Entrée au manoir

[PNJ]

Le néophyte haussa les épaules.

"Très bien. Je reviendrai vous voir lorsqu'ils seront libres... Si toutefois vous trouvez le temps long, rien ne vous empêche d'aller vous dégourdir les jambes pour revenir plus tard."

Il le salua d'un léger signe de tête puis disparut dans une autre pièce, laissant l'homme seul dans le hall richement meublé.

Vania se promenait depuis un moment, quand il avisa une grande et belle porpriété.

Waow ! Joli manoir... Je me demande à qui il appartient. Il parlait tout haut, tout en regardant la face du grand batîment.

S'approchant, il se dit :

Et si je tapais à la porte... Peut-être pourrai-je savoir à qui est cet endroit...

Décidé, il s'approcha doucement, et frappa plusieurs fois avec son poig fermé.

Oui... ça me plairait bien d'habiter par ici...

Je suis sûr que ça me rappellera de bons souvenirs....

Il sourit.

[PNJ]

Le petit hommes aux lunettes noires et vêtu d'un kimono se leva de son siège pour la troisième ou quatrième fois de la journée. Il songeait sérieusement à proposer l'installation de mines anti-personnelles devant le manoir, mais il chassa cette idée de son esprit fatigué et alla ouvrit la porte.

"Que voulez-vous? Ne me dites pas que vous vendez des calendriers..."

Le néophyte, passant sa tête dans l'entrebaillement, toisait le jeune homme d'haut en bas, tout en gardant sa main près de son arme, au cas où.

Alastor attendait depuis quelques heures quand il réalisa qu'il se faisait tard.
*Le patron doit être très occupé. Je vais laisser un message, il avisera*
Le néophyte était aller ouvrir à un marchand de calendriers. Il ouvrit donc quelques tiroirs, trouva un papier et de l'encre et écrit une courte lettre:
Monsieur, si vos activités vous amènent à avoir besoin des services d'un médecin, n'hésitez pas à me contacter. [Adresse de l'hôtel des terrains neutres, chambre 61]. J'exerce dans la plus totale discrétion et ne me soumets à aucune déonthologie ni réglementation.
Docteur Duncan

Une fois sa prose terminée, il plia la feuille et la laissa sur la table en écrivant dessus "pour le patron". Et il s'en alla sans un mot pour le néophyte.

Le jeune homme sourit, puis commença :

Bonjour, je viens pour... Arg...

Il pris sa tête entre ses mains, semblant souffrir atrocement.

Excusez-moi...aaa... Je reviendrais... Souffla-t-il d'une voix affaiblie par la douleur.

Il sentait son échine se courber malgrès lui, et sa pilosité augmentait rapidement.

Il fuit sans demander son reste.

Varingua aprés etre rentrée dans le manoir et avoir posé ses affaires dans sa chambre , toujours sous sa forme féline retourna dans l'entrée . Elle pourrait de la regarder les allée-et venu et en cas de probleme intervenir ans qu'on sache sa véritable forme . Elle se posta dans un coin sombre ou seuls ses yeux pouvaient etre visible si on regardait bien .

*surtout en pas se jeter sur les employés....mais j'ai besoin de tuer.....ça monte en moi comme un désir.....mais je dois me calmer trés vite....*

[libre]

[PNJ]

Le binoclard réapparut, cette fois ci dans un vêtement à mi-chemin entre le kimono et le peignoir, même si à priori c'était bel et bien un peignoir. Il scruta la salle de son petit regard vif et suspicieux, puis sursauta presque en voyant l'homme, toujours assis...

Il s'avanca vers Otto.

"Hum... Vous êtes toujours là? J'imagine que vous voulez parler à mon supérieur, toujours? Alors suivez-moi."

Le néophyte ouvrit une porte, celle du salon, et laissa passer l'invité en premier, tentant de se ratrapper pour la longue et pénible attente qu'il venait de subir.

[Désolé pour le retard]

Kraven entre dans le QG des Reds afin de poser sa candidature mais n'aperçut personne...

Alors il dit d'une voix forte : "Y at-il quelqu'un ici présent qui pourrait m'accorder une faveur ?"

...Kraven réfléchissant à sa formulation...

"Je souhaiterai intégrer ce clan. Ma vie n'a pas de sens si je n"ai pas pas de contrats dégradant pour les faibles à accomplir."

Kraven fut quelque peu déçu de sa première prestation qui fut plutôt mal prise donc il se resaisit et dit d'une voix plus calme:

"-Très bien, ma visite est destinée à proposer mes services aux Reds. Car mon système de justice est le même que celui que vous voulez instaurer. C'est à dire : "les faibles doivent mourir !" en gros.

