Les ruelles des habitations

Malvina arriva dans les rues, sa fine robe collée à son corps, dessinant ses courbes gracieuses. Ses longs cheveux lâchés ne suffisaient pas à dissimuler la cambrure de ses reins. Elle avançait, d’une démarche langoureuse, à la recherche de quelque pauvre hère à se mettre sous la dent avant de commencer réellement le recrutement.

Au coin d’une ruelle déserte se tenait une prostituée, assez jolie, ma foi. Malvina s’approcha d’elle avec un sourire et arrivée à sa hauteur, la plaqua contre un mur en la bâillonnant, puis la vida de son sang

« il n’est pas question d’enrôler des femelles, qui risqueraient de me voler l’amour de mon maître ! ».

Puis elle laissa glisser le corps de la pauvre malheureuse sur le sol, et continua son chemin.

Quelques mètres plus loin, un jeune homme se tenait là : il pleurait en cherchant quelque chose dans ses poches. Malvina s’approcha, lui faisant les yeux doux, avec un sourire qui en disait très long ! L’homme la regarda des pieds à la tête, la déshabillant du regard « mais vous êtes trempées, Mademoiselle ! Vous allez prendre froid ! Voulez-vous que je vous réchauffe un peu ? ». Malvina s’approcha plus près encore, faillit le mordre mais se ravisa à l’idée de la colère de Sirion si elle rentrait bredouille. Elle accepta le manteau que l’homme lui proposait en le remerciant ! Il était subjugué par tant de beauté et lorsque Malvina lui promit l’immortalité et lui demanda sa protection pour les siècles futurs, il accepta sans aucune réserve. Elle continua ainsi des heures durant à recruter des hommes, jeunes ou vieux, mais en choisissant toujours des rebus, des mendiants et des malheureux, comme le lui avait demandé son Maître.

Lorsqu’elle croisait une femme, elle la vidait de son sang et demandait aux hommes de sa petite troupe de se débarrasser du corps de cette dernière.

Ils la suivaient, en adoration devant elle, et obéissaient à toutes ses demandes. Cette situation commençait à lui plaire et le fait qu’ils soient à sa botte était un plaisir, une jouissance extrême. Une fois le nombre conséquent, elle retourna vers les égouts avec son troupeau d’hommes.

Tannor était revenu du cimetierre, il n'y avait rien trouver digne d'intérêt, il avait donc arpenter quelques heures la ville, il était cependant tomber sur un humaine, assez frêle d'ailleurs, mais qui lui donna suffisament d'attention pour se rassasier et se remettre en route. L'humaine en question gisait maintenant dans un coin de ruelle, dissimulé dans l'ombre.
Il arriva après plusieurs coin de rue dans une ruelle ou de nombreuses maison décorait les ruelles.

*Peut être un endroit peuplé?*

Il l'espérait, il marchait depuis des heures, mais hormis la nourriture, il n'avait trouver aucune présence de semblables, il commençait à se demander si il y en avait vraiment, il marcha dans la ruelle, observant les maison comme si l'une d'elle pouvait devenir la sienne.

Araniel arriva dans les quartiers d'habitation. D'après ce qu'elle avait entendu dire, Valtiore habitait danss un manoir. *Cela ne devrait aps être trop dur à trouver... Un manoir, je devrais le voir de loin... Pourquoi est-ce qu'il pleut? Je ne peux aps voler et ne vois donc rien....*

Elle déambulait dans les rues, regardant de gauche et de droite, cherchant du regard un manoir. *Mais où est-il bon sang...?* Elle finit par le voir, au détour d'une ruelle et remonta l'allée y menant.

De retour dans les rues, Louanna marche en compagnie de Lianon. La nuit la tarde. Elle est pressée de se transformer et de partir à la chasse. Elle sait très bien que manger de la viande cuite ne la rassasiera pas. Il lui faut de la viande crue. Or, trouver un tartare dans un restaurant, quand on est une jeune femme 'innocente' n'est pas chose aisée. Enin, elle sait qu'ici, elle sera bien. La ville grouille de gens étranges. Avec un peu de chance, elle trouvera d'autres loups dans le coin. Elle s'arrête soudain et s'accroupit aux côtés de Lianon.

"On va trouver d'autres loups Lianon. Et on leur prendra sûrement leur territoire..."

Elle sourit d'un air carniassier. La faim la taraude. Elle va devoir se rabattre sur de la viande réchauffée... Elle se dirige vers le premier passant qu'elle voit, laissant Lianon en arrière.

"S'il vous plait, Monsieur, savez-vous où je pex trouver un restaurant dans le coin?"

L'homme lui indique. Elle le remercie avec un petit sourire timide et tourne les talons. Sa robe, fluide et légère, qui tombe jusqu'à ses chevilles virevolte derrière elle. Elle rejoint Lianon et tous deux partent dans la direction indiquée par le type.

réané monta derriére elle..

je ne sais pas ou allez, je vien avec toi..

Dominka et Romulus arrivèrent dans les ruelles. Chemin faisant, Dominka aida un vieil homme à boutonner son manteau. Un enfant était tombé avec son vélo, elle le releva, souffla sur ses genoux

Et voilà, le bobo est parti ! Envolé ! Elle redressa le guidon et un rayon, et aida le bambin à repartir.

Un petit chat se trouvait au milieu de la chaussée alors qu’une voiture arrivait à vive allure : Dominka se précipita devant le véhicule et prit le chaton dans ses bras. Le chauffeur pila !

Espèce de gourde, tu veux te suicider ? Et pour une bestiole poilue en plus ! Une vrai demeurée !

Dominka s’approcha de la fenêtre ouverte du conducteur

Nous sommes tous les enfants du Seigneur ! Nous devons respecter tout ce qui a été créé par Notre Créateur ! Soyez charitable et votre vie n’en sera que plus agréable.

Le chauffard la regarda, effaré et démarra en trombe

Une illuminée ! Pauvre de moi !

Dominka revint près de Romulus. Elle tenait toujours le chaton contre elle.

Pauvre petite chose !

Romulus sourit

"Tu as de la gentillesse a revendre..."

Il s'approcha d'elle

"Tu sait, j'aurais pu m'occuper de lui..."

Romulus la suivit

"Tu ne tient pas en place !"

*On dirait Benny Hill !*

davick sortit de sa maison et arriva derriere jenna silencieusement..

il lui toucha les cheveux et lui murmura a l'oreille

merci..