Abyssus abyssum invocat.

Siljine et Claire, deux policières, étaient entrés dans le bar, avec pour guise de patte blanche leur plaque de police.

Les autres policiers n'allaient pas tardés. Comme l'avait laissé entendre sa supérieure, la véritable partie commençait. Claire s'avança à sa suite donc, et lui demandaà faible voix.

"On commence la percquisition directement ou bien attendons nous les autres ?"

Puis, de ses yeux bleus, elle scruta les enfirons.

Siljine ne répondit pas à sa coéquipière, elle égrenait mentalement les secondes, en sentant la pression augmenter dans son corps.

Sa tension augmentait, les fluxd'adrénaline montaient lentement en pression dans son corps. la tenancière de ce bouge minable était absente... Tant mieux.

Soudain des coups violents furent frappés à la porte. Les hommes de la sécurités se rendirent à l'entrée passant devant elle afin d'aller fermer la porte comme la première fois, lors de la rixe dans le bar mais...
Arrivant derrière eux, Siljine dégaina prestement et pointa son arme vers leurs tempes.

"Je pense que vous feriez bien de laisser cette porte s'ouvrir les enfants..."

"Elle sont entrées patron!!"

Dans un des camions qui se trouvaient dans la ruelle jouxtant le bar, le Sergent Beurth des F.I.N ( Forces d'Intervention de Nécropole) fit jouer la culasse de son PM et gueula dans son micro.

"OK, les gars, on passe en code Orange, tous dehors dans vingt secondes. Formation guerilla urbaine, on entre on prend ce qu'il nous faut et on sort... Par contre si l'un des mecs présent sort une arme, on travaille comme d'hab, on vide dans le tas."

Les camions noirs d'intrevention roulèrent rapidement et s'engagèrent sur le parking du bar, les portes latérales ouvertes. Avant même que les véhicules ne soient arrêtés, une quinzaine d'hommes avaient surgit des camionettes,et couraient déjà en direction de la porte.

Ils se débarassèrent vivement des personnes qui attendaient devant l'entrée, puis commencèrent à attaquer la porte à l'aide de leur bélier. Ils connaissaient leur métier, et la porte n'allait pas tenir longtemps.

Dès que l'espace fut assez large, la section s'engouffra d'une traite à l'intérieur, arme au poings...

Suite a sa visite au comptoir du bar,il se dirigea vers la sortie.Son esprit fut surprit de remarquer la présence de nombreux policiers lui coupant la sortie.Il avait eut la mince impression qu'un problème comme celui-ci aurai arriver un jour.Il s'alluma un cigarette puis chercha les deux vagabonds qui lui avait demander de l'aisser ses armes à l'entrée...Esperant que la millice ne les aies pas confisquers...

*Bon....Au moin l'Agent Nick n'est pas présent.....C'est bon signe...*

Ayant vu une troupe de policiers en uniforme se préparant à défoncer la porte d'entrée, Rolf décida de prendre son cellulaire et d'appeler le QG pour savoir de quoi il est question.

"Ici l'agent #131247. J'aimerais avoir des infos sur l'opération en cours au Bar des Plaisirs. [...] Ok, je vais attendre. [...] Quoi? Il n'y a aucune opération qui à lieu dans ce secteur en ce moment? Non, pas besoin d'alerter qui que ce soit. C'était une fausse alarme. Désolé du dérangement."

Voyant que des forces non-autorisées de la polices étaient utilisées, Rolf décida de garder un profil bas et de voir ce qui en découlera.

Nullement impressioné par l'arme qui lui faisait face, la commissaire commença d'une voix forte, portant loin:

"Bien le bonjours amis consommateurs, et bienvenue dans cet antre du plaisir. Je vois que chacun d'entre vous est désarmé. Soit, c'est impeccable puisque les raisons de ma venue ici sont les suivantes: Les rues de Necropoles sont devenues un bourbier infecte dans lequel chacun d'entre vous se roule attirant à nous misères et plaies. Les bons citoyens de notre ville ne peuvent plus sortir sans trembler, sans que la peur marque leur visage, leur pas pressant les menants d'un lieu à l'autres tremblants sans savoir si ils y arriveront jamais...

