Parking

Elle se releva lentement. Elyon essuya les dernières larmes sur ses joues avec dégoût. Elle retira ensuite son pull dévoilant un T-shirt noir assez simple. Des bandes de cuir enrouler sur ses bras prouvaient qu'elle était une guerrière. Elle mit sa veste dans son sac et plaça Eragon endormi dessus puis se dirigea vers l'entrée du bar.

* C'est maintenant qu'on rigole... *

La bagnole s'arrêta devant l'établissement avec un crissement de pneus.
Un policier sorti côté passager et alla ouvrir la porte arrière du véhicule. Une longue et fine jambe en sortie , rapidement suivie par la seconde. Une pause.
La jeune femme sortie, drapée d'un long manteau sombre.

" Attendez moi ici, messieurs, je ne serais pas longue."

D'une démarche lente, la jeune demoiselle se dirigea vers l'entrée du bar...

En arrivant au bar, une bagnole s'arreta à coté de celle des poulets. Crissement de pneus. Bruit de fgrein à main.
Un homme d'une cinquantaine d'années en descendit, vetu d'un chapeau, d'un costume noir trois pièces et un manteau trois quarts en laine de chameau. Assez chic donc. Par contre, ce qui était vraiment moche c'était les rayures sur la peinture de la mercedes.
L'homme extirpa du coffre de sa berline une malette noire et refermant le coffre, se dirigea vers l'entrée du bar.

Ils étaient quatre dans la voiture. Clopant sans discontinuer, en attendant que leur patronne se décide enfin à repointer le bout de son pif.

Soudain, un voyant se mit à clignoter sur le tableau de bord.

"P'tain, pouvait pas se tenir tranquille la bss pour une fois!!!"

les culasses des AK claquèrent et les portes de la fourgonnettes semblèrent se décrocher dans la vitesse d'ouverture.

Quatre silhouette sombres en tenue d'intervention se précipitèrent vers l'ouverture de l'établissement, fusil mitrailleur au poing. Ils commencèrent à distribuer des coups de crosses à la foule qui faisait le pied de grue devant le bâtiment pour se dégager une voie de passage. La finesse ne semblait pas faire parti de leur vocabulaire...

Hj: A l'attention de Sereiguena, j'ai posté ici, pour laisser le temps à mon équipe d'intervention d'arriver, pas que ce soit trop rapide et pas assez réaliste. Si ça te gène change les de place Baiser Glacé Hj

Après etre sortit du bar, Ludwig se dirigea vers sa voiture. Il ne remarqua pas la flaque sombre sous celle ci. Il rentra, s'assit confortablement. Il enleva son chapeau, et , après avoir posé celui ci sur le siège passager, réajusta le volant en face de lui. Il sortit une cigarette, la mit au coin de ses lèvres. De sa main droite, il saisit l'alume cigares. le gout du tabac caramélisé s'exahla dans sa bouche, il recracha lentement la fumée. deuxième bouffée salvatrice. Il déposa quelques cendres dans le bac prévu à cet effet, et chercha la clefs dans sa poche droite. Il l'extirpa en meme temps qu'un billet de cinq euros, qu'il mit dans la boite à gants, avant de saisir la clef et de l'inserer dans la serrure.Il la tourna. 1er cran...2e cran...3e cran...et...il démarra. Il fit ronfler le moteur quelques instants, avant de passer la 1ere. Nouvelle bouffée de fumée. Le gout délicieux vient noircir ses poumons, puis ressort, croisant quelques rayons de lumière. Il prit la cigarette entre son index et son méduis, et pressa l'accelerateur et.... il sortit diu parking des noxs. Une fois au feu rouge, à un vingtaine de mètres du bar, il remit sa cigarette au coin de ses lèvres, avant d'enflier des gants de cuir noir mat. Quatrième bouffée de tabac brulant. La fumée acre se répand dans ses fosses nasales avant de ressortir gracieusement par les narines du conducteur.
Soudain, il pressa l'accelerateur et démarra en trombe, juste après que le feu soit passé vert. Il remit sa clope entre deux de ses doigts et passa la seconde. Autour de lui un calme olympien. pas ame qui vive. Il continue sa route vers les docks, à cause d'une déviation sans doute à cause de l'entretien de la voirie...

