Bureau d'Artem

je le laisse posté.

Cela avait pris 4 tentatives mais le mexicain en imper de cuir brun(avec des petite croix en argent comme fermoir) et au chapeau de cow-boy.. en cuir brun finis par arriver au bureau guidé par un garde. Il cogna donc à la porte puis entra dans le bureau(peut pas le décrire aucune description donné). Il enleva sont chapeau en entrant montrant ainsi son visage parcouru de rides et doté d'un épaisse moustache(il a jeté son cigare en entrant), s'assit puis dit avec un fort accent mexicain.

''Bonjourno segnior, yé suis venu dans votré bureau pour savoir si yé peut avoir l'endroit nommé '' Lé tabac des chasseur de primé'', c'é que yé m'y sentirais comme chez moi et que y'aimerais bien rendré service à cette ville en déclin''

Puis il attendit patiemment la réponse de l'officier en lisant son épaise moustache.

Le jeune Artem venait à peine de débarquer dans son bureau, fraîchement accompagné par un charmant jeune homme dont il ignorait le nom, au demeurant. C’est alors qu’il entendit quelqu’un frapper à la porte et entrer. Il lui adressa un large sourire, l’homme avait l’air avenant. Artem, ce jour-là, avait décidé de troquer ses vêtements noirs d’androgyne pour une tenue un peu plus classique mais surtout plus présentable : un pantalon en lin marron et une chemise blanche. Il se redressa alors et dit au nouvel arrivant :

_ Bien le bonjourr ! Je vous prropose de vous asseoir pour commencer !

Artem était particulièrement agréable et se réjouissait tant à l’idée d’être à ce poste que sa joie devenait quasiment communicative. Sa voix était sincère et au fur et à mesure, son accent slave s’estompait, bien que l’accentuation des "r" était inéluctable.

_ Si vous souhaitez acquérrir cet endrroit, il faudrra fairre parrtie de la Milice mon cherr. Mais je prrésume que cela ne vous poserra aucun prroblème.

Artem posa ses coudes sur la table et croisa les mains afin d’y poser sa tête. Avant tout, il désirait laisser une bonne impression à l’homme qui se tenait en face, et visiblement, il avait opté pour la décontraction et le naturel.

Fernandez regarda dans le vide quelque minute pour analyser la proposition de l'homme pendant... quelques minutes puis il regarda à nouveau son interlocuteur.

''Yé croit que vous avez raisone sur lé fait qué céla ne mé pose aucune probleme. Yé signe où? En passant yé me nomme Fernandez Adamo.''

L'homme tendit la main vers le jeune officier qui avait l'air assez sympatique quand il entendit des bruits de foules comme une émeutes. Il mit son chapeau puis se leva donc rapidement et sortit du bureau, son imper flottant dans le vent.

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