Dans le cadre d'une mission de pacification, nous allons vous retirer l'ensemble de vos armes que je sais être entreposées ici, ça évitera à mes hommes de devoir courir les rues à vos trousses, sans résultat. Les armes de cet établissement ne faisant pas l'objet de cette recherche, je prierais chacun de baisser ces fusils que je vois surgir afin que cette mise en place s'effectue sans débordement...

(Elle jette un oeil en direction de Bruno) Je vous rapelle que j'ai assisté ici à des combats clandestins, il y a moins de 24 heures... Le rapport se trouve actuellement sur mon bureau, ce qui stipule que je suis toujours dans le cadre d'une procédure de flagrant délit... Signifiant que je peux me permettre des action hors mandat sans en référer actuellement au procureur... Bien évidemment, je peux également vous laisser agir et me retirer... pour revenir plus tard et emmener chacun d'entre vous pour interrogatoire, ce qui entreneraît également une fermeture administrative d'une bonne semaine pour investigation..."
(HJ/ le mandat n'existe pas en Europe juste aux Etats unis pour info ploum ploum ploum /HJ)

Toujours souriante, elle laissa les employés du bar prendre leur décision.

Qui a dit qu'on n'étais pas en Europe ?

HJ/ Alors là, je suis un peu perdu, sommes nous en Europe ou pas, passque si oui, la legislation m'autorise plus ou moins à faire ce que je suis en train de faire mais si on est au etats unis, suis complètement dans le faux moi, faudrait presque que gne ressorte pour trouver une autre excuze pour rentrer C'est vrai qu'on est à la fois tarif € et $... Euh Quelqu'un peu prendre une décision et que je sache si je dois platement m'excuser. . . /HJ

Claire vint à la rescousse de sa supérieure.

"Mais nous avons un document. Un document que nul n'est sensé ignoré. La loi. Et un de ces articles dit : toute personne considéré comme psychologiquement normale doit être entendue et écoutée. Son témoignage doit être pris en compte.

Et je tiens à ajouter ceci : quand un trafic évident règne dans une ville, et qu'il provoque la mort, la terreur, et le chaos dans une ville, les forces exécutives de ladite ville doivent prendre les choses en main pour rétablir l'ordre. Donc il n'est pas question de présenter un mandat ou quoique ce soit."

Elle s'approcha de Siljine, et lui dit à l'oreille.

"Nous avons un as dans notre manche. Un certain trafic des Noxs à l'hopital. On peut s'en servir."

Elle redit encore, mais plus bas :

"C'est simple. Si nous repartons pour chercher un mandat, nous le ferons, mais nous reviendrons avec un mandat qui stipulera la fermeture à durée indéterminée de l'établissement. Et il en sera de même pour tous les autres."

(HJ : dernier post HJ ici, les concernés étant modos, ont peut en causer sur la partie modo ca évitera trop de posts HJ )

Siljine repris avec un sourire malsain...


" Il est vrai que j'ai entendue beaucoup de chose sur les activitée de mon ancien patron... Toutefois comme vous pouvez le remarquer, ma coéquipière et moi même ne sommes pas dans cette citée depuis fort longtemps et les éclaboussures de vos menaces peux subtiles ne nous atteignent pas...

Toutefois comme votre esprit borné ne semble pas être en mesure de comprendre toute mes paroles, je vais m'arrêter un instant pour vous réexpliquer certaines choses. Vous ne voyez pas ce que je veux dire en tant que combat clandestin, soit, mais je vous rapelle que je suis ici, avec mes collègues, la seule personne assermentée par la justice... ce qui veut dire qu'au yeux d'un tribunal, ma parole fais force de loi!! Et si cet aspect des choses ne vous plaît pas, il ne vous reste qu'à reprendre vos études afin de comprendre un peu mieux le code pénal...

