près du lac

mon frere , sa fait longtemps que je l'ai vu,ms journée je les passes impeut n'importe quoi, je vus au jour le jour..

j'aime regardé les couché de soleil

Anastasia avançait à grand pas dans le parc, quand elle ressentit l'aura, certes larvée, de Réané. Elle se dirigea vers lui et se plaça derrière... le couple. Réané était décidément très changeant sur le plan sentimental ...

Elle éclata de rire, se retint et s'annonça.

"Excusez moi ... Je suis navrée de vous déranger ici ... mais pourrais - je parler le temps d'un soupir à Réané ?"

Son regard s'attarda sur la demoiselle. Une vampire. Et une des filles de l'autre idiot ... ah décidément !

Malvina se leva et enfila sa robe. elle se plaça ensuite face à elle !

Je ne t'excuse pas ! Quelle indélicatesse !
Tu nous déranges effectivement !

réané entendit anstasia..

il se rhabilla

attent moi malvina je revien ,

il lui fit un bisous sur la joue..

réané s'avanca vers anastasia,

oui je suis que me veus tu?

Elle sourit.

"Une indélicatesse qui effectivement n'a jamais plu à votre maître, ma jeune amie ..."

Elle se tourna vers Réané.
"Il faut que nous parlions de ton emploi du temps au théâtre. J'ai changé d'avis."

"Vous connaissez mon maître ? Etonnant ! et, qu'il n'ait pas aimé votre indélicatesse ne m'étonne pas le moins du monde !"

Elle se mit à nouveau assise sur le sol, tournant le dos à Anastasia.

en quoi as tu changé d'avis?

réané etais impeu mouilé

*j'espere que ces pas pour me viré*

Anastasia tourna un regard amusé vers la jeune vampire.

"Après sept cent vingt quatre ans, croyez bien que je n'ai plus le temps de m'offusquer de la nudité des ... des ... enfin des jeunes demoiselles. Et si cela vous étonne tant que ça, vous pourrez dire au grand seigneur SombreLame que même si sa réputation le précède, il fait bien de rester tapis dans ses égouts sordides. Réané, vous n'oubliez pas que vous devez m'y conduire n'est ce pas ?"

Elle sourit et dit ensuite :

"Je souhaiterai te faire monter d'un grade. Tu serais le cehf de la sécurité de tout le théâtre, et non plus que de l'aile des spectateurs. Qu'en penses tu ? Horaire plus conortable, et salaire doublé."

"Je ne suis pas factrice, et si vous avez quelque chose à dire au Seigneur Sombrelame faites le donc vous même. Sachez pour votre gouverne qu'il n'est nullement tapis."

Malvina préféra écourter cette discussion. Sirion l'avait chargée d'une mission et elle s'en acquitterait avant son retour en ville. Elle se dirigea donc vers le jeune homme qui venait d'arriver au bord du lac

"Bonjour. Vous êtes nouvellement arrivé dans cette ville ?"

oui je vous montrerai le chemin,

*coolll je suis chef maintenant*

merci de la confiance que vous avez en moi..

il vit malvina partir...

Akito esquissa un sourire a la jeune femme tout en gardant son doigt élevée avec la papillon
cettte personne avait comme une apparence fragile..
elle acciessa et resta a terre
"oui je viens d'arriver.."

Akito ouvra a peine la bouche qu'elle repartit a moitier dans son petit monde où elle ce protegeait et evitait ces crise en ne ce révélant qu'a moitié...
mais elle restait a regarder de ses jolie yeux la jeune femme .;comme auilleur..

"oui..nouveau ..oui"
elle jouait a sa maniere sans rire juste des regards lancé a l'animal doux et fragile..les papillon et certain oiseaux était souvent ces seuls amis..

elle ne ce préoqupa que de la personne étant venue lui parler .en lui addressant un gentil sourire ,bien que les espece du monde a pars celle animal l'importait peut..

Elle éclata de rire.

"Soit. Je te recontacterai. Tu recevras tes armes au théâtre."

Elle quitta le parc. Décidément, l'arrogance de Sirion allait jusqu'à ses filles.

merci et au revoir

il la regardat partir

il se dirigea vers malvina,

voila nous somme seul, nous pouvons recomence ou en etais

il vit l'homme a cote d'elle

salut

"Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire
Tu fuis, tu ne ris plus ; rien ne saurait te plaire.
La soie à tes travaux offre en vain des couleurs ;
L'aiguille sous tes doigts n'anime plus des fleurs.
Tu n'aimes qu'à rêver, muette, seule, errante,
Et la rose pâlit sur ta bouche mourante"

C'est le début d'un poème d'André Chénier ! Lorsque j'étais hu... adolescente, j'aimais beaucoup. Et tu me fais penser à cette jeune personne dont parlent ces vers.

