Entrée des souterrains.

Valtiore, les yeux noirs de rage et le pas empressé, pénètra dans les égouts. Son corbeau vint le rejoindre sur son épaule, et lui donna un coup de bec.

"Rien, tout va bien..." dit Valtiore en adoucissant son regard.

En fait, beaucoup de choses allaient mal dans cette ville !

Il parcourut les égouts et pénètra dans les catacombes, heureux de retrouver un endroit "familier", et où il savait que lui et ses congénères ne risquaient presque rien.

« Parfait ! s’écria Valtiore. »

Il s’avança vers le vampire.

« C’est très bien... comment te l’es – tu procuré ? demanda-t-il.

Il m’a suffit d’effrayer le conducteur, répondit le vampire en ricanant.

Bon. Très bien. Vous autres ! dit il en se tournant vers les égouts ! Venez mettre le plomb dans le camion. »

Valtiore les aida à soulever le plomb dans la remorque. Dieu que c’était lourd ! Une fois le tout chargé, il indiqua aux vampires de monter dans la remorque, et quant à lui il monta avec le conducteur. Une fois tout le monde installé, il ordonna :

« En route ! A l’usine désaffecté ! »

Et ils se mirent en route.

Valtiore était décidé. Il fallait qu'il parle à Sirion. Il pénètra donc dans les égouts en quête de trouver le vieux vampires. Son corbeau sur son épaule, il disparut dans la pénombre des égouts.

*Seigneur ...pensait-Valtiore ...donnez moi le courage de contempler mon coeur et mon âme sans dégout...*

Sirion surgit sur sa moto, projettant de véritables gerbes d'eau des deux côtés.

Devant l'entrée des souterrains, une bâche a été dressée, soutenue par des piquets de tente, pour fournir un abri aux gardes.
Ceux-ci ont allumés un feu dans un baril vide, s'en servant comme d'un brasero, mais cela ne les empêche pas de claquer des dents.

Sirion les éclabousse en s'arrêtant devant eux, et descend de sa moto, littéralement trempé. Sa cape est alourdit par l'eau, mais il ne semble prêter aucune attention aux éléments déchainés.

Quelle est la situation, là-dedans ?, demande le vampire en criant pour couvrir le vacarme de la tempête.

Les quartiers que nous utilisons sont à peu près sec, mon seigneur ! répondit le garde en hurlant.

Nous avons érigés des digues de sacs de sable, et comme il n'y a qu'une dizaine de centimètres là-bas (coup de tête vers les égouts), ça a suffit.
Par contre, on a évidement pas put tout protéger, et dès qu'on descend un peu, les tunnels sont innondés !

Et les catacombes ?, rugit Sirion.

D'après ce qu'a bien voulut me dire un de vos pairs, il sembleraient qu'ils aient évacués dès qu'ils se sont apperçut de l'importance de l'orage, et qu'ils aient scellé les Porte des Reins !

D'Airain, grogna le vampire.

L'humain le regarda avec un air d'incompréhension profonde peint sur le visage, puis reprit :

Je crois que la plupart d'entre eux sont allés dans l'usine, dit-il en montrant la vieille bâtisse désaffectée.

Sirion hocha la tête, et passa un coup de téléphone.

Valtiore, un sourire cruel sur le visage, s'avança vers l'entrée des égouts. Un "garde" s'approcha de lui.

"Bonjour ! Faites attention, certaines parties des égouts sont ..."

Il s'arrêta net quand Valtiore, qui avait dégainé sa lame de sa canne, la pointa sous sa gorge.

"Ecoute, manant, je n'ai rien à faire ou à dire à un insecte tel que toi ! Alors je te prie, épargne moi tes conseils !"


Valtiore rengaina sa lame et pénètra dans les égouts, sans se soucier du regard noir que lui jetait le garde, apparement éberlué.

Sirion tenait Jenna par la taille, et précédait Vladimir dans le quartier industriel désaffecté.
Ils passèrent entre deux usines en ruine, puis la butte que l'o voyait lorsqu'on était du côté opposé à l'entrée des souterains, apparue dans leur champ de vision.

Les gardes avaient démontés leur tente de fortune, et ils se mirent au garde-à-vous quand ils appercurent leur Maître en compagnie d'une femme beaucoup trop belle pour être humaine, et d'un homme qui semblait dégager une force sauvage.

Sirion marchait d'un bon pas, et parcourait l'Aehter à la même vitesse.
Il avait un pressentiment funeste.
Cette faille si bien dissimulée devait être d'une importance vitale...
Le vieux vampire était de plus en plus persuadé que cela avait un rapport avec le jeune Algoris... Mais lequel ?

