Bureau privé

Pancarte à l'entrée indiquant :

PRIVE

En entrant : une simple pièce insonnorisé, une fenêtre derriere un bureau pouvant être fermée à l'aide de stores.
Une machine à servire de l'eau dans des cobelets reciclés en plastique,
de l'autre une rangée d'étagères, affiches sportive sur les murs, rien de bien vilain...
Probablement la seule pièce bien entretenue du batiment.
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Suite au trois semaine de pseudo inactivité, Parsyfal intègre pleinement les lieus,
un plan du bâtiment est présent sur un mur, ainsi que quelques affiches sexy de top model sur d'autre..
Et.. ho ! Surprise ! il y a même une affiche avec Jane Hopckins qui prend la pose, et dédicacée en plus !! (a pas pu m'en empecher, dsl Lou )

Invité

Louanna pénétra dans le bureau, Liannon sur les talons et ne put s'empêcher de sourire nostalgiquement en sentant l'odeur de son ami dans la pièce. L'odeur était pourtant diffuse, comme s'iln'y avait pas mis les pieds depuis un bon moment. Il fallait dire que la paperasserie n'avait jamais été son fort. Son éducation de loup était trop forte... Elle détailla la pièce et rit légèrement en apercevant le poster qu'elle lui avait dédicacé. Ce cher vieux Parsy... Toujours égal à lui-même... Il n'avait jamais pu s'empêcher de faire savoir qu'il la connaissait, qu'il l'avait connu avant qu'elle ne devienne célebre sous ce nom de scène. Elle se dirigea vers le bureau et s'assit derrière. Faisant un instant tournoyer le fauteuil, elle réfléchit à l'orientation qu'elle allait donner à la salle de musculation. Elle tenait à la main la carte du chef des changeurs.

S'arrêtant brusquement de tourner, elle saisit le combiné et composa le numéro.

"Louanna Siemmela au téléphone. Vous avez voulu me voir?"demanda-t-elle lorsque son crrespondant décrocha.

[tu réponds puis je m'incruste sur ton topic pour continuer la conversation téléphonique...]

Invité

Le coup de téléphone fut bref. Louanna n'aimait pas s'éterniser. Le changeur avait quelque chose à lui prposer? C'était à lui de se déplacer. La lykane avait pris cette habitude de l'époque où elle était mannequin. Elle s'était déplacée, au début, mais cela lui avait causé quelques désagréments. Aujourd'hui, la jeune femme savait que si réellement queque chose était important, c'était à la personne qui en parlait de se déplacer, prouvant ainsi l'importance de la chose. Elle se leva et alla prendre un classeur pour voir les comptes de la salle tout en réfléchissant.

Alexandre arriva devant la porte du bureau, suivi de près par son co-équipier.

Il frappa trois fois, puis attendit qu'on daigne lui demander d'entrer.

Il réfléchit un instant au fait qu'une femme puisse se trouver être la patronne de ce temple de l'inhumain.

"Ce doit être une femme trop de fois abusée par la vie ..."

Invité

Lorsque l'on frappa au bureau, Louanna se leva et vint ouvrir elle-même la porte. Elle détailla un instant Alexandre et son co-équipier avant de se décaler de l'embrasure de la porte afin de les laisser entrer.

"Messieurs... Bienvenus... Entrez"

Une fois les deux hommes entrés, elle referma la porte et, de sa démarche souple et grâcieuse, revint à sa place où elle s'installa avant de leur faire signe de prendre un siège.

"Que puis-je pour vous, Messieurs?"demanda-t-elle d'une voix douce.

Marc ne réagit pas. Il n'était pas payé pour ça. Et son maître n'eût jamais toléré qu'il fît des travaux supplémentaires qu'il aurait fallu - peut-être ! - rémunéré.

Alexandre s'inclina devant Louanna assise, puis s'assit également.

"Je suis Alexandre CanterChase, le nouveau président directeur général de la Banque générale de la Nécropole. Et je suis ici pour vous proposer un marché."

Il détailla inflexiblement la demoiselle, son sourire étincelant ne tarissant pas. Puis ses yeux s'attachèrent au poster à l'effigie de la demoiselle.

"Je vois que vous êtes très polyvalente, mademoiselle Hopkins."

Alexandre CanterChase connaissait plus ou moins la mannequine, puisqu'il avait coulé l'entreprise d'un des tous premiers impressarios de la belle.

