Transport d'esclaves (mp pour savoir si vous pouvez venir)

Le camion suivit par la voiture roulaient dans les grandes rues éclairé de la megalopole.

A un carrefour le camion sema la mercedes. Pour ne pas risquer une attaque surprise le conducteur de la berline prit sur lui de gagner les petites rues moins fréquenté.

Le camion roulait dans l'artères principale. les prisonniers toujours dans leurs cages étroites.

préciser en début de post : Camion ou mercedes !

[Mercedes]

Dans la voiture, Faery s'ennuyait drôlement. Son double s'était tue, réfléchissant visiblement à quelque chose d'un peu trop évolué pour que le cerveau de la fée le comprenne. Elle regarda devant, par dessus le 9 millimètre pointé sur elle. Le camion n'était plus là... D'ailleurs, le chauffeur tournait dans une rue plus petite... Ils jouaient à quoi? Enfin, de toutes façons, ça n'aurait rien changé, dans uen nuit pareille, il ne devait pas y avoir grand monde à l'extérieur... Nuit, nuit, nuit et encore nuit... peut-être était-elle condamnée à ne vivre que de nuit... Peut-être...
°Sort de tes pensées débiles!, j'ai une idée, ma Grosse! on va s'en sortir, promi! et si on s'en sort pas, bin... euh... on s'en sort pas!°
La fée sursauta presque, surprise par l'enthousiasme de son double. Rapidement, l'autre laissa se déverser ses idées dans l'esprit de Faery...
°stooooooooooooooop! moins viite!°
Un Mince sourire se dessina sur le visage de la fée, tandis que l'autre lui expliquait LE plan du siècle...
...
La fée se pencha vers un des gardes, à sa gauche. Elle avait le teint étrangement pâle, et grimaçait.
mmmme sens pas bien... doit vomir...
Elle fut secouée d'un soubressaut, eut un hoquet répugnant, et se pencha un peu plus, sa tête dirigée juste sur les jambes de son "voisin"...
°pas mal... j'aurais fait mieux...°
°ouais, t'aurais vraiment vomi...°

Mercedes

Le flic en question, l'agent Rob célibataire trentenaire grand romantique sursauta.
Merde ! mademoiselle ressaisisez vous... Tous ce passera... Bi... L'agent ne put se résoudre à dire le mot bien mais il tentait tant bien que mal de relever la tête de la fée. Ses larges mains chaudes posait délicatement sur les frêles épaules.

Laisse crever ce monstre et fais gaffe ! Le milicien au berretta s'exprimait avec hargne.

camion

Le camion entrait dans le quartier lycan est s'approchait de la salle de muscu.

La fée semblait trembler... de quoi? de peur? de fièvre? Sa voix devint plaintive, suppliante, tandis qu'elle s'aggripait à l'agent qui lui tenait les épaules...

laissez-moi sortir... je vous en supplie, laissez-moi sortir un peu... je... je me sens mal... s'il-vous-plait, laissez-moi sortir...

Un nouveau hoquet secoua la fée, qui commençait vraiment à se sentir mal. Elle n'avait jamais aimé les voitures et la seule façon pour elle d'éviter de se rendre malade était de regarder la route... Si ils ne s'arrètaient pas vite, le pantalon de l'agent serait foutu... quel domage, il avait l'air gentil... Comme elle aurait aimé vomir sur l'idiot au beretta...

[déso, pas beau, ce post là... mais j'dois y aller sinon mon paternel pique une crise...]

Le chauffeur excedé tourna brutalement dans une petite impasse glauque et sombre.
Faites la descendre si elle fait autre chose que de gerber ces boyaux vous la descendez !
l'homme au berretta ouvrit sa portière et sortit toujours en la pointant. Le milicien compatissant l'aida à sortir.

Alors sa va ? dit il à la fée prostré.

La fée sortit de la voiture, et se laissa tomber à genou, vidant de son estomac les derniers reliefs de nouritures. Il n'y avait à vrai dire pas grand chose, elle n'avait rien avalé depuis 36 heures au moins. Pendant de temps, l'autre essayait d'adapter son plan à la situation. La ruelle était sombre, plus que les autres rues, et non loin, il y avait un mur, environ 4 m de haut, parfait... Ces hommes ne savaient, semble t-il, rien sur elle. Ni que ses ailes ne lui servaient pas à grand chose, ni qu'elle était capable de changer de forme. Aucun d'eux n'avait vu autre chose en elle que la fée. Elle espérait juste que la lettre du banquier verreux n'avait pas été ouverte... qui sait ce qu'il avait écrit à son sujet là-dedans? tout se jouait sur l'effet de surprise...

°Va t'appuyer sur le mur.°

Faery se releva péniblement, et, regardant avec une pointe de peur le fisul braqué vers elle, se dirigea à pas lents vers le mur. Elle s'appuya dessus, comme épuisée, cherchant à mieux respirer... Elle consentit enfin à répondre à l'agent, mais... sa voix était inaudible, lente, incompréhensible...