D'autre part, le fait que j'execute (elle appuie sur ce mot) une action de justice dans le cadre d'une enquête de Flagrant Delit, me permet d'agir au mieux pour préserver les indices que j'estimerais nécessaire au bon déroulement de mon enquête, tous les indices... Or pour l'instant je vous ai avertis que vous gardiez l'usage de votre armement de "défense."
Ne me poussez pas à bout, je n'aimerais pas me voir obligée de faire appel à cette loi que vous dites si bien connaître pour vérifier toute les procédures d'ouverture de votre bar, ainsi que tous ce qui gravite autour, votre armement compris. . . La beauté et l'intelligence de votre patronne sont des atouts qui semblent vous faire défaut mais je doute que vous souhaitiez vous rendre dans mon bureau pour une petite explication... "

Elle se tourna vers quatres de ses hommes. "Force reste à la loi, allez me chercher l'arsenal qui se trouve à l'entrée!!"

Elle braqua son regard sur les personnes présentes cherchant du regard celles désireuses d'en découdre. Pour l'instant, elle ne voulait rien d'autre que récupérer l'armement de toute cette racaille... mais fallait pas la pousser.

le sergent Beurth et trois de ses hommes suivirent la demoiselle d'un pas décidé, dans la petite salle contenant les armes de l'ensemble des clients.

Ses agents posèrent à terre trois grands sac de toiles noirs et se mirent en passe de ranger chaque arme à l'intérieur, déchargeant les armes à feu pour plus de sureté et bloquant les pointes de lames avec des bouts de plastique.

Ils agissaient rapidement et en silence. Lorsque se fut fait , il se rendirent à nouveau dans la salle principale. le sergent se posa face à sa commissaire.

Laconique et froid: "C'est fait chef! "

Puis il donna un coup de tête en direction de ses hommes et ils commencèrent à quitter les lieux, toujours en position de combat.

Claire sourit.

"On dirait que cela est en effet bien fait. Je pense que les clients peuvent reprendre une activité normale."

Elle alla jusqu'à Siljine.

"Je pense que c'est du bon travail."

*Peut être vais-je pouvoir en profiter ... *

HJ/ Ni Claire ni moi n'avons envie de faire le tour des joueurs pour qsavoir qui se trouvait réelement dans la salle du bar et qui l'avait quitté avant notre arrivée, nous comptons sur votre fair play... Quoiqu'il en soit vous êtes maintenant désarmé dans Necropole... /HJ

Les policiers étant entrés dans l'immeuble depuis un moment, Rolf hésita à les suivre. Ce n'est qu'en voyant une jeune avec son chat entrer qu'il se décida à les suivre l'arme à la main. En entrant dans le vestibule, il pu voir l'un d'eux se retournant et pointant son arme sur lui. Rolf sorti son badge et le montra. Le policer baissa son arme. En regardant dans la fenêtre du comptoir où déposer les armes, il pu en voir 3 autres en sortant avec tout le contenu et se diriger vers la salle publique. Il s'approcha du policier et le questionna.

"Que se passe-t-il?"

La jeune commissaire s'éloigna en même temps que ses hommes en saluant l'assistance d'un coup de tête. A l'attention de Bruno :

"Tu auras pu observer que je tiens parole. La prochaine fois que tu te dresses contre une opération de police, tu ne t'en tireras pas aussi bien. "

Elle resta devant le bar à observer le sombre ballet des véhicules d'intervention qui rentrait au commissariat. Il ne restait plus qu'une camionette, dont les occupants armes au poings patientaient en attendant le départ de leurs supérieures. Elle vit également Rolf, qui se trouvait dans l'entrée du bar. Elle ne se rapellait pas l'avoir pris dans leur équipe pour ce travail. Une idée germa en elle.
S'approchant de l'oreille de Claire mais assez fort pour être entendue de Bruno:

"Allons saluer notre camarade de brigade..."

Elle s'approcha de Rolf et lui tendit la main.

Vu sa situation d'infériorité dans cette situation, Rolf se dit qu'il ferait mieux de jouer le jeu. Il serra donc la main de cette collègue tout en gardant un air légèrement renfrogné.

"C'est quoi ça! Une opération sans que j'y sois? Non, mais... Vous auriez pu m'avertir! J'aurais participé avec plaisir!"