Invité

Louanna suivit le regard d'Alexandre vers le poster la représentant. Un léger sourire lui vint aux lèvres. Lorsqu'il se présenta, elle se rappela où elle avait déjà entendu parler de lui. Il était vrai qu'il avait, à l'époque où elle faisait ses débuts, failli ruiner sa carrière en faisant faire faillite à son tout premier impessario. La jeune femme, en apprenant ça, s'était d'ailleurs vengée sur l'impressario dont, curieusement, on avait plus jamais entendu parler.

*Il était infecte, d'ailleurs...*songea-t-elle e se passant la langue sur les lèvres.

"Effectivement, Monsieur CanterChase. Mais vous avouerez qu'il vaut toujours mieux un nom d'emprunt dans ces milieux... Vous gardez toujours une part de secret..."

Elle se tut un instant avant de reprendre:

"Ne croyez pas que je sois imbue de moi-même au point d'afficher des posters de moi... J'ai repris cette affaire ce matin-même... Elle appartenait à un ami qui a souhaité prendre des vacances"

Son ton, énigmatique pouvait laisser présager aussi bien de réelles vacances, que des vacances forcées du fait de la mort de l'intéressé.

"De quel genre d'affaires souhaitez-vous me parler?"

Alexandre restait impassible, son sourire étincelant de politesse ne démordant pas. Chose curieuse, pour quelqu'un qui se trouvait en présence d'un canidé ! (ceci n'insinue pas qu'il sait quelque chose :p)

"Eh bien mademoiselle, je crois savoir que dans ce bâtiment a lieu de nombreux combats à mains nues d'homme à homme. Je me trompe ?"

Il s'interrompit et posa son éventail sur ses genoux.

"Eh bien je souhaiterai vous proposer un marché. Je ne sais pas si vous savez, mais ce genre de combat peuvent être sujet à de nombreux soupçons de la part des autorités de la ville. Or une couverture officielle et fiscale vous permettrait d'engager des médecins qui permettraient de vous épargner le discrédit d'un homme dans le coma suite à un combat, ou même d'un cadavre suintant dans la rue ... N'est ce pas ?"

Il joignit ses mains.

"Alors je vous propose cette couverture administrative et fiscale. Bien entendu, cela sous entend un apport de votre part ... Je vais vous l'expliquer, mais d'abord dites moi ce que vous en pensez ?"

Invité

La jeune femme écouta avec attention l'idée d'Alexandre. Elle ne lui semblait pas mauvaise, bien qu'elle comportait pour elle certains risques. La jeune brune darda sur l'humain ses yeux d'ambre.

"N'essayerez vous pas d'en profiter et de me faire chanter?"demanda-t-elle en haussant un sourcil.

"Votre idée, est, certes, alléchante... Néanmoins, je voudrais avoir des garanties que vous ne chercherez pas à en profiter pour m'évincer... Sachez en tout cas, que j'aime l'argent autant que vous et que je ferai tout pour en gagner, et non pas en perdre..."

Son sourire s'aggrandit avant qu'elle ne reprenne:

"Mais allez donc plusloin dans votre idée..."

Véritablement insensible aux paroles de la demoiselle, il poursuivit.

"Il n'y a aucune escroquerie, car je m'implique autant que vous. Je m'explique. Si je vous fournis allègrement une couverture, sachez qu'évidement je mets tout en oeuvre pour que le profit soit énorme, et que nous puissions tous deux en profiter. Et mon idée était la suivante. La couverture attirera de nouveaux clients, qui n'auront plus peur de se faire démolir la figure à qui mieux mieux. Et cela va catalyser la prise de paris, et les bénéfices augmenteront. Car sur tous les paris pris par vos clients, par les combattants, et par les mécènes, eh bien vous tirez un bénéfice d'au moins 50 %. Ce n'était pas très faramineux à l'époque, en France, mais avec la couverture, ces 50 % seront très intéressant. Et là nous nous partageons les gains. De cette recette que vous tirez, je demande 15 %, avec toutefois la garantie que vous vous occuperez discrètement des clients, parieurs, ou mécènes qui viendraient à fouiller dans notre affaire."

Il sourit complaisament, puis poursuivit.

"Je n'ai pas terminé, mais vous pouvez toujours me dire d'ores et déjà ce que vous en pensez ?"

Invité

Louanna sourit. Elle n'avait pas affaire au chef des changeurs pour rien... Il avait, effectivement, le sens des affaires. Elle se leva et marcha dans la pièce avant de revenir s'asseoir sur le bureau face aux deux hommes.

"Votre idée me semble bonne et cela fait partie du genre de choses que je voulais mettre en place... Tout comme rénover la partie publique de l'établissement..."

