palace de Ludwig

hj merci saki pour ton aide hj

réané vit kibot partir

*tu mouras*

a l'aide ouvrez moi s'il vous plait, je suis entrian de perdre tout mon sang..

il frppa encore a la porte..

"Et bien .... "

Elle fut de nouveau interrompu par le vacarme à l'extérieur.

Elle retourna en face de Ludwig.

" Il semblerait que ce soir ne soit pas un soir ou nous serons seuls, il est si doux d'entendre ces lamentations."

Elle se diriga vers la table et se baissa pour reprendre son verre, d'une facon à permettre à Ludwig de pouvoir admirer ses formes.

Elle se rassit dans son fauteuil, on pouvait voir une certaine joie à entendre les supplications de l'intrus sur son visage, ses yeux virèrent au violet opaque.

" Huum, que cette mélodie est douce, j'aimerai beaucoup en entendre d'avantage.... qui c'est la suite de notre entrevue???? "

Fit elle d'un air coquin.

réané continuait a fair du bruit a l'exterieur

je me nomme réané aidez moi..

En effet, il semble que nous ne pourrons pas avoir quelques minutes de paix... Voulez vous que j'interrompe ces cris?

Ludwig jeta un coup d'oeil rapide aux formes de Sereiguena, mais sans s'émouvoir. ce qu'il aimait lui, c'était tenir un bistouri au dessus de la chair sanguinolente... Pas observer les posters de la playmate de l'année....

Sereiguena répondit à Ludwig.

" Non au contraire cela est plaisant ! "

Puis le bruit se tu.

" Soit vous avez un cadavre devant chez vous ou bien celui-ci n'étais pas si mal que cela !! Mais il serait surment bon de vérifer si vous ne voulez pas avoir le risque de voir des policier à votre portes ! "

Sereiguena regarda sa montre.

" Il se fait fort tard! "

Elle se leva.

" J'ai passer un agréable moment en votre compagnie, mais je me dois de couper court à cela car mes obligations l'oblige. "

Vous partez déja? quel dommage. Enfin, je suis heureux d'apprendre que vous avez apprécié. Désirez vous que je vous raccompagne chez vous? Je passerai un peu plus tard au bar pour vous ammener les deux filles que vous m'avez confiées.

Ludwig se leva également, pour raccompagner la reine des Noxs.

" Et bien cela n'est pas de refus, la galanterie semblair avoir disparut, mais je vois qu'il n'en est rien ! "

Sereiguena partie vers le bar en compagnie de Ludwig.

Ludwig arriva en voiture et alla garer celle ci dans le garage. Il sortit alors du véhicule et rentra dans le salon.

*Au boulot.... *

Cynthia!!!!!Allez! Je t'attends!.

Ces gens n'ont pas du frapper à la bonne porte, c'est tout.

Il lui tendit des vetements, sous plastique.

Va te laver soigneusement et ensuite, mets ca. Tu me rejoindra au bloc.



Pendant que Cynthia se lave, Ludwig s'équipe, prépare son materiel, et se rend au bloc operatoire.

Ludwig se mit juste à coté de la table et installa le respirateur de cynthia.

Ca va etre un peu désagréable.

Il installa deux tubes dans le nez de Cynthia (un dans chaque narine), jusqu'aux fosses nasales, avant de mettre en marche le respirateur. Il envoya aussi un gaz narcotique dans l'appareil, et la fille s'endormit rapidement.

*au diable le protocole, de toute maniere elle n'a plus le choix. Ras le bol*

Après quelques instants, Luwig retira la piece de drap qui recouvrait son materiel, et prepara la zone de l'operation. Une fois les zones délimitées par des carrés de tissu, il saisit un scalpel, ouvrit la bouche de la patiente, et pratiqua une longue incision derrière sa lèvre inferieure. Il introduit une fibre optique et une petite lame, et commenca à retirer de l'os, de la graisse sur la pointe du menton. Après un bon quart d'heure de ce joyeux charcutage, il retira ses outils et pompa la salive et le sang melés. Il put alors reprendre l'operation pendant deux bonnes heures, pompant à intervalles réguliers les liquides corporels. Quand il eut terminé, il retira tous ses outils et commenca à sutturer finement la plaie. Une fois terminé, il mit une protection en coton au dessus, maintenue par une sorte d'appareil dentaire de sa fabrication....

*Voila, c'est fini. On lui refera les seins dans une autre operation...Quoique....non, on va en finir une bonne fois pour toute, j'en ai marre de ces deux petasses!*

Ludwig posa sa première série d'outils dans un évier, changea des gants, prit de nouveaux outils et les posa sur la tablette. Il profita du moment ou il était sans gants pour poure un tasse de café. Il était vraiment crevé.

