La planque

Simeon était entré discretement dans la planque, en arrivant, toujours caché, il vit l'un de ses hommes en train de lui voler un poignard. Il déboula dans la pièce et dit :

"Salut les mecs ! Ca gaz ? J'en voudrais trois devant le barrage maintenant, la nuit va surement être cool. Au fait, si un enfoiré de banquier vient devant le barrage avec un "potentiel", le descendez pas, appelez moi ok ?"

Il retint le quatrième par le main et lui dit :

"Bon, c'est à ton tour alors.... quand je pense que t'aurais pu l'avoir juste en le demandant pssss, c'est dommge mec mais il me faut un souvenir en échange."

L'homme de main tremblait et dit :

"Que, que quoi ? J'ai, j'ai rien fait moi.... mais, mais..."

Simeon pris alors son poignard et lui coupa la main droite d'un geste net et bref.

"Eh ! T'inquiète pas mon pote t'as toujours l'autre pour me rembourser oki ? Cool !"

Il le fit sortir de la planque à grands coup de pieds et se mit à rire seul.

La planque portait vraiment bien son nom, c'était un immense réseau placé sous la cabane mais qui s'étendait sous la colline entière. De cette façon, on pouvait y loger de nombreuses personnes et il restait assez de place pour les armes et les recettes. Les bureau des Percepteurs et des Esclavagistes y étaient installé, les autres rang n'en possédaient pas. Simeon laissa chacun à ses occupations une fois de plus. Il appuya sur un bouton, un meuble se déplaça au dessus de lui, puis il souleva la trappe et sortit. Il remit le meuble en place lui même car il n'y avait pas de bouton à l'extérieur ( ça serait idiot^^ ) et sortit. Il vit ses hommes de main posté et leur sourit de manière détendue.

"Eh les potes ! Je sors, soyez vigilants et ne vous camez pas trop ! Wouhou !"

Il s'en alla vers le centre-ville au volant de sa voiture de sport.

Un vrombissement assourdissant se fit entendre et on vit apparaître la voiture rayée de Simeon. Il descendit après avoir freiné brusquement devant le barrage :

Oh oh oh !! Putain !! Ils me l'ont abimé !! Jme vengerai..... un jour !! En attandant jme pose ici. Renforcez les effectifs.

Simeon repartit un peu plus tard, donnant les même consignes qu'auparavant. Il voulait s'amuser un peu, comme il ne l'avait pas fait depuis des lustres. Il monta sur sa moto et s'équipa de son lance flammes, de son shootgun à la ceinture et de son poignard dans un botte. Il partit en fonçant et poussa un :

Hypeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!! C'est partit !

Simeon se déplaçait facilement dans les couloirs sinueux de ses sous-sols, mais un non-habitué s'y serait aisément perdu. Pour cela, il gardait toujours un oeil sur ses invités jusqu'à leur arrivé dans la salle de conférence : une sorte de bureau qui ressemblait beaucoup à ceux des commissariats mais à la différence que queqlues armes y trainaient.

"Installez vous, ici, on peut discuter tranquilles."

Sereiguena s'installa à la table l'homme resta derrière elle.

" Et bien il est vrai qu'il semble que cette pièce soit tous à fait convenable pour une discution de cette importance, par quoi voulez vous discuter? Affaire ou le récent conflit avec ce vampire et sa progéniture qui déjà prolifère?"

Sereiguena se retourna vers son homme de main qui lui tendit un cigar ainsi qu'un briquet.

" Puis-je, en voulez vous un?"

Simeon :

"Avec plaisir, je fumes pas très souvent mais là... Pour la discution, je pense qu'il faut vraiment faire sa fête à ces satanés vampires. J'ai pu remarquer qu'ils se multipliaient avec une rapidité hors du commun et qu'ils avaient en plus trouvé un soutient en cette chose de nature angélique."

Ici, Simeon parraissait beaucoup plus sérieux qu'à l'extérieur, mais toujours détendu. Il continua :

"Je suis assez heureux d'avoir pu en éliminer un mais je pense pas qu'ils s'arrêteront là. Je n'ai malheureusement plus de nouvelles de l'autre bande démoniaque qui nous a aidée la première fois. Qu'est ce que tu pense de ces vampires ? Il ne faut pas qu'ils prennent le cimetière je pense..."