Monseigneur, le niveau des eaux est redevenu correct, l'avertit le garde en faction.
Les mortels ont réintégrés leur quartiers, et la Porte d'Airain n'est plus engloutie.
Il reste cependant encore de l'eau dans les tunnels les plus profonds.

Sirion entra finalement dans la bouche d'égoût béante, et entraina les deux autres vampires dans son sillage.

Visite guidée, déclara t-il avec humour.

Il arrrivèrent dans le quartier fébrile des mortel. Un gigantesque réseau souterrain de gallerie dans lequels des humains, chaque jour plus nombreux, venaient s'installer pour avoir l'immense honneur de cotoyer des créatures supérieures.

Le quartier des mortels, déclara laconiquement le vampire.

Il le traversèrent alors que les conversations se taisaient, et qu'un millier d'yeux les suivaient, puis s'arrêtèrent devant la Porte d'Airain.

La Porte des Reins, commenta le vampire en souriant, comme dirait l'autre imbécile...

Du bronze massif, impossible à ouvrir pour un mortel.
Les catacombes sont là-derrière, et c'est le lieu principal de résidence des vampires du clan.

Sirion ouvrit la porte, déployant son immense force, et fit signe aux vampires d'entrer.

Allez-y, je vous en pire.

Jhon avanca dans les soutérains, souffrant de la cuisse

"Un Milicien m'a dit que les vampires vivaient ici Réané, il pourront nous aider...On les a déja aidé en leur donnant des armes..."

Il regarda devant lui et cria

"Il y a quelqun ? Venez nous aider !"

"Jhon Irving, Milicien, J'ai besoin d'aide, j'ai un blesser sur les bras...La Milice vous a fournit des armes, vous nous devez bien ca"

Le pretre suivait les fuyards de l'hopital de loin. Voyant les catacombes, il prépara ses Uzis...
_Vampires...

" Ah! qui m'établira juge dans le pays ? Tous ceux qui ont un procès et un jugement viendraient à moi et je leur rendrais justice! " Samuel Livre 2, Chapitre 15, Verset 4.

_Amen!

Jhon sauta dans les souterrains pour ce mettre a couvert

"Planquez vous, se type est cinglé !"

Les colossers repoussèrent violement John en entendant le mot "Milice", et lui décochèrent un coup de crosse en pleine face.

Tu attends ici !

Puis ils virent l'étrange prêtre armé de uzis, et ouvrirent de grands yeux.

C'est qui ce guignol ?

L'un d'entre eux prit son talki, et brailla.

Jack ! On a trois gus pas nets ici, préviens le Maître !

[Essayez d'y aller molo pour poster. On prend son temps, et on attend que les autres aient postés. Micri de votre comprihension ! ^^]

"Laissez moi passer ! Faites au moins passer Réané !"

Il regarda le prêtre et sortit un de ses guns

Samson invoqua Yahvé et il s'écria : " Seigneur Yahvé, je t'en prie, souviens-toi de moi, donne-moi des forces encore cette fois, ô Dieu, et que, d'un seul coup, je me venge des Philistins pour mes deux yeux. "
Juges, Chapitre 16, verset 28
Le prêtre fit feu. Il tira dans le tas.
2 uzis en mains, 2 autres en bandoulières.

Les balles de uzis se mirent à pleuvoir et un des gardes de la porte se cambra en gémissant, une rafale lui ayant déchirée les poumons.
Il s'écroula en vomissant du sang dans un pitoyable gargoullit, et les autres gardes réagirent comme ils purent.

Code Mortis ! On a un code Mortis à l'entrée des souterrains, cria le colosse blond dans son talki avant de reculer dans le couvert de la bouche d'égoût béante, imitant par là même ses compagnons qui s'y terraient déjà en tirant comme des forcéenés vers l'étrange prêtre.

Ils ne faisaient plus attention aux deux hommes qui semblaient eux aussi des cibles, mais ils ne les laisseraient pas pénetrer plus en avant dans les egouts.

Jhon se mit de facon a proteger Réané et se prit trois balles a sa place, Il s'énerva et hurla

"A jamais !!!"

Il souleva Réané et poussa les gardes pour pouvoir entrer dans les soutairains, et il réussi puis se mit a couvert

"Je m'en occupe Réané ne bouge pas"

Il cacha Réané derrière un mur et coura vers la sortie armé de ses deux armes et commenca a ouvrir le feu sur le prêtre