Il ouvrit le vetement vert sur le coté et dévoila la poitrine de Cynthia. Ca lui rapellait les vaches de la ferme, à coté de la maison ou il allait pendant ses vacances....Ben oui, sans le sous-tifs rembourré, elle ressemblait pas à grand chose.... Enfin, peu importe, il devait lui bourrer les nichons avec du silicone, il le ferait. Il prit un scalpel et fit un incision au dessous du sein, pour que la fine cicatrice ne se voit pas trop. Après une bonne demie heure de charcutage intensif, il arriva à menager un fente satisfesante pour inserer la prothèse entre les tissus. Il installa celle ci, après l'avoir resculptée une dernière fois, et commenca à refermer l'ouverture, esperant qu'il n'y aurais pas de problème. Et puis, Il faut souffrir pour etre belle non?. Il répeta le meme protocole pour le deuxième sein, et quatre heures plus tard, il avait terminé, épuisé.
Il reposa ses outils dans l'évier, remit correctement la blouse de la patiente après avoir fait les bandages. Décidemment, ce n'était plus de son age ce genre de trucs. Il n'était plus habitué aux operations aussi longues. Il coupa l'arrivée de narcotique, amorcant la phase de réveil. Le chirurgien retira ses gants et alla prendre une douche. Dans une demie heure, elle se réveillerait.

vingt minutes plus tard, après avoir terminé de se laver, et après s'etre habillé, il alla s'asseoir au chevet de sa patiente, tout en sirotant un grand bol de café au lait.

La patiente se réveilla.


" Huumm, quee,,,; ouuu je suis... ouuu ."

Elle ouvrit un oeil mais les effets des produits fesaient encore effet.

Ludwig termina son café, avant de se lever.

L'operation s'est très bien passée. Rendormez vous, vous en aurez besoin.

Le Chirurgien déplaca le lit vers une autre pièce après avoir retiré les appareils. Il mit celui ci à coté de celui de Sarah.

Je vais vous injecter un peu de morphine.

Il prit alors une seringue et une fiole de morphine. Il remplit un peu la seringue et se prépaara à l'injecter dans l'avant bras de la fille. Je vous renverrai bientot chez Madame Love, avec votre amie.

Passe devant le palace et sonne pour voir qui y habite

HJ: Je voudrais pas paraitre chiant, mais as tu lu mon message??? tu serais pas déja dans le bar et au territoire de sirion???? Ah et désolé, mais évite les "passe devant machin et sonne"....dis plutot "Aoki passa devant l'appartement et sonna." c'est plus agréable à lire.bon, je pense que ca valait le coup d'etre dit. J'attend ta réponse à ca pour continuer. HJ

EDIT HJ: et tu as lu la description????c'est juste une baraque....pas un chateau.... sans rancune

Ludwig injecta la morphine avec un certain plaisir, avant de sortir de la pièce. Il alla chercher quelque chose dans son frigo, apercevant au passage le congélo qui contenait l'ancien propriétaire. Il esquissa un petit sourire.

*il faudra que je pense à m'en débarasser, c'est pas très hygiennique...*

Il sortit un sandwich au poulet, qu'il dévora, avant d'aller piquer un petit somme.

____________________________

Sept heures plus tard.....(nous sommes le matin, le journal parle des émeutes).

Ludwig s'éveilla. Il alla prendre un petit dejeuner dans la cuisine, composé d'une tasse de café et d'un peu de charcuterie.(Et oui, c'est un allemand....) Une fois terminé, il alla s'habiller avant d'aller voir ses deux patientes. Elles dormiraient encore quelques heures....parfait.

Ludwig se leva, après avoir regardé sa montre.

*Il est l'heure*

Il revetit sa veste, son manteau et son chapeau, avant d'aller dans la piece où les deux filles dormaient. retira tout le materiel, sauf les perfusions, et il les transporta une à une dans sa voiture, où il les assit sur la banquette arrière, dont il avait incliné les sièges (c'est une berline de luxe), avant d'accrocher les perfusions au plafond. Il monta alors à l'avant après avoir fermé sa maison, et démarra doucement endirection du bar des noxs. Il ne voulait pas faire deux trajets avec l'ambulance.

Il entra dans son appart et alla manger un peu.

*quelle saloperie cette ville bordel! meme plus de rythme pour manger... *

Il prit une peu de café qui restait et le fit chauffer au micro-ondes en meme temps qu'une barquette de lasagnes...