Le serviteur de Sereiguena alluma le cigard de celle-ci

" Non cela serait leurs donner un pied à terre et aussi une certaine légalité le cimetierre n'appartiens et n'appartiendra jamais à un clan c'est une zone neutre entre nos différent clan je pense qu'il serait bon de réunir les différent chef de clan pour sapper ces cloporte, sache que pour information l'un d'eux s'ai permis de chasser sans vergogne sur mon fief et là je ne supporte pas qu'on me manque de respect surtout une sous catégorie de mort vivant."

L'homme de main tendit un cigard ainsi que le briquer allumer près de Simeon.

Simeon alluma le cigarre avec le briquet et fit un signe de tête au serviteur. Il approuva d'un autre signe de tête les paroles de Sereiguena puis dit :

"Je comprends bien ton problème ma jolie, figure toi qu'il s'est aussi permis une escapade de ce genre ici : il a osé venir marchander une arme avec moi, puis voyant que je ne céderais pas, il m'a piqué une grenade et m'a menacé avec. J'aime autant te dire qu'il a été assez déçu... Je suis totalement d'accord avec toi sur le fait que le cimetière est neutre et qu'il doit le rester. Ou est-ce que je vais m'entrainner au shoot sinon éhéh... Pour les autres chefs de clans, on a vu ce que ça donnait, je suis content du résultat, c'est aussi ok. Mais compte sur moi pour aller en faire frire deux trois avant éhé !"

Puis il pris un ton plus décontacté encore et dit :

"Bon maintenant, sauf si t'as encore quelque chose à dire là dessus, on passe aux armes ! Tu veux quoi comme style ?"

" Non je vois que nous avons le même but donc dans le même sens tu saura compter sur moi ! "

Sereiguena tira une bouffé de son cigar.

" Et bien pour ma part j'aurai besoin de mine anti personnel de contacteur, de matériel à faiseau pour détection de mouvement, de uzi, M16 d'une caisse de grenade. Sinon à tu du napalme comme tu as un hélico cela serait fort marrant de leurs fouttre sur la tronche non? Sinon ils me faut des munitions et des desert eagler. Et je pense que cela suffiera pour le moment. Si tu as une proposition je suis ouverte à tous je connais que très peu ce genre de matériel!"

Fit elle avec une moue sensuelle.

Simeon était sur le point de craquer (HJ : référence à la moue sensuelle lol HJ/ ). Il avait cependant bien écouté l'énumération des armes de Sereiguena et en avait pris note sur un carnet qui se trouvait sur son bureau. Il répondit :

"Ouais, pas de problème, j'ai tout le matos que tu me demande. Je te conseillerais, pour un des gardes bourrins que j'ai pu voir à l'entrée de ton bar, ou pour un de tes hommes de terrain, un petit outil bien marrant."

Il tira sur son cigare, se leva et désigna le fond de la pièce du doigt. Il y avait un lance-grenades des groupes d'intervention spéciales du temps où la police faisait semblant d'être intègre.

"Ca risque bien de t'amuser pour un moment ma jolie. Dès qu'on sort, je ferai venir tes armes. Pour le napalm, j'en ai pas mais ça va pas tarder, j'ai des mecs qui peuvent en fabriquer. Je remarque avec plaisir que tu te tourne vers l'explosif... mais ça ne m'étonne pas éhé..."

"J'ai une préférence pour toute arme qui peut faire souffrir mes ennemi mais ma préférer c'est quand même la mine antipersonnel un vrai orgasme de voir un homme perdre une jambes sans que celui-ci ne peur sur le cout. Tu me mettra un de ces engin sur la liste j'en ferai l'essai et te dirai un peu ce que j'en pense."

Elle tira de nouveau sur le cigar.
Elle claqua des doigts.

Son suivant déposa sur la table les deux mallettes, enleva les menottes et ouvrir devant Simeon les malettes emplit de billets.

" Cela conviendra t il ?"

Simeon avait un regard posé et évaluateur. Il regarda bien le contenu des deux malettes et dit finalement :

"Mais il y en a au moins pour vingt milles dollards là dedans ! C'est le prix que j'aurais fait payer au vampire mais sûrement pas à toi ma jolie. Enlèves en 5000, le reste me suffira."

Il se leva, appela un garde à qui il donna la liste de "courses", et dit à la démone, en revenant vers elle :

"La livraison sera faite dans cinq minutes, mais attention, le service client sera occupé à butter du vampire pendant un temps et n'acceptera pas les réclamations. éhé"

Sereiguena regarda l'humain ainsi faire le compte.