L'homme au berretta s'approcha en la metant toujours en joue. Le chauffeur alluma la radio indiffèrent. Et le milicien compatissant se plaça près de la fée.

Qu'est ce qui va pas ? Dit il en esseyant de comprendre les paroles de la jeune femme.

T'es dans mon angle de tir connard ! Bouge, on à pas toute la nuit ! S'exclama l'homme au berretta.

[camion]

71 sentit le camion s'ebranler dans les rues,il esperait qu'il allait bientot sortir de cette captivité qu'il detestait,il regarda un garde

"Vous m'avez pas repondu,on arrive bientot?"

Elel regarda l'homme au berreta, puis l'agent qui lui parlait. Vraiment, quel domage. Elle n'arrivait pas à comprendre ce qu'il faisait avec cette bande de pauvres types sans cervelle. Mais, malgré ses airs gentils, il semblait aussi naïf qu'elle l'avait été en se rendant à la banque...
La fée eut un sourire narquois, lorsqu'elle s'agrippa à l'agent, le ceinturant de ses bras, serrant un maximum...
rien, tout va bien... t'as déjà volé?
La fée battit des ailes, lentements, mais avec force, soulevant avec elle l'agent, le gardant comme bouclier contre l'idiot au fusil. Peut-être tirerait-il quand même, peut-être pas... La fée rasa le mur, espérant arriver à son sommet avant de s'épuiser totalement. Elle n'était déjà pas en grande forme, alors voler avec ce mec dans els bras...
Sans se soucier de ce qui se passait autour d'elle et en bas, elle arriva au niveau du haut du muret, lâcha l'homme et arrèta elle-même de battre des ailes, se lançant vers l'autre côté du muret... En effet, ses ailes lui permettaient de s'élever, mais sans plus...

[si arrivée indemme de l'autre côté (c-à-d. sans se ramasser une balle quelque part), elle sera sous sa forme humaine.]

Le milicien compatissant hurla quand ses pieds quittèrent le sol. La surprise qui saisi tous les milicien permit a Faery de gagner le fait du mur mais lorsqu'elle lâcha le milicien qui vint s'écraser au sol en se brisant plusieurs côtes et le bras, l'autre homme au berretta tira son chargeur en direction de la fée.

Merde ! Abandonnant leurs collègues blessé les deux hommes montèrent dans la voiture pour arriver rapidement de l'autre coté du mur. A 5 minutes de routes de là.

l'homme blessé gémissait seul dans la ruelle en crachant des insultes au monde entier et en particulier à cette ****** de fée.

Faery atterit assez mal de l'autre côté, et se foula la cheville gauche... Une douleur intense lui montait à la tête par vague régulière, venant de plusieurs endroits indéfinis de son corps... une de ses ailes était percée en au moins un endroit, du sang ruisselait sur son visage, provenant sans doute d'une balle qui aurait frôlé son crâne... Ainsi amochée, il lui était impossible de changer de forme...

Elle pesta, cracha sur el sol un mélange de sang et de bile, et regarda autour d'elle... IL n'y avait pas grand chose à faire. Dans son état, elle n'arriverait pas très loin. Ou bien les attendre là, car ils finiraient bien par arriver...

La fée se releva péniblement. pûtôt crever que de les attendre. Elle avança le plus rapidement qu'elle pu vers une ruelle adjacente, minuscule et... qui se révèla être une impasse... de nouveau, la fée cracha le liquide qui avait envahi sa bouche...
Dans le fond du cul-de-sac se troubvaient un contenaire à ordures... la poubelle... idée idiote, mais il aurait falu y en avoir une autre... Plus que péniblement, la fée se traina jusque là, priant pour que le sang qui coulait sur el sol ne laisserait pas une piste trop visible... Elle se glissa dans la poubelle..

Les miliciens avait prit tous les risques dans les rues qui même désertes était dangereuses pour une voiture lancé à pleine vitesse. La voiture vint s'engoufrer juste devant le mur qui de l'autre avait vu la fuite de la fée.

Les deux miliciens à l'intèrieurs descendirent, ayant pris soin de couper le contact et d'enlever les clé. Ils était armés respectivement d'un shotgun et d'une fusil mitrailleurs M-16.

y'a du sang. Les deux hommes suivirent la trace du sang jusque dans l'autre impasse. Elle à dù s'envoler mais blessé elle ira pas loin ! L'homme au berretta maintenant muni d'un pompe retourna à la voiture et prit la radio de bord.

Içi Lars, y' nous faut du monde on à paumé la fée... Les Hélico sont dispo ? Avec les projo sa peut marcher...

Faery ne bougeait plus, asphixiée par les odeurs de moississures. ce machin n'avait pas du être vidé depuis des millénaires, pour sentir comme ça... Elle ouvrit la bouche, laissant couler le long de sa joue le sang qui l'avait uen fois de plus envahie. elle commençait à s'inquiéter... d'où venait donc ce sang?
Le smiliciens étaient arrivés... Ils n'avaient visiblement pas encore compris son incapacité à se déplacer en vol, et c'était tant mieux...

