Aux alentours du grenier

(Parsy ne jouait pas l'indif, il vient quand il le sent c'est tout lol
je fais comme-ci tifa était là vu qu'apparemment le bar des nox ya eu un prob de copréhenssion de Rp, j'editerais si il y a un soucis, pas de prob)



Parsyfal, sortit alors du grenier.

"Hé, dites vous deux, la tempête monte, allez vous servir un cacao chaud à l'intériuer dans la cuisine, restez pas là."

Leur fit il, sans aucunement les commander, mais avec sa pointe de délicatesse version Parsyfal...
Puis un hurlement lounesque interpella le grand lycan !

*Létho ?!*

Il accouru dans le grenier et monta dans la chambre de Kyo où il se trouvait.

Fenrrir continua son chemin il huma l’air afin de reconnaître l odeur de Tifa mais rien, a la place il trouva un parfum enivrant. Ce n’était pas la première fois qu’il avait à faire a lui, après avoir réfléchit, il se rendit compte que celui-ci appartenait a Linoa…
Mais que pouvait elle faire ici, elle n’aidait pas les Nox façe a leurs ennemis…Puis il la vit sur un Rocher en position de chasse avec Tifa sur son épaule…Il se transforma en Humain, afin de pouvoir lui parlait…

« Il t’arrive quoi Linoa? Je te remercie d’avoir veiller sur Tifa, maintenant passe la moi, je la ramène au Grenier… »

Fenrrir se prepara a toute eventualité...

Linoa regarda Fenrrir avec son habituelle lueur malicieuse dans les yeux et un léger rictus sardonique vint illuminer son visage blafard. Elle tenait fermement Tifa à présent et espérait plus que tout lui briser la nuque contre le rebord du rocher pointu. Après tout, cette pauvre lycanthrope écervelée ne méritait même pas que Linoa s'attarde sur son cas en goûtant son sang souillé. Elle observa longuement Fenrrir et se souvint de leur première rencontre. Il avait beaucoup changé depuis leur dernière entrevue. Il paraissait bien plus sûr de lui, presque insolent –ce qui fit doucement rire Linoa–, et semblait être plus robuste. Pour autant, il paraissait toujours aussi niais et pas une seule seconde digne d'intérêt. Linoa se demanda même comment elle pouvait poser sur son regard sur un être si pathétique et hideux que lui.

- Mon cher Fenrrir… Cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus. Comment te portes-tu depuis la dernière fois ? C'est étrange tout de même, il suffit que je vienne surveiller cette jolie jeune femme pour que tu daignes derechef t'intéresser à moi… J'en suis profondément attristée. Moi qui pensais hanter tes pensées…

Le ton froid et railleur qu'elle employait à présent révélait sa véritable nature. Elle ne voulait cependant pas en rester là avec ce lycanthrope et décida de s'avancer, tout en faisant particulièrement attention à ne pas blesser Tifa. Elle la posa délicatement sur le sol et reprit la parole :

- Ne t'inquiète pas, je vais te la rendre. Elle ne m'intéresse pas… Toi en revanche…

Avec l'agilité et la rapidité du vampire, elle se retrouva en un temps record derrière Fenrrir et passa ses mains froides sur son cou frêle. L'odeur de sang inondait désormais ses sens mais elle ne voulait pas boire un sang aussi impur que le sien. Alors, elle le mordit juste rageusement et décolla ses lèvres de la chaire corrompue de sa victime avant que le précieux liquide vermeil vienne salir sa bouche. A présent, ses bras enlaçaient la taille de Fenrrir et elle émit un léger rire infernal avant de murmurer à Fenrrir :

- Tu ne m'auras pas encore cette fois, mon ange…

Avec la même rapidité dont elle avait usé pour aller rejoindre Fenrrir, Linoa s'approcha de nouveau de Tifa. Elle la souleva sans difficulté aucune. La tête de celle-ci bascula en arrière et Linoa en profita pour provoquer Fenrrir ; elle lécha lascivement le cou de la jeune lycanthrope. Puis, après avoir lancé un dernier regard noir à Fenrrir, elle lui d'une voix à peine audible –mais suffisamment pour qu'il puisse l'entendre :

- Certains vampires sont de vils menteurs quelques fois… Je fais partie de ceux-là.

Elle lui adressa un sourire méphistophélétique et d'un geste rageur, elle brisa le cou de Tifa puis laissa son pauvre corps inerte sur le sol. Elle observa Fenrrir une dernière fois et lui dit d'une voix enfantine, innocente :

- Oh comme je suis maladroite… Moi qui voulais simplement lui relever la tête… Oh Fenrrir pardonne-moi mon amour…

Une lueur de plus en plus malsaine inondait ses yeux et transparaissait sur son visage diaphane. Ses canines ressortaient indécemment de sa bouche et ses yeux avaient pris une couleur violet foncé. Elle s'adressa une dernière fois à Fenrrir avant de disparaître :

- J'espère pouvoir te réserver le même sort un jour… ou plutôt une nuit… Fais attention à toi, petit être. A très bientôt je l'espère…

Et d'un geste nonchalant de la main, elle lui envoya un baiser. Bien que le baiser létal eut été plus approprié…