Chambre 23

John pénétra dans la chambre et s'aperçu vite qu'elle était complétement vide.

Il s'approcha du lit qui faisait face à l'entrée de la chambre et se retourna lentement pour s'assoir.

Il passa la main dans sa manche gauche pour toucher du bout de ses doigts la lame de son couteau.

*Si ya un problème je compte sur toi mon petit...*

John sortit ensuite sa main tout en prenant bien soin de dissimuler correctement son arme.

Il fixa la porte d'un air "stone" tout en attendant la venu du brancardier.

Un interne entra dans la salle.
Il s'avanca vers l'homme :

" Monsieur, je suis Karlos medecin de cet hopital. Ve vais vous examiner allonger vous. Il prit son stétoscope puis ecouta le coeur battre de l'homme. Vous semblez etre surmener je vais vous administrer un calmant. Qu'en dite vous ? "

Le medecin ne cachait pas ses sous entendu.

Lorsque le médecin lui dit de s'allonger, John s'exécuta sans broncher et le dit "Karlos" l'examina.

"Un calmant ?....je ne sais pas si c'est se qu'il me faut, j'ai juste mal ici."

Il montra de son doigt son abdomen au niveau du coeur et reprit.

"Je ne suis pas surmener comme vous le dites, je ressent seulement une forte douleur."

John resta tout de même sur ses gardes, observant chaque geste du médecin, prêt à intervenir si il tentait quelque chose qui lui semblait louche.

Le jeune medecin prit sa seringue et une fiole posser sur le chariot pret de lui. Il prit la fiole qu'il remua puis y planta sa seringue.
Il tira sur le manche et la remplit
Ensuite dans un getse rapide, chassa les bulles d'air.
Il reposa ensuite la seringue et prit le bras de l'homme.

" Detendez vous sa va aller. Je vais desinfecter votre bras puis vais vous piquer. "

Il passa l'elastique autour du bras et lui fit un garot.
Il planta la seringue delicatement dans la veine violassé qui apparu apres quelques instancs.

John fit mine d'avoir mal lorsque le médecin planta sa serignue dans son bras.

Il regarda fixement le médecin et poursuivit.

"Y'a quoi la dedans ? On sais jamais peut être que je suis allergique, faut faire attention à ce genre de choses."

Il lacha un léger sourire, attendant la réponse du dit "Karlos".

" Il s'agit d'un decongestionnant.
vous allez vous sentir a present plus détendu.
Allongez vous un instant, je reviens pour des examens complémentaires. "

Karlos commenca donc a se diriger vers la porte de sortie.

" J'arrive de suite "

John écouta le médecin et s'allongea sans broncher sur le lit.

Il ferma les yeux, attendant de voir si le produit qu'on lui avait injécter dans les veines allait faire son effet.

Il entendit l'homme s'éloigner et sortir de la piéce.

H.J : Un medecin revient par la suite s'occuper de toi mais tu etais dans les bras de morpher. Considere que tu te reveillera le lendemain matin avec une intraveineuse dans le bras. A ton reveil, une infirmière pret de toi.

A son réveil, John eu du mal à ouvrir ses yeux.

Il était allongé sur le lit, sous le drap, avec une intraveineuse dans le bras qui le relié à une poche contenant un liquide transparent.

Il aperçu une infermière près de lui, assise sur un tabouret entrain de le regarder.

Il tenta de dire quelques mots mais lorsqu'il ouvrit la bouche, rien ne sortit à part des petits gémissements.

John commença à chercher frénétiquement du regard son couteau dans la piéce, tout en laissant échapper tout de même une phrase.

"Qu'est-ce qui s'est passé ?"

L'infirmière sourit au patient.

"Je me presente je suis Claire. Je suis infirmière psychatre.
Vous etes hopitaliser apres avoir eu un soucis medicamenteux.
Il semblerais que vous soyez dependant a certaines substances dangereuses. Nous pouvons vous aider a arreter cette spirale infernale.
Pour cela c'ets tres simple accepter une cure de sevrage dans un centre spécialisé. qu'en dites vous? "

John se redressa sur son lit et se tourna vers l'infermière tout en restant assis. Il reprit rapidement ces esprits, son accoutumance à la drogue eu pour effet de dissiper la faible dose que lui avais administré le médecin.

