que le temps qui passerait finirait bien par lui faire oublier ses projets démesurés.
Seulement l’histoire en avait décidée autrement, tandis que Klaus continuait à faire ses plans pour l’avenir dans l’obscurité de sa chambre ; le communisme commençait à montrer ses premiers signes de faiblesse. La principale preuve de cette déficience s’exprima par la destruction du mur de Berlin en 1989, Klaus était alors âgé de huit ans. Il était trop jeune pour aider ses compatriotes à donner les derniers coups de masses a la structure de béton et d’acier qui avaient séparé les deux parties de Berlin pendant près de trente ans.
Klaus était bien sûr satisfait de ce coup porté au communisme mais au fond de lui il nourrissait une certaine amertume : Celle de ne pas avoir contribué activement a cette avancé pour la liberté des peuples d’Europe de l’Est. Cette frustration s’accrut en 1991 lorsque le Premier Secrétaire annonça la chute définitive de l’URSS. Il n’avait pas participé à l’anéantissement de ce qu’il haïssait le plus et cela lui laissait un goût amer, une sensation d’inutilité profonde. Dans sa colère et sa frustration, il brûla intégralement tout ce qu’il avait planifié et imaginé pendant toute son enfance. Et lorsque les flammes eurent transformées tous les cahiers et un tas de cendres, il jura d’éliminer totalement toute trace du communisme de la surface de la planète. Il n’avait pas porté le coup fatal a l’URSS mais il comptait bien être celui qui éradiquerait définitivement la collectivisation du globe.
L’explosion informatique, eut lieu et Klaus fut immédiatement attiré par tout ce qui touchait à cette nouvelle technologie qui offrait tant de possibilités. Le niveau de vie de sa famille s’était légèrement accrut et à force de tractations et de chantages, il parvint à pousser ses parents à se procurer un ordinateur et de le connecter à internet.
Son adolescence fut, somme toute, normale. Ses études lui prenaient beaucoup de son temps et dès qu’il avait du moment de libre il le passait devant l’écran de son pc. Son esprit brillant et sa curiosité lui permirent de maîtriser rapidement les rouages de l’immense réseau qu’était devenu le net. Et c’est de fil en aiguille qu’il commença à pirater divers site. Au départ c’était plus pour tromper l’ennui que pour nuire à la société mais il était clair que de s’introduire dans des domaines sans importance ne l’amuserait pas longtemps.
C’est ainsi qu’il s’initia au piratage de réseaux d’entreprises plus ou moins grandes pour y rechercher des informations confidentielles qu’il échangeait contre des sommes d’argent de plus en plus importante. Au fur et a mesure que ses exactions se multipliaient son renom augmentait de jours en jours jusqu'à ce qu’il représente une alternative intéressante aux pirates connus et dont les tarifs devenaient exorbitants. Entre temps il s’était peu a peu déconnecté de la réalité, il sortait de moins en moins de chez lui et n’allait pratiquement plus en cours sombrant de plus en plus dans l’isolement et dans le gothique. Les murs de sa chambre étaient recouverts de poster tous plus macabres les uns que les autres. Sa chaîne déversait sans discontinuer un flot de paroles et de sons défiant toute forme de raison ou de morale, qui se rapprochaient plus des bruits des usines que des symphonies classiques.
Il passait ses journées et ses nuits à déambuler sur le net à la recherche de contacts toujours plus démesurés à remplir. Klaus pouvait passer plusieurs jours consécutifs dans fermer l’œil pour honorer les demandes de ses « clients », il commença donc à boire énormément de café et à fumer plus que de raison. Mais au bout d’un moment, la caféine et la nicotine ne lui suffirent plus pour garder les yeux ouverts et il s’en remit à une solution plus radicale, à savoir les amphétamines. Celles-ci lui permettaient d’enchaîner les nuits blanches sans subir directement les effets de la fatigue et donc d’être plus productif à cours terme.
Sa réputation finie par le dépasser et beaucoup d’organisations se bousculaient pour bénéficier de son talent. Les contacts qu’il remplissait lui apportaient aussi une quantité non négligeable d’argent qu’il ne pouvait continuer à stocker sur son compte en Allemagne sans risquer d’attirer l’attention des autorités fiscales. C’est ainsi qu’il ouvrit son premier compte en Suisse et qu’il décida d’abandonner définitivement son nom se faisant exclusivement appeler par son pseudonyme : Der Rabe.