Elle se tut un instant avant de reprendre:

"Si je dois reconnaitre que vous avez l'honnêteté de ne pas demander un pourcentage supérieur au mien, je me dois de vous poser une question... Sans doute voussemblera-t-elle idiote mais... Mieux vaut éclaircir tous lespoints, n'est-ce pas?

Vous parlez de 15% pour vous... Certes... Mais... S'agit-il de 15% des 50% de bénéfice soit pour moi les 35% restant, ou de 15% sur les bénéfice, soit pour moi 85%?"

Il se plut à voir que son vis à vis n'avait pas compris grand chose. Cela allait lui permettre de prouver son honnêteté.

"La totalité des bénéfices des paris est divisés en deux sommes : 50 % pour le parieur, 50 % pour votre établissement. Donc les 50 % qui nous intéressent forme une somme, un total de 100 % dont 70 vous reviennent, et 30 sont pour ma Banque."

Il continua.

"Ensuite, j'aimerais aborder une partie plus délicate, et je dois vous dire que vous pouvez m'arrêter de suite si vous avez peur des marchés crapuleux ..."

Invité

"C'est bien ainsi que je le voyais.."répondit-elle en chassant doucement l'air de la main sans quitter Alexandre du regard.

"Quel est donc ce point délicat que vous voulez aborder?"demanda-t-elle avant de lever la main pour interrompre Alexandre.

Elle attrapa le téléphone et fit le numéro de l'accueil afin de demander à Georges de leur apporter à manger, à boire et du café. Quelques instants plus tard, le mordu frappa à la porte et entra avec ce qu'vait demandé la jeune femme. Il ressortit ensuite. Louanna se remit de son côté du bureau et invita les deux hommes à se servir.

"Ce sera plus agréable ainsi... Je vous écoute, donc..."

Alexandre prit un verre, le toisa un instant, puis but un peu, et le reposa.

"Voilà. Si nous promulguons des combats comme à la chaîne, il y aura parfois des morts. C'est très regrettable, mais nous serons assurés contre ça. Et même nous pourrons parfois ... planifier ces morts ... A vrai dire, qui se soucie d'ivrogne en mal de barbarie, dans cette ville ? Là, avec tous ces cadavres, il serait difficile de s'en débarasser. Mais c'est là que j'ai eu une idée. Nous pourrions les revendre à des laboratoires clandestins européens qui foisonnent dans les trois puissances du vieux continents. Ils recherchent des cobayes humains morts pour faire de curieuses expériences. Songez à l'argent qu'ils seraient prêt à payer pour un approvisionnement tel que nous pouvons leur proposer."

Invité

La jeune femme attrapa un cuisse de poulet et mordit dedans tout en faisant mine de réfléchir. En fait, c'était tout vu... Les lykans pourraient, ni vus ni connus, prélever leur 'dîme' sous la forme d'un cadavre pour remplir leurs réserve, tout en s'enrichissant. Un sourire s'épanouit dans le regard de Louanna.

"Que voudriez-vous dans le cadre de ce marché là?"demanda-t-elle alors.

Elle imagina également quelques cadavres autres qu'humains. Elle était persuadée que quelques anges viendraient se battre également. Certains paieraient cher pour voir leurs cadavres... Il en allait de même pour les vampires et les démons... Oui... Vraiment, ce marché était une bonne idée...

"Eh bien je pense que de la vente des corps, 25 % pour ma part est un tarif tout à fait honnête ?Bien sûr, il faudra aménager ici même une chambre froide. Je la financerai, naturellement.

Qu'en pensez vous ?"

Il s'éventa fébrilement.

Invité

"Cela me semble raisonnable et envisageable..."répondit-elle d'une voix neutre.

Ellese servit une tasse de café et en proposa à ses vis à vis.

"Combien souhaiteriez-vous investir dans l'affaire? Et surtout, quel est le coût des travaux?"

Alexandre sortit de son éventail trois feuilles de papier non vierges.

Il désigna la première.

"Alors voici la couverture fiscale et administrative. Vous fixerez le montant, et nous nous alignerons."

Il désigna la deuxième.

"Voici une approximation du montant des travaux pour la chambre froide et les annexes. Cela se chiffre à un million et demi de dollars. Nous prenons en charge la totalité des travaux, vous vous contentez de superviser l'opération ... quitte à "utiliser" certains ouvriers pour approvisionner d'ores et déjà le petit traffic ..."

Il prit enfin la dernière.

"Et voici l'intégralité du contrat rédigée où TOUT est signalé et manuscrit. Vous trouverez toutes les closes, vous pouvez le relire, il y a deux exemplaires, un pour vous, un pour moi, et il ne reste plus qu'à signer."