Il remarqua que le couteau n'avais pas bougé, qu'il était toujours dans sa manche gauche.

Il l'a regarda tête baissée, une lueur de folie dans les yeux et avec un grand sourire montrant toutes ces dents du haut.

"Et si je refuse ?"

John attendit la réponse de l'infermiére tout en continuant de la regarder avec son expression de psychopate.

L'infirmière recula d'un bond, prit d'une violente stupeur :

* Cet homme est fou !!!! *

" Euh ... rien ne vous y oblige vous savez ... "

Tout en reculant en direction de la porte, la jeune femme ne quitter pas l'homme dans la chambre du regard, peur que celui ci ce jette sur elle.

" je reviens, je vais chercher les formulaires pour que vous puisiez quitter l'hopital des ce matin si vous le désirez. "

John regarda l'infermière s'éloigner et remarqua que celle ci avait eu trés peur.

*Je doit me tirer d'ici avant qu'elle ne rameute la sécurité, de toute façon j'ai eu ma dose et il me resque quelques gellules.*

Il se leva précipitemment et rentra dans les toilettes de la chambre, laissant la porte légèrement entre-ouverte pour voir ce qu'il allait se passer.

Il sortit ensuire consciensieusement son couteau de chasse de sa manche gauche et le garda dans son dos au cas où il y aurait un problème.

*Je crois pas que je devrais me faire remarquer mais si jamais ça tourne mal, je vais devoir utiliser mon don, je suis encore légèrement sous l'effet de la drogue, ça marchera.*

John regarda par l'entrebaillement de la porte attendant que l'infermière ou quelqu'un d'autre revienne, toujours avec une petite lueur de folie dans le regard.

L'infirmière se précipita dehors et alla prevenir la sécurité.
Cela laisser un peu de temps a l'individu pour en profiter et filer.
La sécurité ne metterais pas longtemps a arriver.

*Bon....je doit faire quelque chose vite....réfléchit bon sang....*

Hésitant à plusieurs reprises, John se décida quand même et sortit précipitemment des toilettes de la chambre et passa en courant la porte d'entrée de la chambre.

Il coura aussi vite qu'il pu jusqu'à la sortie de l'hopital.

Une fois sortit il continua de courir sans chercher à comprendre où il se dirigeait, vers le cimetière.

[suite au cimetière]

Lorsque l'infirmière revint accompagner d'un vigile, l'homme avait disparu.
Ne subsiter de lui que son dossier medical.

La chambre 23 étant delaisser, l'homme dans un état léthargique fut emmener dans cette chambre. Un medecin vint faire les premiers examens. Le patient alonger sur le lit ne réagit pas.
La stupefaction laissa le medecin un moment sans voix.
La spéctacle etait loin des habituels cas de l'hopital.
L'homme portait toutes sortes de scarifications et autre blessures sur la totalité de son corps. Certaines datant de plusieurs années et mal cicatricés d'autres d'hier ou d'avant hier tout au plus.
Une infirmière arriva bardés d'instruments chirurgicaux.
Elle fit une prise de sang.

" On va attendre le retour des examens préliminaires. Soigner ces blessures et faites lui une injection de Btp. "

Le ciel d'azur est devenu noirceur, sous l'étendue astrale l'océan des peines est en pleine tempête... Traversant le creux d'une immense vague un vaisseau navigue à l'abandon. Les voiles déchiré claque sous le coup des assauts insolent d'Eol. Le mat grince et craque devant l'écume venant perforer son bois. La barre laissé libre tourne, roue abandonné... Les rats ont quittés le navire... Mais sur le gaillard d'avant Cid se tient... Ombre solitaire dans la tourmente... Les lames de fond emporte à chaque passage un peu plus d'espoir... Depuis longtemps les rivages de Cythère se sont dissipé dans sa mémoire...

Une lumière... Un phare... Goutte d'espoir dans la mer...