Faery se roula en boule, s'éttoufant avec le sang qui continuait d'emplir sa bouche sans discontinuer... Elle était en sueur, frissonait, et la douleur dans ses ailes était insuportable... Peut-être que si.. non! non, c'était inconcevable. autant mourir dans une poubelle que de retomber dans leurs mains.
Elle laissa échapper une quinte de toux, priant qu'aucun milicien ne l'entende...

Faery retint son souffle, entendant l'hélico partir. Peut-être allaient-ils la laisser en paix un moment, peut-être...
Elle sentait un rien de courage et d'adrénaline monter en elle, la galvanisant. Mais tout cela retomba bien vite, lorsqu'un coup de feu fut tiré sur le contenaire...
Rappelée à la douleur par les plombs qui lui traversèrent une jambe, elle gémit... Sans doutes avait-elle été touchée en d'autres endroits, mais elle ne le sentait pas... La douleur était si forte, si intense qu'elle ne la sentait plus.
Lorsue la voiture fut partie, faery essaya de se hisser hors de la poubelle, et glissa sur le sol...

La fée gisait sur le sol, sans connaissance, au milieu d'une flaque de sang qui allait en grandissant. Ses ailes meurtries, abituellement translucides, lisses, pleines de vie, s'étaient recroquevillées contre son dos, imbibées de sang....

Faery n'était pas encore morte, mais cela ne pourrait tarder...

Il courrait dans la rue, son préssentiment l'avait conduit jusque la. Il s'arreta et tourne la tete vers le fond d'un impasse. Sur le moment le temps sembla se figer, il voyait Faery ettendus dans une marre de sang

"..."

il courrus vers elle et s'agenouilll ses cotés, la prenant dans ses bras

"Faery"

Il en avait oublier son oeil crévé et le sang qui s'en écoullait

La fée était inconsciente, complètement hors du temps... mais elle rêvait... c'était d'ailleurs un joli rêve... zappa la tenait dans ses bras, la serrait contre lui... C'était bien, qu'on lui aie permi de rêver un peu avant qu'elle ne meure...
Elle murmura...
"Zappa..."

"oui c'est moi"

il lui souriat deposant un baiser sur ses levres

"s'il te plait tient bon"
"ne meurt pas"

une larme coula, il avait l'impression qu'on lui arrachait sa propre moitié,meme plus, son ames entiere. Il la souleva dans ses bras

"on va te soigner"

[merci de supprimer les messages depuis l'arrivée de Zappa...]

[HRP- Vu que Faery a échappée à la "police"? Je suppose qu'on peut intervenir, sinon prévenez moi. HRP]

Ténétiel se promenait depuis un temps déjà quand elle faillit buter sur une poubelle, ne pouvant pas voir dans l'obscurité. Un faible gémissement inconscient s'en dégagea. Une poubelle qui gémit? Ténétiel se pencha sur le côté et aperçut Faery ensanglantée. Que faisais cette femme là? La jeune femme prit son pouls et constata qu'elle était en vie, mais salement amochée.

J'ai peut-être laissée mourir des gens cette nuit mais je ne pouvais pas les sauver. Toi, il y a une chance pour que tu vives, je ne te laisserai pas tomber.

Tout d'abord, elle retira sa chemise en-dessous et en fit des bandages de fortune pour éviter que le sang coule trop des plaies de la fée. (sous sa forme humaine, je crois?) Puis, elle remit sa veste et la ferma pour éviter de paraître torse nu devant les passants. De sa frèle constitution, elle hissa Faery sur son épaule. Il fallait aller à l'hôpital et vite.

[HRP - j'attends une réaction des modos ou admins pour voir si ma réaction est fautive. S'ils donnent le feu vert, je t'amène à l'hôpital ;] -HRP]

[hj: non, forme féérique. normalement, ta réaction n'a rien de fautif. faut juste qu'ils efface ce qui a été fait avant...:jh]

Faery ne réagit pas lorsque Ténétiel la prit sur son épaule. La fée était trop loin pour se rendre encore compte de ce qui se passait autour d'elle. à présent, le sang coulait de sa bouche sans interruption, venant sans doute d'une blessure intérieure, une côte brisée ayant percé l'oesophage, ou bien son nez était-il de nouveau cassé? aucun moyen de le savoir en ce moment...
Faery marchait... dans du vide, semblait-il... un immense vide lumineux... tout cela était magnifique, réellement... où était ce banquier, ces horribles brutes? nulle part, partis, ailleurs... cela n'avait plus aucune importance... Puis Faery se sentit sombrer, loin, profond... il faisait froid, il faisait noir... Il... il lui manquait quelque chose... quelque chose venait de s'éteindre à tout jamais en elle... un morceau de son âme s'était envolé... Zappa... que lui était-il arrivé???...
Sur l'épaule de Ténétiel, la fée se crispa, en proie à un désespoir absolu, incapable de le laisser s'échapper, incapable du moindre mouvement...