A un guichet

Ebenezzer Scrooge entra dans la banque.
Qu'il aimait ces lieux, là où s'entassait l'argent, la richesse...
Mais cette banque, et celle-ci uniquement, était celle qu'il recherchait. Il en avait examiné quelques autres et aucune n'avait cette atmosphère.

Et comme il ne fallait pas mettre tous ses oeufs dans le même panier, il avait aussi des "économies", pour ne pas dire quelques richesse, dans cette banque... Encore un héritage d'un parent disparu "tragiquement" il y a de cela quelques années, l'argent avait put fructifier en paix...

S'approchant d'un guichet libre :
_Excusez moi, très cher, est-il possible d'avoir un entretien avec votre employeur?

L'homme qui était au guichet répondit.

"Bien sûr, je vous prierai d'attendre un instant, le temps que j'appelle mes suppérieurs."

Il prit un téléphone sur un bureau un peu plus loin et composa un numéro, puis eu une courte conversation avec la personne à l'autre bout du fil. Il revint à son guichet.

"Monsieur Torelli s'en vient, ce ne devrait pas être bien long. Vous pouvez vous asseoir si vous voulez."

Quelques instants après, Mike arriva, sur un pas pressé. Il vint à la rencontre de l'homme qui l'avait appelé puis lui tendit la main.

"Bonjours, Mike Torelli. Vous m'avez fait appeler?"

En sa présence, les humains ressentent une envie, ou plutôt une faim, de gagner de l'argent, beaucoup d'argent.

Scrooge regarda l'homme avec un sourire empli d'idée fructueuse...
Mais Scrooge n'était qu'un avare solitaire et antipathique, bien que les protecteur de l'avarice le trouvent charismatique, il ne serra donc pas cette main tendue.

_Ne perdons pas de temps... C'est de l'argent!

Mike fronça les sourcils et retira sa main. Bizarre, le mec. Au moin, il avait l'air de savoir ce qu'il voulait, et cela entrait bien dans ses cordes, puisque c'était du capital monétaire.

"Très bien. Aimeriez vous passer à mon bureau, monsieur...?"

L'avare sourit étrangement.
_Pour ce genre d'entretiens, mieux vaut effectivement être loin de toutes oreilles indiscrètes... Je vous suis.

"Très bien. SI vous voulez bien me suivre."

Mike s'engagea dans les couloirs et escaliers qui menaient à son bureau. Il savait qu'avec ce genre d'individu , il allait faire plus qu'un simple boulot.

[Bureau de Mike Torelli]

La limousine s'arrêta devant la banque les motos restèrent stationner observant les allés et venu des gens. Sereiguena sortit de la voiture.

Sereiguena entra dans la banque elle rabaissa sa capuche passa une main dans ses cheveux et s'avanca le bruit de ses talons sur le marbre de la banque tintèrent. Elle s'approcha d'un des guichet.

Puis attendit qu'on s'occupe d'elle.

Un homme en costume strict s'approcha.

" Bonjour Madame, en quoi puis-je vous être utile ? " demanda t'il d'un air affable.

Sereiguena se détourna et jugea de haut en bas l'homme. Puis lui fit un petit sourire.

" Bonsoir, j'aimerai avoir quelques renseignements pourriez vous m'aider ? "

Tous en dégraffant quelques bouton de son manteau.

L'employé dégluttit bruyamment.

" Bien sur madame, si c'est dans mes cordes, je me ferai un plaisir de vous aider.
De quoi s'agit-il ? "

" J'aimerai tous d'abord connaitre le solde de mon compte je vous pris. "

Elle déposa sur le bureau son RIB.

" Le lieu est bien calme ce soir ce qui n'est pas le cas dans le reste de la ville avec cette fête infantile. "

Sereiguena écouta et fut surprise et vexer par la réponse du guichetier.

" je vous demande pardon !! Vous avez dut faire une erreur ce ne peut être mon compte que vous m'anoncer là !! "

" Veuillez m'excuser madame, je n'ai pas mes lunettes "

Le visage de l'employé vira au cramoisi alors qu'il mettait une paire de lunette vieille d'au moins vingt ans.

" hum, hum, donc...votre solde indique un montant de 4500€ sur votre compte courant. Quant à vos autres comptes...ils se portent à merveilles. "

L'employé reposa prestement ses affreuses lunettes avant de regarder sa cliente tout sourire.

Sereiguena refoula sa colère. Ses yeux virèrent au violet mais reprirent dans l'instant leurs couleurs normalent.

* Je t'arracherai bien un oeil pour ton insolance morpion.*

" Et bien je ne suis pas sûr que cette erreur ça de bon gout ! Soites ! "
Sereiguena regarda le guichetier.

" Comment se porteM K2 ? Pourrait il me recevoir j'aurai besoin d'information pour un projet. Pourriez vous entre temps me fournir 10 000€ en liquide. Dans un contenant adécquoite bien sur !"

" Hum, hum...je pense que Mr K2 soit indisponible pour un temps. Il est en voyage d'affaires...
Mr Torelli ou Mr Di Maglio peuvent vous recevoir dans leur bureau. "

" Pour votre demande de prêt, je m'en occupe immédiatement, il en va de soit. Laissez moi quelques minutes pour préparer tout cela.

Dois je prévenir l'un de mes supérieurs que vous souhaitez vous entretenir avec l'un d'eux ? "

L'employé disait tout cela tout en s'activant de son mieux dans le but de pallier au mécontement de sa cliente. Il ne faisait pas bon de faire ce genre d'erreurs dans une maison de si haute renommée.

* M K2 en affaire huumm.... *

" Prévenez donc une de ces personnes je vous pris, je reviendrai prendre mon retrait ensuite. "

L'employé s'éxecute immédiatement et passe un rapide coup de fil.

" Mr Di Maglio va vous recevoir dans l'instant.
Veuillez suivre cet homme qui vous conduira à son bureau.
Je m'occupe de votre retrait. Au plaisir Madame. "

Un second employé arrive et vous invite à le suivre.

Sereiguena se leva.

" Très bien ! "

Elle suivit alors l'employer jusqu'au bureau.

<HJ> RDV au bureau de spinello, il t'attend tout sourire <HJ>

Sereiguena reviens au comptoire accompagnié par la petite garde si gentillement offerte.

" J'espère que tous est près ! "

A l'attention du guichetier.

" Très bien ."

Elle prit la malette et se dirigea vers la sortie.

( Un mal être la tirailler depuis un moment ce qu'elle ne voulait pas montrer devant les changeurs)

Elle entra dans sa limousine remerciant sur le départ son escorte.

La limousine entourait de son escorte repartis dans la ville.

Notre cher ami l'avare revenait dans la banque.
Ebennezer Scrooge bouscula quelques clients attendant dans la queue pour parler rapidement au guichettier _le temps, c'est de l'argent après tout... _, personne ne lui dit rien, car dans cette banque, le charisme du vieillard était à son apogée.

_Pourrais-je voir voir votre patron, j'aimerais discutter de quelques détails de nos affaires...