SUITE DANS LES DOCKS

Blaz se dirigea vers la voiture et ouvrit la porte a Jenna puis il alla s'installer au volant et ils attendirent Tyrannia.
A Jenna
"C'est une nouvelle, elle s'appelle Tyrannia et a le meme pouvoir que moi. J'ai pris du grade au fait, j'ai maintenant en plus deux personnes sous mes ordres."

Tyrannia sortit enfin du bar, fouillant ses poches. Elle s'approcha de la voiture, et alla s'asseoir à l'arrière.

_où on va? c'est inflamable, au moins?

"Doucement, il faut eviter d'utiliser nos particularités avec parcimonie.D e plus nous allons a l'hopital, que notre ami Ed dirige, tu l'as rencontrer. Tout ca pour de dire d'y aller doucement.
D'ailleur, une fois qu'Alisa sera revenu, nopus organiserons un entrainement pour apprendre a travailler ensemble."

"Bien, allons y."
Blaz demarra la voiture et ils partirent vers l'hopital.

°hum... génial... amis, parcimonie, doucement... si on utilise déjà pas le même vocabulaire, on est mal barrrés°

Tyrannia se mit à rire toute seule.

Blaz ria aussi

la suite
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Une voiture s'engouffra dans le parking. Au volant : la trés séduisante Siljine. A ses côtés, la non moin savoureuse Claire.

Celle-ci s'adressa à sa patronne, tout comme elles se garaient.

"Dites moi un peu ce que nous allons faire exactement ... "

Elle soupira.

"Des gens meurent vous savez ... ils attendent beaucoup de nous."

*Ouvre moi ton esprit ...*

"Je ne suis pas contre l'usage des armes comme moeyn, si la mort ne reste qu'une fin justiciable. L'arrêt des gens Hors la loi doit nous revenir.
Je ne suis pas contre la divulgation d'armes dans la population, du moment que nous sommes les seuls à régenter cette distribution...

Il apparaît que depuis la mise en quarantaine de notre supérieur, la ville a peu à peu pris ses marques sans prendre en compte les données de base de notre goupe d'intérêt. Je ne souhaite pas que les armes et les "servants humains" soit offert aux autres groupes de tel manière qu'il leur soit donné à penser que nous sommes faible et sans ambition.

Nous allons reprendre le contrôle de notre territoire et les clans vont devoir réajuster leur point de vue, tout en reprennant en compte la dimension de notre unité..."

Un sourire carnassier, à la limite de la démence, illuminait le visage de la jeunde femme. Elle passa les mains dans son opulente chevelure et vérifia la présnece rassurante de son arme dans son holster d'épaule. Elle se tourna vivement vers sa camarade.

"J'ai pensé, au vu de vos états de service, que vous aimeriez me seconder et que la ligne rouge ténue entre légalité et illégalité ne vous fait pas peur lorsqu'il s'agit de faire régner l'ordre. Vous savez tout comme moi qu'une gigapole ne peux exister sans délinquance. Je préfère de loin magner cette délinquance à ma guise plus tôt qu'elle ne m'échappe. Et vous ma chère, qu'elle est votre pojnt de vue... "

Sa main resta posée sur son holster, pendant que la phrase restait en suspend entre les deux jolies femmes.

Claire sourit en réponse au sourire de Siljine.

"A Paris, un policier pour survivre avait besoin de deux choses. Une connaissance parfaite de la palette des possibilités d'action, et ses armes de travail. J'ai ce qu'il me faut ici.