Il alla ensuite poser tout ca sur la table au salon et commenca à manger tout en regardant un bon vieux polar à la télé.

*Ludo, t'es qu'un pauvre mec...tu sers à rien...
_Ta gueule, c'est toi qui sert à rien. pff une conscience, et puis quoi encore...
_Et j'chuis ta conscience, que tu le veuille ou non ...*

Ses pensées se brouillèrent... Il redevenait taré, complètement taré, barjo, malade mental, chtarbé...complètement taré...

Il alla ouvrir le congélo, et, à l'aide du couteau à pain, il coupa la main de l'ancien proprio qui était comme qui dirait...refroidi. Dix minutes plus tard, il arracha la main et la mis au micro ondes pour cinq minutes. puissance, 900 watts...

Bientot, on entendit un crépitement affreux. DING. la porte s'ouvrir, laissant un odeur de viande cuite dans l'air. TCHAC. Il ouvrit le tiroir et prit une fourchette.CRAC. Il planta la fourchette dans la main en disant qu'il allait la soigner...Il parlait tout seul.

Ne vous inquiétez pas monsieur, ces horribles cicatrices vont disparaitre, il n'y paraitra plus!

Il commenca à planter des cure dents dans la chair, puis il se mit à peler la main avec une épluche légumes.VRRT VRRT...
Une minute plus tard, il y avait un tas de peau sur la planche à découper ensanglantée. Ludwig transpirait. Il ne restait que les os et les tendons. il tirait sur les tendons pour faire prendre différentes formes à la main...ZWIP ZWIP...

Ah, vous voyez monsieur! c'est déja beaucoup mieux! plus de cicatrices AHAHAH

Il éclata de rire.

Regardez, je vais vous faire une nouvelle peau!

Il mit alors un carré de parafine à fondre, que le type devait garder sans trop de raisons depuis la mort de sa femme. celle ci devait faire des confitures sans doute...

Quand la cire fut bien fondue dans une casserole, il la versa sur la main pour faire une belle gangue.

AHAH! votre main est comme neuve monsieur! j'espère vous revoir bientot! Il prit alors un peu de ficelle de boucher et ficella le poignet dans la cire encore molle. Quand il eut terminé et que la cire fut durcie, il riait.

Il alla poser cette main au milieu de la table basse, au milieu du salon.
Il sortit alors deux verres qu'il remplit de whisky. Il en posa un près de la main, et prenant l'autre dit:

A votre santé monsieur! ahah...

Il but alors le verre d'un trait.

Il s'apercut alors, après avoir fini son whisky, que la main n'avez pas bougé.

Ah, vous n'aimez pas le whisky monsieur?

Il prit le verre, et le vida avant d'aller chercher une bouteille de cognac. Il servit la main.

J'espère que vous préfererez ca! ahahah!

Il continuait de rire nerveusement. Completement, mais alors completement cinglé. Il prit tout l'argent qu'il avait et le mit dans une boite, qu'il cacha sous le cadavre, dans le congélateur.PFFT. Il referma le congélo. En retournant au salon, il trébucha sur le pied de l'allogène qui éclairait la salle. Il tomba par terre.

*BORDEL DE DIEU J'EN AI MARRE! SALOPERIE! Ah l'enfant de salaud! Connerie!*

Monsieur! je n'apprécie pas votre plaisanterie!

Il se releva et retourna à la cuisine. La, il prit une louche en ferraille et revient au salon. Il se mit à frapper de toutes ses forces la main avec la louche, jusqu'à ce qu'in n'en reste plus que de la purée, quelques esquilles d'os avec des tendons sectionnés.Il lacha la louche.

Brancaaarrrddiiieerrrsss!!!! UN BLESSE!!!!

Il hurlait comme un forcené:

BRANCARDIERS! UN BLESSE AHAHAH!!!
JE SUIS Maladeuh!...complètement Maladeuh!... AHAHAH

Soudain, il se mit à étouffer. AH, la vie était vraiment pourrie! saloperie d'existence terrestre...
Il toussa pendant cinq bonnes minutes, puis il alla boire de la crème de cassis pure...

Ah ce requinque! merde, j'en ai marre!

Il alla chercher son arbalète, en riant. Après l'avoir montée, il prit un billet de cent dollars, et ouvrit la fenetre sur la rue.

AHAHAH...GAMIN!!!VIENT ICI DE SUITE!