Les années passèrent ainsi sans gros écueils à déplorer, l’argent s’amassant de plus en plus et le corbeau fut rapidement connu dans le monde entier pour ses talents ou pour ses méfaits. Tout semblait aller pour le mieux pour le jeune homme mais sa dernière grosse opération fut un tel succès que les autorités mondiales finirent par se rendre compte de la menace qu’il représentait le classant instantanément comme un criminel de premier ordre et que sa capture devait être une priorité. Interpol diffusa donc un mandat d’arrêt international accompagné d’une prime plus qu’alléchante pour celui qui réussirait à leur livrer Le Corbeau.
Klaus vit dans cette prise de conscience soudaine une preuve de sa notoriété et il décida de mettre en place la seconde partie de son plan. Il prit contact, via le net, avec une guérilla communiste de Colombie qui luttait pour renverser l’autorité en place de leur pays. Il se présenta comme un expert en informatique ayant eu une illumination et qui souhaitait participer activement à la libération de la Colombie. Klaus savait pertinemment que ses groupes armés étaient financés par les gros cartels de drogue qui profitaient du climat instable du pays pour faire fructifier leurs trafics. Il comptait bien faire d’une pierre deux coups : frappant la guérilla et les narcotrafiquants simultanément.
Klaus s’envola donc pour l’Amérique Latine a l’age de vingt trois ans déterminé à intégrer ce front de libération pour le faire imploser ensuite et commencer son nettoyage de la terre de la présence communiste. Il n’eut pas trop de problème pour ce faire accepter au sein de la guérilla ; ses membres voyant en lui un camarade comme les autres. Après plus d’un an passé dans les montagnes à apprendre le maniement des explosifs et surtout leur fabrication, l’heure pour la guérilla de faire parler d’elle sonna. Le commandant du groupe armé avait prévu un attentat en plein cœur de Bogota. Klaus s’occupait des explosifs qui seraient placés dans une voiture et les guérilleros feraient le reste. Leurs mécènes verseraient ensuite de quoi prévoir les actions suivantes. Le plan était bien ficelé et rien d’extérieur semblait pouvoir le faire échouer.
Seulement Klaus ne l’entendait pas de cette oreille, il remplaça les sacs d’engrais par de la farine et désamorça les détonateurs avant de confier la voiture à ses prétendus camarades. Il donna ensuite son numéro de compte personnel aux barons de la drogue, leur demandant de verser la moitié de ce qui était prévu comme gage de bonne foi. Après s’être assurer que son compte avait bien été crédité des cents millions de dollars qui lui revenait. Il prit le premier vol pour Berlin et suivit depuis le ciel le fiasco qui avait provoqué.
La guérilla communiste perdit toute sa légitimité vis a vis de ses mécènes et de la population signant du même coup la fin de son existence. Les cartels demandèrent en plus que l’argent leur soit rendu. Et lorsque le chef de la guérilla demanda le virement ils s’aperçurent qu’ils s‘étaient fais avoir et que celui qu’ils connaissaient sous le nom du Corbeau les avait « baisés comme des bleus » avant de leur fausser compagnie.
Ne pouvant tolérer cet affront ils mirent la tête du traître a prix pour faire de lui un exemple. Ils offrirent quarante millions de billets verts a celui qui leur ramènerait sa tête. Une multitude de criminels de tous bords s’envola donc vers Berlin avec la ferme intention d’être les premiers à mettre la main sur cet oiseau de mauvaise augure.
Klaus eut vent de cette prime et s’empressa d’engager des gardes du corps pour assurer sa sécurité. Il alla même jusqu'à faire blinder sa voiture mais cela ne suffi malheureusement pas. Les attaques contre sa personne se multiplièrent et il lui fallait user de toute son intelligence et de tout le talent de sa garde personnelle pour se sortir de certaines situations plus que dangereuses. Klaus savait très bien que les choses n’allaient pas aller en s’améliorant et il décida de simuler sa mort pour se défaire d’un bon nombre de ses agresseurs. Il entra en contact avec une communauté de hackeurs qui avaient leur QG dans une ville connue sous le nom de la Nécropole. Ceux ci étaient près à l’accueillir dans leur organisation a condition que celui ci finance leurs actions. Klaus n’était pas vraiment en position pour être difficile et il accepta sans marchander.
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MessageSujet: Re: Klaus Merkel alias "le Corbeau"   Klaus Merkel alias "le Corbeau" EmptyDim 5 Fév - 21:33