" Et bien garder le reste pour le développement du napalme cela me servira autant qu'à vous une petite contribution. Quand à votre service de livraison je dois dire que l'on est mieux servit que dans un supermarché. Je pense qu'il me faudra revenir dans peu de temps car je risque d'avoir utiliser toutes le munition je suis une grosse gourmande"

Sereiguena se leva et s'avanca présentant sa main pour conclure l'affaire.

Simeon comprenait à présent pourquoi c'était une démone :

**C'est inhumain de dire de telles choses ( je suis une grosse gourmande )**

Il sourit enfin et serra la main que la démone présentait. Il répondit :

"Merci du compliment et de la contribution à notre projet, je ne l'oublierai pas. Il n'y a pas de problèmes, repasse quand tu veux ici ma belle, je peux rien te refuser..."

Sereiguena fit un dernier sourire et suivit Simeon pour sortir de ce petit labyrinte suivit de son serviteur.

[Devant le barrage]

HJ : bon, encore désolé mais tu ne peux pas trouver la planque, car comme c'est dit, elle est souterraine...disons donc que tu arrive dans le cabanon...je vais changer ton message de place. HJ/

HJ: Ah merci ! (je suis nouveau, désolé ihihi)

Krieg guidait par les deux milicien entra dans l'une des salles rempli d'armes, certaines était couverte de poussière et d'autre toute neuve mais elles marchaient toutes. L'homme déambula en boitant dans toute la pièce de taille modeste et il trouva se qu'il lui fallait, il mis dans un holster à sa ceinture un desert eagles tous neuf. Il prit quelques chargeurs pour sa M-16 et son désert puis sortie toujours suivi des deux milicien.


-J'adore cette putain de ville ! Pas vous ?
- Ouais on va bien se marrer...
-Allez on s'arrache.

"Et toi, mène moi à la planque j'ai oublié mes clés !!"

La commissaire avait avisé un des plantons de garde au poste, et l'avait suivi en direction de la remise. Là, elle attendit qu'il lui ouvre la porte avant de lui signifier son congé d'un geste brusque.

Une fois à l'intérieur, elle observa un instant comme surprise l'étendue pharaonique d'armes de point et de fucil automatiques qui s'alignait contre les murs, de salles en salles. Elle n'avait pas imaginé que l'arsenal soit aussi vaste ...

Clopinant au hasard des premières salles, on aurait pu la voir, toujours suivie par M. Lust, s'accroupissant devant des caisses, allant derrière des recoins pleins de fusils et de munitions. Tranfiquant on ne savait quoi derrière les réserves.

Puis, toujours clopin clopan, elle se dirigea ves le batiment principal ou ses troupes avaient leurs quartiers.

Les mains derrière le dos dans une posture patiente, Mlle Helloween attendit patiemment que les miliciens qui ne patrouillaient pas soient réunis dans la cour, carré au garde à vous, attendant ses ordres.

Lorsque chacun eu correctement rejoins sa place, elle se posta derrière les micros, et , d'un faible brin de voix chuintant, tentat de se faire comprendre de ses hommes.

"J'ai un problème vocal du à une agression, je laisse à M. LUST ici présent le soin de vous faire un rapprt de la nouvelle situation. "

Dans une quinte de toux, elle recula de quelques pas, tapotant l'épaule de l'homme qui l'avait suivi jusque là afin qu'il prenne sa place devant la troupe. Pendant ce temps, elle s'assit sur une chaise et écouta le discour de l'homme.

La commissaire avait annoné de l'occiput pendant tout le discours, ponctuant chaque affirmation du jeune homme d'un bref hochement de tête. A la dernière demande de ce dernier, elle fit mine de réfléchir puis secoua la tête dans un signe de dénégation.

Elle s'approcha du micro et dans un chuchottement , lança un bref " Vive les Noxs, vive la milice" , phrase reprise par ses hommes sans grandes conviction. On voyait qu'ils avaient du mal à comprendre le brusque revirement de leur maîtresse, mais il ne souhaitait pas non plus la contredire.

Sans prendre plus de temps auprès de ses hommes, la commissaire se dirigea à nouveau vers le parking pour reprendre son véhicule. Le planton trouva étrange qu'elle ne soit aps revenue avec son véhicule , celui qu'elle utilisait habituellement, mais il n'osa rien dire....