LE gamin arriva. c'était un petit écolier du quartier riche, comme tous ceux qui passaient.Un vrai sale gosse. Ludwig lui donna le billet et dit. Tu vas aller chercher les flèches de tonton Ludwig d'accord? Mais si t'es méchant AHAHAH, je serait méchant aussiiiiiiiiii.

D'accord monsieur!

Le gamin était tout sourire...Il pourrait montrer ce billet à ses copains et avec ca ils pourraient acheter un flingue pour plomber la maitresse de l'école... C'est alors que Ludwig commenca à dégommer les gens dans la rue à tirs d'arbalète, et le gamin allait chercher les carreaux. Il avait un marteau que Ludwig lui avait donné pendant la scéance de tir au pigeon... Le gamin fracassait les cranes et extirpait les carreaux.L'argent n'a pas d'odeur.

WOUHOU! c'est quand meme mieux que le balle trap!!!AHAHAH!!! POULE!!!ahah!

Entre deux carreaux tirés, Le chirurgien se marrait et allait se boire un verre de crème de cassis. AHAHAH
Et il tira comme ca pendant trois heures, redonnant régulièrement de l'argent au gosse. Et il se marrait.

_Comment tu t'appelles gamin?

_Moi c'est Charles-Henry-Honoré-Maxime De Grognet du Chateau!
Moi! monsieur!
_ AHAHA marrant ton prénom AHAHAH!!!!Moi je suis la reine d'espagne! Qui dit à son amant...j'aime le champagne Je préfère ton Gl**d!!!AHAHAH VIVE LES HABSBOURG!!!

Il il continuait de tirer....Taré..complètement taré...

A un moment, Ludwig prit conscience de la situation. Un immense charnier était éparpillé devant chez lui, des gens pleuraient, d'autres agonisaient, etc... Il y avait devant lui au moins 40 cadavres...

*AHAHAH...merde! et mon serment d'hippocrate alors!!! il faut les soigner!!!ahah...*

Quand le gamin lui eut rapporté les carreaux, il le liquida et reprit ses 500 dollars qu'il lui avait passés. Il mit les carreaux au lave vaisselle, rangea son arbalète, et alla chercher son materiel... Il sortit dans la rue, étandit une bache sur le sol, et traina les macchabées en un tas. Il sépara les vivants des morts. Il en restait trois de vivants.

*AHAH, le meilleur moyen pour qu'ils soient plus ni malade, ni souffrant...ahah, l'euthanasie, c'est beau...*

Il retourna chercher la bouteille de crème de cassis et un verre. Il s'en servit un, sans diluer, et commenca sa sombre besogne.Il n'en restait que deux de vivants Il en prit un sur la bache et s'agenouilla à coté. Le pauvre hurlait comme un goret, ses cris étaient si violents, si emplits de tristesse, de peur de douleur....la douleur à l'état pur. comme la crème de cassis, pure...Il aimait la pureté.

AHAH, Ne vous inquiétez pas monsieur , je vais vous sutturer hinhinhin...

Il prit une aiguille et du fil et commenca à sutturer la plaie. Cela était difficile, il y avait énormément de sang. Il finit par y parvenir, mais ne s'arreta pas.

*sutturer sutturer sutturer...SUTTURER BORDEL AHAHAH!!!*

Il fit un grand sourire et se mit à coudre la bouche et les narines du gars, qui était tombé dans les pommes depuis longtemps. Quand il eut terminé, il s'apercut que la gars était tout bleu, mort... Il le balanca alors sur le tas des morts et prit l'autre survivant.
Il n'avait pas pu sauver son patient. Il avait fait de son mieux.

Il s'agenouilla auprès du deuxième type.

Je vais vous faire une piqure ne vous inquiétez pas.

Il but son verre des crème de cassis. Il commencait à pu etre très clair. Il remplit une seringue d'un flacon entier d'adrénaline, et injecta le tout dans le coeur du type, en passant entre deux cotes. Le coeur lacha vingt secondes plus tard.

Ludwig se leva Il retira sa blouse. Les deux blessés étaient bien trop atteints. Il avait fait tout ce qui était en son pouvoir mais...mère nature en avait voulu autrement. Il rangea son materiel et entassa le cadavre sur le charnier déja existant. Il rentra chez lui, buvant la fin de la bouteille de crème de cassis...pure.
Une fois à l'interieur, il alla se laver les mains. Il mit le materiel qui lui avait servi au lave vaisselle, à coté des carreaux. Puis il s'assit. Il alla jeter les restes de la main de l'ancien proprio et se rassit devant la télé, recommencant à manger ses lasagnes.

Taré...complètement taré...