Dans la prunelle noir du jeune homme une étincelle apparait. Dans la noirceur des yeux elle grandit, lueur étincelante, flamme d'espérance dans un coeur d'errance....

De ses lèvres bleui un son peine à sortir... La langue vermeil darde sa pointe pourpre et les dents blanche s'entreouvre. Pas un cri ni même un murmure, tout juste un espoir.

Enfin

Dans la chambre le jeune homme s'agite, le lit semble agiter comme un navire en pleine tempête. Sur son visage pas un sourire, pas un signe de comprehension mais déjà on peut voir la lueur de l'espoir....

Apres une batterie d'examens, le verdict tombe :
Cet homme est accro depuis très longtemps a bon nombre de drogue.
Les medecins consultèrent plusieurs fois les chiffres et ne comprirent toujour pas comment cet homme pouvait survivre avec autant de venin dans les veines. Les infirmiers se relayèrent au chevet du patient.
Il semblait lutter contre ces demons interieurs.

Les heures remplacèrent les minutes... Depuis de longues heures maintenant Cid était allongé sur ce lit blanc... Dans cette chambre blanche... Le jeune homme ouvrit les yeux.... Il ne l'avait pas fait depuis son entrée à l'hôpital...

Ses yeux détaillèrent la chambre. A ses cotés une infirmière. La quarentaine, le genre de femme dévoué à son boulot et droit dans ses basket mais surement rigide...

M'am....e..... je.... je... peux pa...s.... res...ter...
Le flot de mots qui embrouillait son esprit força le barrage de ses maux.
Tous est trop blanc, tous est trop pure je ne suis pas comme sa je n'ai pas ma place ici j'occupe le lit d'une autre personne une personne qui aurait besoin de soin je n'ai pas besoin de soin je n'ai besoin de rien si ce n'est d'elle laissez moi partir.
Aidez moi !
Cid avait parlé d'une traite, sans reprendre son souffle, vidant son sac avec hâte et sans prendre la peine de respirer, après son dernier appel, sa tête retomba sur l'oreiller.
Je n'ai pas le droit d'être ici. Murmura t'il dans un constat. Le jeune homme rejeta dans un regain d'énergie ses draps. Dévoilant son corps squelletique recouvert d'une blouse, blanche, elle aussi... Cid l'arracha exibant son corps nus, couvert de cicatrices. On aurait pu le prendre pour un survivant des camps de la mort...

Avec une fougue irréelle vu l'état du jeune homme il s'habilla. Il enfila un caleçon et son jean avant que la jeune femme ne puisse seulement réaliser que le malade allait prendre la clé des champs.

Eh mais vous êtes fou ! L'infirmière se leva pour esseyai de le remettre au lit. Mais c'était sans compter l'extraordinaire résolution de Cid. La femme n'osa pas s'interposer violamment de peur de blesser ce patient si faible. Mais alors que Cid, pieds nus et torse nu seulement habillé d'un vieux jean noir déchiré, poussa la porte elle réagit.
Les deux larges mains habitué à traité des malades saisirent le jeune homme. S'il vous plait ! Je vous en supplie ! Laissez moi !

Durant quelques minutes ils luttèrent. Les fines mains serrant la poignée de la porte tandis que l'infirmière tentait de l'en déloger.

L'infirmière appela à l'aide et c'est se qui sauva Cid. Un interne de service ouvrit la porte, Cid et l'infirmière furent jeté au sol. La confusion rêgna un instant et lorsque que les deux membres du personel hospitalier se relevèrent ils virent avec consternation que Cid s'était échappé.

Dans le couloir blanc Cid courait... Dans le hall le personel soignant vehiculait un groupe d'urgentiste qui portait une dizaine de personne victimes d'un incendie en ville. La confusion bien que minime permit à Cid de quitter le hall et d'arriver dans la rue. Ses pied nus percutaient le bitume alors qu'il courait... Aux hasards des rues... Peut importe la direction de toute façon il lui fallait se perdre... Bien qu'il le soit déjà, sans la préscence de sa moitié à ses cotés, l'ombre de son coeur était déjà égaré...

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