Lorsque Réané s'approcha, elle lui prit la main et se mit contre lui.

réané la regarda attentivement quand elle cita son poéme

ces beau..tous comme toi..

tu veux qu'on aille ailleur?

elle souria et s'intérréssa un peut plus a la jeune femme
ces paroles était jolie et avait fait tout autant scéssée les battement de l'aile du papillon...que l'air riant de Akito
elle souria d'un sourire présent pour une fois, a la jeune femme..

"mais moi,je ne suis pas une jeune fille...
...
mais c'est un brin vrai au fond ,
tes paroles son belles comme ces pétales de roses blanche et prononcée comme tu l'as fait même par l'auteur aurait prit moin de sens.."

elle fit tomber de ses manches quelque petales de roses ainsi que de fleurs de cerisier..en le secouant ces manche,les petaux ne ce mettait même pas a pourir dans sa manche..
elle regarda alors le ciel

elle retourna songeuse a ses préocupation qui pour les autres n'avait pas d'intérêt mais le paillon avait scéssée de jouer alors elle resta a s'occupé du petit couple présent..
"tu n'es pas humaine,les humain n'ont pas de poésie.."

elle regarda l'homme et de son air absent souria vaguement
"ne faite pas attention a nous..lui et moi ne sommes qu'a demie présent ,sauf au citation de ses magnifique veres"

"Effectivement, je ne suis pas humaine ! J'aime la poésie et la nature, ils vont bien ensemble ! C'est une partie de mon passé !
Ma vie n'est plus la même.

Vous êtes bien mystérieuse ! Il semblerait que vous cherchiez quelque chose ? Je vous souhaite de le trouver."

réané les regardait parlez,il dit rien...il tenait toujours la main de malvina..
réané lui soufflait quelque mots dans l'oreille..

je t'aime.....................

Akito vit qu'il derangeait et boulversait un coupkle l'ennuyait sans l'ennuyé mais..cela l'empêchait en même temps d'être seul..
elle souria vagement et deplya ses ailes..
"ne partez pas..je vac..vous laissant ainsi place a vos magnifique peché de chaire.."

elle disait de belle paroles mais sans moquait un peut...elle ce préocupait juste du papillon perturbé par leurs précense..

ses magnifique ailes se deplyaire a la magnire d'une colombe et éclairait d'une étrange aura...
elle partit aussi rapidement qu'ellefut venut mias cette foie si d'un coup d'aile laissant sur son chemin un pluis de petales de rose blanche..

"Le papillon, fleur sans tige,
Qui voltige,
Que l'on cueille en un réseau ;
Dans la nature infinie,
Harmonie
Entre la plante et l'oiseau !..."

Gérard de Nerval, poète un peu "fou", mais merveilleux !
On peut vous laisser avec votre papillon, si vous le souhaitez. J'ai l'impression que nous le dérangeons !

elle s'arêta deux seconde en l'air..
"oh nen..c'est moi qui est eut le méprit,de venir par megarde auprès de ce lac..c'est donc a moi de partir.."

elle souria d'un sourire angélique et plein d'aurasa neige de petal ne scéssat et continua son chemin sans prendre garde a leurs reponse

"au plaisir d'un jour réentendre vos charmant poemes et ecritures"

réané la regarda avec admiration...

on n'a qua partir ci tu veux ?

"Cela n'a aucune importance. Nous devions partr de toutes façons. Et vous avez été discrète, contrairement à l'autre personne qui est arrivée avant vous.
J'ai été,heureuse de vous rencontrer. A une prochaine fois j'espère !"

Malvina regarda le papillon

"Comme un éventail de soie,
Il déploie
Son manteau semé d'argent ;
Et sa robe bigarrée
Est dorée
D'un or verdâtre et changeant" toujours de Gérard de Nerval

"Décidemment, vous m'inspirez tous les deux !"

Elle prit la main de Réané et ils se dirigèrent vers la moto. Malvina s'installa à l'arrière de celle-ci
"Je te laisse conduire. On va où tu le souhaites."

réané saluat la jeune femme, a la prochaine

puis réané se lessa entraine par malvina..

o merci de me laisse conduire,

il monta et demarra

vien on vas chez moi...