Les cinq motos s'arrêterent dans un crissement de pneus, les hommes en descendirent, habillé de cuir noir et portant des armes au coté ils retirèrent leurs casques. L'un deux, le plus maigre, prit la parole.
-Alors Krieg on fait quoi maintenant ?
- On va y aller doucement, on doit pas entrer si facilement... Il passa la tête de derrière le petit bosquet qui lui cachait l'immenses barre de béton qui clotûrait la ville. Ulrich et Hans allez y, reperait les lieux. Et revenez vite ! Les condé sont ptet'encore à nos trousses !
Deux des hommes partirent en se baissant. Dix minutes plus tard la rafale d'un automatique retentit dans la nuit. Le faisseau d'un projecteur passa au dessus d'eux. Hans revint en courant deux secondes plus tard.
- L'ont buté ! Miradors tous les cent mètres des barbelé partout bref c'est impossibles.
Le dénommé Krieg s'avança et pris l'arme de Hans, un berretta avec silencieux. Il fit feu, l'homme s'effondra un trou dans la tête.
- Tu à manqué de force Hans... Et sa je ne le tolère pas ! Les autres suivez moi ! Jorgen passe devant et trouve un vrai passage.
Le petit maigre courut, courbé et se jetant quelques fois au sol. La détonation du mine retentit à quelques pas du groupe. Dans l'éclair de lumière Krieg vit Jorgen volait, la tête arrcaché, il avait plonogé sur une mines.... Krieg regarda son dernier homme... Il lui fit signe de passer devant. Lorsque le dernier fut avançé d'une dizaines de pas. Krieg l'abbatit d'une balle de berretta dans le dos. Puis il fit demi tour.Passer par le mur est pour entrer à Necropole... faut être fou... Il ricana puis enfourcha sa motos.