Invité

Louanna tendit une main aux doigts longs et fins et aux ongles longs bien soignés. Elle attrapa les trois feuillets et le lut tous les trois, en commençant par le contrat. Celui-ci lui semblait tout à fait corrct, il fallait l'avouer. Elle chercha cependant à lire également entre les lignes, mais rien ne semblait contraire aux déclarations qui venaient de se faire. Elle le signa donc avant d'en tedre un exemplaire à Alexandre.

Elle prit ensuite le deuxième feuillet qu'il lui avait tendu.

"Je vous remrcie..."dit-elle en le lisant un peu plus attentivement."Et ne vous inquiétez pas pour ces ouvriers... Ils seront très utiles... Je pense même que les payer serait... Inutile..."ajouta-t-elle avec une sourire de chasseur.

Elle prit enfin le premier feuillet.

"Voilà une chose qui se déroule plutôt bien. Si vous le voulez bien, les clauses prendront effet dès à présent, de sorte à favoriser la vitesse et la légitimité de nos efforts."

Il s'éventait doucement. Il se leva, ayant pris les papiers nécessaires, et son air narquois intimait une prise de congé immédiate.

[Tu n'as qu'à dire que Marc et moi on est sorti de ton bureau dans ton prochain post :p]

Pensée :
[Jean] : Et ben vous voyez s'était pas pas si difficile..
[Traqueur] : Regarde plutôt devant toi tu gêne ! Laisse donc sortir ces hommesd'affaire.
[Bangara] : Maintenant qu'ils sont sortrits présentont nous a la maitresse !

Action :
Jean s'effaça de manière a laisser passer les hommes d'affaire. Une fouis qu'il furent sortient Bangara se mit a genaou et de sa voix grave (et pour une fois empreinte de respect ) dit " Je suis honnoré de vous rencontrer Madame". Hésitant un instant il reprit, "Et également très heureux. Je suis nouveau ici et bien que je me soit déja rendu chez vous (il fait allusion au grenier) je ne vous ai pas vu. Cepandant j'ai tous de suite sentit votre prestance... Peut on parler de façon franche ici ?"
Bangara semblait troublé par la présence de la Dominante.

Invité

Après le départ des changeurs, Louanna avait bien cru avoir droit à un peu de tranquillité pour terminer de mettre de l'ordre dans tous les papiers de son ami. Mais il fallait croire que c'était trop demander... Le téléphone sonna, Georges lui annonçant l'arrivée d'un lykan. A peine venait-il de l'annoncer, que la porte du bureau s'ouvrit pour laisser entrer le fameux lykan. La jeune femme se leva pour l'accueillir et fit le tour de son bureau.

"Asseyez-vous..."lui dit-elle en désignant un des sièges.

Elle-même sapuya au bureau et croisa les mains sur sa poitrine.

"Il n'y a aucune oreille indiscrète ici, si c'est ce que vous voulez savoir..."

Pensée :
[Traqueur] : Je ne savais pas Bangara si émotif ! C'en est touchant
[Bangara] : Hargggg!
[Jean] : Heu, si on faisait ce qu'elle dit et que nous nous expliquions plutôt que de nous disputer ?
[Traqueur] : Tu as raison.

Action :
Le Traqueur se leva et s'assit sur le siège désigné. Puis il reprit la parole et dit "Alors je vais m'exprimer clairement : Je suis Bangara Khaal, de mon nom humain Jean, ancien Traqueur de ma meute. Si je suis ici, dans la nécropole c'est que ma meute a été dissoute. Je suis d'avis que les Lyckan doivent vivre en meutes... Aussi je demande a entrer dans votre Meute, Madame" dit-il en s'inclinant de nouveau.

Invité

Louanna offrit un sourire au lykan en face d'elle.

"C'est avec plaisir que j'accède à votre demande..."

Elle marqua un temps de silence avant d'ajouter:

"Quelles sont vos compétences? en bref, que pouvez-vous apporter à la meute?"

Pensée :
[Jean] A vous voyez ce n'était pas si compliqué !
[Traqueur] Mouais... Ce que l'on sait faire ? Puisque c'est demandé si gentiment on va lui répondre...

Action :
Après que la Dominante lui eu répondu par l'affirmative Jean s'autorisa une légère décontraction (dans son ancienne meute les non admis était tué). Puis le Traqueur reprit la parole : "Comme je vous l'ai dit je suis un ancien traqueur : dans ma précédente meute ce rôle consistait a intervenir la où les autres Lyckans ne son pas aptes car il sont trop inpatient ou pas assez subtil. Maintenant, je ferais ce que vous jugerez bon pour la Meute, Madame. "

» Le bureau