Pour ce que j'ai pu apercevoir dans cette ville, le crime est omniprésent. Il doit être enrayé. Ou au moins, régulé. Et ce, nous nous devons de le faire, pour rappeler aux autres que nous avons les rennes du pouvoirs exécutifs.

Quant à la justice, j'avais des projets. Mais ce que j'ai vu les a éloigné. Désormais, je pense que votre point de vue colle au mien."

*Du moins jusqu'à ce que le votre soit devenu obsolète ...*

Elle plongea ses yeux bleus dans les yeux sombres de Siljine, comme pour appuyer sa plaid.

La main de Siljine s'eleva et rejoignit sa poche. Elle ne s'était pas trompée sur sa camarade. Elle sortit du véhicule et pris son portatif manuel :

"Ok les gars, je veux tout le monde en position dans la minute qui suit notre entrée dans l'établissement. Vous forcez le passage et vous nous rejoignez en force. Attention, je ne veux pas que vous tiriez sur les occupants de l'établissement sauf en cas d'extrême urgence. "

Elle sortit du véhicule et attendit sa compagne, puis elle se dirigea vers le bar. A l'entrée, elle se fit ouvrir la porte à l'aide de sa plaque tout comme la première fois. La partie commençait maintenant...

* Qu'importe qu'ils nous haïssent, pourvu qu'ils nous craignent...*

La limousine arriva et se placa en face de l'entrée du bar. Sereiguena en sortit aussitot Bruno arriva prévenu de l'arriver de sa maîtresse et commenca a lui parler des récents évènements.Sereiguena entra dans le bar.

La lourde cylindré s'engouffra dans le parking. Krieg arrêta son moteur.

Voila... Merci pour les indications... Je te laisse là, j'ai à faire.... Siljine devrait se trouver dans le coin, d'après ce qu'elle ma dit...

Krieg enfourcha sa moto et repartie. Il fit une centaine de mètres puis garra sa moto dans une ruelle. Il l'attacha rapidement à un poteau et pris la route. Il vérifia la place de son couteau et de son magnum... *Sa ira, j'ai pas le droit à l'erreur.*

Il revint à pied au bar...

Ivann se mis au volant de sa belle Corvette, si une baston se prépare
autant que je la mette à l'abris.

Il changea juste sa voiture de trottoir, dans la rue opposée à quelques mettre plus loin imaginant le positionnement des vehicules de la milice
qui pourrait malencontreusement la rayer.

Il dessendit alors et se dirigea vers un bâtiment stratégique pour pouvoir si percher et ainsi éxecuter se que l'on lui avait dit de faire.

*j'espere qu'il n'arrivera rien aux filles à l'intérieur...*

En s'approchant du bâtiment il remarqua alors :

"Tiens quelle coïncidence ! un sex-shop !"

(quartier des plaisirs non ?)

La silhouette grise de la berline de Ludwig von Helden se découpa dans le blizzard...La grèle frappait violemment le capot et la fumée du pot d'échappement condensait immédiatement sous le froid...La bagnole se gara non loin de la porte du bar... Il sortit de la voiture en maintenant son chapeau avec sa main droite qu'il venait de couvrir d'un gant de soie, et découvrit avec horreur des douilles, des bouts de béton et du sang mêlés à la glace sur le sol, avant de s'apercevoir, le visage décomposé, les lueurs d'incendie et les trous dans les murs...

Il alla chercher son 9mm dans sa bagnole, le prit de sa main droite qu'il cacha dans son manteau, et après avoir ganté sa main gauche, ressortit en maintenant cette fois sont chapeau avec la main précédemment citée. Il se dirigea rapidement vers l'entrée du bar, prudent, écartant avec son pied les douilles qui génaient son passage, créant au passage un léger tintement pratiquement étouffé par les rafales de vent. Il n'y avait que peu de bruit. Il se prépara à sortir sa pétoire de son manteau, prêt à tirer, et entra après avoir armé la culasse d'ou s'échappa un bruit caractéristique... "ku klux"...


SUITE DANS LE BAR.