......Et puis désolé j'avais oublié de poser mes armes"

De ce pas Kraven revint posa son katana, ses shurikens et ses aiguilles ninja, et revient vers Eric.

"-Voila c'est donc ici que je viens trouver une "famille"..."

Kraven est encore plus déçu et il commence à ressentir de plus en plus de colère envers cet humain. *-Mais c'est qu'il me soûle ce mec j'vais l'buter moi!* Mais bon il se calma et doucement il reprit. "-Euh... par le terme de "famille" j'entends plutôt le fait que je recherche plutôt un logement où l'on pourra me donner des contrats à accomplir afin que les faibles meurent. Si c'est une tête que vous recherchez, eh bien demandez moi de faire mes preuves..."

Une moto arriva devant l'entrée du manoir suivit d'une limousine puis de neux autres motos (les motards ont un uzi accroché sur la moto et un uzi en bandouillère).

De la limousine sort alors le chauffeur qui s'empresse d'ouvrir la porte arrière.

Sereiguena alors sortit de la limousine elle regarda un moment le manoir puis se dirigea alors vers l'entrée du manoir

Sora émit un léger sourire quand au bavardage de Raphale. l'homme lui demandait des nouvelles du maître, et des enfers...Que pouvait elle répondre sinon qu'il y reignait le même train train quotidien que jadis.

Raphael l'avait amené directement dans la voiture pour ensuite partir vers le manoir. Sora n'avait rien dit et l'avait suivit fidèle aux ordres de son maître elle était le gardien de raphael désormais. Du moin dans certaines conditions. Car en effet la jeune femme avait le dont pour trouver les exceptions aux règles et faire tourner les choses en sa faveur. S'était ce qui lui avait coûté 50 ans de sa vie autrefois.

- Le maître se porte toujours aussi...bien. Quant au enfer, tu dois te douter, qu'il y reigne le même ordre avec la même hierarchie, certains jouissent de leur pouvoir tandis que d'autre subissent, il suffit de faire partie de la bonne caste voilà tout.

Sora semblait en proie à une perte d'émotion totale, rien ne transparaissait de net sur son visage fin et pale. Elle écouta ce que raphael lui disait puis sembla acquiescer.

Elle était en bonne compagnie, et son "employeur" semblait aimé la manipulation. Tout à fait ce qu'Eris pouvait aimer. En effet la jeune femme adorait semer la discorde, et si son job consistait en celà alors , elle pourrais revoir ses position et se dire que finalement son voyage sur terre serait attractif.

- C'est un bon plan. Mais si tu veux que celà fonctionne ton insigne me serait utile. Je pense pouvoir être crédible mais si je n'ai pas de preuve ce sera risqué....

La limousine sembla s'être arrêter, en effet le chauffeur vint ouvrir les portes . Sora descendit la première. Un air hautain qui ne lui appartenait pas vint s'afficher à son visage. La mascarade commençait. La jeune fille avait toujours ses étrange bandage qui lui recouvrait les yeux laissant à penser qu'elle était aveugle. seul Lucifer avait déjà vu ses yeux.
La jeune femme attendit que quelqu'un vienne l'escorter jusqu'au chef des reds...

*LA patience n'est pas l'un de mes forts...*

Sereiguena resortit alors du manoir et passa devant Raphael et sa compagne, elle ralentit alors le pas le détailla de haut en bas. Elle lui déposa un petit regard intéresser tous en passant à côté de lui et continua sa route vers la limousine, le chauffeur se précipita alors pour lui ouvrit la porte et les motard réajustèrent leurs uzi, les motos démarrèrent. Le tous démarra quelques second après sortant de la propriété du Manoir.

Sora qui avait désormais son insigne toisa le secrétaire du regard. Du moin elle le voyait , lui ne pouvait voir ses yeux.
Elle soupira comme si le secrétaire l'exaspérait.
Elle fut contrainte de prendre le bras de Raphael. Il la faisait vraiment passé pour une aveugle. Elle ne dit rien rien, après tout c'était lui qui décidait. Elle gardait cet air hautain qui il fallait le dire lui sciait bien.

Elle s'adressa alors d'une voix cristalline et autoritaire à la fois, une intonation qui venait ponctuer ses paroles.

- J'aimerai que nous fassions au plus vite , il s'agit d'une affaire qui m'importe. Et vous comprendrez sans doute que je suis quelqu'un d'occupé. Mon temps étant précieux j'aimerai que nous y allions.

Sora ne disait pas plus de mots qu'il en fallait. elle était Eris et savait ce qu'elle faisait. commissaire , dirigeante de la milice signifiait un profil de femme d'affaire. Elle se ferait persuasive.