Histoire : ( suite )
Avec la certitude d’avoir un endroit où se réfugier, il mit le feu a sa maison où il avait préalablement enfermé deux clochards qui erraient dans les environs. Il regarda pendant de longues minutes les flemmes dévorer doucement l’ossature de sa demeure se délectant des cris de détresse et de douleur des deux pauvres bougres pris au piège a l’intérieur. Il aurait assisté à ce spectacle de mort et de destruction pendant une éternité sans se lasser mais les sirènes des secours le forcèrent rapidement à écourter ce moment de plaisir. Accompagné de ses deux plus fidèles gardes du corps, il fit route vers la Nécropole où son avenir, aussi sombre soit-il, était sur le point de se jouer …


Son arrivée dans la Nécropole fut, a l'instar de ce qu'il a vécu ensuite, sanglante et marquée par l'empreinte quasi systématique d'une mort soudaine et violente. Les premières heures qu'il passa en son sein lui prouvèrent que l'enfer auquel il avait pensé échapper en venant ici, l'avait poursuivit et qu'il n'en serait jamais débarrassé. En témoigne son agression par une bande de paumés qui ne trouvèrent rien de mieux a faire que lui briser les jambes pour lui voler ce qu'il avait sur lui, le plongeant dans un coma partiel.
Le Corbeau du son salut a un jeune homme du nom de Dani qui l'amena a l'hôpital et qui resta a son chevet jusqu'à ce que celui ci ré ouvre a nouveau les yeux. Klaus fut surprit de voir quelqu'un dans sa chambre lorsqu'il revint a lui, habitué a être seul la plupart du temps. Le jeune homme qui ne révéla pas tout de suite ses réelles motivations, justifia sa présence grâce a un serment dont le Corbeau n'avait jamais entendu parlé mais dont il ne remit pas en cause la véracité ni même l'existence. Il n'était, de toute façon, pas en état de réfléchir et tout ce qu'on pouvait bien lui dire lui passait dix kilomètre au dessus de la tête.
Après quelques jours passés en observation a l'hôpital de la nécropole, le Corbeau immobilisé dans un fauteuil roulant partit a nouveau a l'assaut de la ville qui l'avait si profondément marqué. Dani l'emmena chez lui et lui proposa de s'occuper de sa discothèque avec lui. Dans un premier temps Klaus refusa, il considérait les boites de nuit comme un des lieux qui représentaient le mieux la facette de l'humanité qu'il s'efforçait d'éliminer. Mais après plusieurs jours passé a ne rien faire, coincé dans son handicap, il du se rendre a l'évidence et accepter l'offre de celui qui devenait de ce fait son associé.
Les semaine passèrent et la discothèque reprit progressivement l'allure qui sied a un établissement de ce type. Le Corbeau ne tarda cependant pas a marquer le lieu de son empreinte rendant l'ambiance de celle ci beaucoup plus sombre qu'auparavant. Les musiques déjantées avaient progressivement laissées leur place aux symphonies macabres et aux guitares sursaturées qui plaisaient tant a Klaus. Ces changements ne semblaient pas avoir influence la fréquentation de la discothèque, les clients se pressant tous les soirs avec la même frénésie. Il est vrai que la plupart d'entre eux venaient plus pour recevoir leur dose quotidienne que pour s'abandonner sur la piste de danse.
C'est a ce moment là que Dani jugea bon de laisser la seule gestion de la boite de nuit et de tout ce qui allait avec au Corbeau. Il préférait rester dans l'ombre et servir ses intérêts sans trop s'exposer. En l'espace de quelques semaines le Corbeau se retrouvait a la tête de la plus grosse organisation d'import/export de narcotiques de la Nécropole. Cela ne lui déplaisait bien sur pas, ces responsabilités lui donnaient plus d'influence et lui permettaient d'avoir les moyens nécessaires pour mener a bien son projet.
Son entreprise ne devait cependant pas être connu de tous et il décida de se donner a lui et a ceux qui l'entouraient désormais le titre de mercenaires. Il vendait les services de ses hommes au plus offrant, prenant part au conflit de manière totalement désintéressée. C'était l'impression que dégageait ses interventions dans les différents qui agitaient la Nécropole mais en réalité chacune de ses interventions était réfléchie et était une avancé vers le but que le Corbeau poursuivait désormais ; l'humanité serait bientôt lavée et les Draks seraient le moyens d'effectuer ce nettoyage.

Particularités :
- Hackeur autodidacte extrêmement talentueux.
- Expert en explosifs depuis sa collaboration avec la Guérilla communiste en Colombie.
- Possède un tatouage qui lui recouvre intégralement le dos représentant une nuée de corbeau dépeçant un soldat soviétique. Cet ornement symbolise sa lutte contre le communisme et est une preuve de sa détermination sans faille dans cette entreprise.
- Accro aux amphétamines ainsi qu’à la caféine et à la nicotine.

Don : Aucun

Armes : Remington 870, sa précision au tir laissant a désirer, il privilégie désormais les gros calibres ; ceux ci lui permettent de faire des gros trous sans visée précise préalable.
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MessageSujet: Re: Klaus Merkel alias "le Corbeau"   Klaus Merkel alias "le Corbeau" EmptyLun 6 Fév - 18:21

Ce qui est pénible avec toi... c'est qu'on passe 15 fois plus de temps sur ta fiche que sur celle des autres ^^
Je plaisante


Fiche validée go devil !!!
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MessageSujet: Re: Klaus Merkel alias "le Corbeau"   Klaus Merkel alias "le Corbeau" Empty

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