Roxanne

-Nom: Wyatt

-Prénom: Roxanne

-Âge: 159 ans

-Race: Vampire

-Description Physique:

De longs cheveux sombres comme la nuit descendent dans son dos, contrastant avec la blancheur de sa peau. Légèrement ondulés, ils lui atteignent les hanches et viennent encadrer son magnifique visage aux traits séraphiques. D’un aspect doux et soyeux, Roxanne les portent habituellement sur le cou, sans artifices ni ornements. Ses paupières sont recouvertes d’un léger fardage noir qui vient ainsi accentuer son regard aux reflets gris-bleu. Ses cils, recouverts de mascara, donnent à son regard sa profondeur habituelle. Ses yeux attirent généralement l’attention avec leur forme légèrement allongée et bridée. À la fois teintés d’un voile de mystère et de froideur, on peut facilement déceler dans son regard une pointe de mélancolie quasi-constante. Roxanne possède un visage légèrement arrondis et à l’aspect fragile, tel celui d’une jolie poupée en porcelaine. Ses traits, bien définît et délicats, donne une certaine sérénité à son visage encore jeune, qui n’exprime, la plupart du temps, aucune émotion. Elle ne sourit que très rarement, trouvant que l'expression du bonheur n'est qu'une façade derrière laquelle les gens se camouflent… D’une pâleur presque cadavérique, il n’en reste pas moins que Roxanne soit d’une grande beauté. Son nez, fin et quelque peu retroussé ainsi que sa bouche, dépourvue de couleur, sont parfaitement découpés. En tout temps, un petit air supérieur, à la limite de la prétention, est affiché sur son visage, lui donnant une posture fière et gracieuse. Toutefois, il est facile de confondre son air hautin avec du dédain pur et simple…
Elle mesure 1 m 73. Mince et élancée, la fragilité dont elle démontre témoigne de sa délicatesse, ce qui fait qu’elle n’est pas des meilleures au combat corps-à-corps contrairement aux autres vampires. Son poids exact est inconnu, mais la jeune femme n’a pas une once de graisse autour de la taille. Vêtue la plupart du temps de robes légères, Roxanne traîne avec elle un châle de couleur noire, venant encore une fois contraster avec la couleur de sa peau et donnant à ses cheveux une teinte encore plus sombre. Elle porte à ses pieds des chaussures égalements noires. En somme, elle est plutôt jolie.

-Description Morale:

-Qualités: Calme et réservée, Roxanne n’est pas très bavarde. En fait, il est très rare qu’elle démontre un quelconque signe d’impatience ou d’agressivité. Elle fait preuve d’un sang froid à toute épreuve et d’une grande subtilité dans de nombreuses situations. Malgré le fait qu’elle possède ce que plusieurs pourraient qualifier de «corps de rêve», Roxanne n’est pas dépourvue de bon sens, en d’autres termes, de cerveau. Elle est intuitive et songée, réfléchit et très autonome. Ayant reçu une très bonne éducation, la demoiselle est cultivée et aime les choses raffinées. Même si elle ne semble pas très sociable, elle est capable d’aimer, de respecter et de se vouer à quelqu’un. Cependant, il est difficile d’attirer l’attention de la jeune femme pour la simple et bonne raison qu’il faut mériter et gagner sa confiance. Lorsque cela est fait, elle pourrait se risquer à commettre les pires crimes afin de rendre service…
-Défauts: Solitaire, la jeune femme préfère de loin être entourée de tombes toutes aussi silencieuse qu’elle que d’être entourée de gens, vampires ou humains. Indépendante, elle repousse, la majorité du temps, les gens qui se retrouvent près d’elle, mis à part son créateur, maintenant disparut. Roxanne est très orgueilleuse et exigeante envers elle-même. Manipulatrice, elle adore charmer ses victimes ou simplement ceux qui se mettent au travers de son chemin et… s’amuser avec eux… Évidement, puisque la belle est un vampire, elle ne peut se résoudre à vivre sans ce nectar si délicieux et raffiné qu’est le sang humain. La demoiselle prend un soin particulier à choisir ses proies et fait preuve d’une certaine sensualité envers elles, tout en se servant de la douceur dont elle sait faire preuve pour obtenir ce qu’elle veut… Par contre, lorsque quelque chose lui déplait, elle ne peut empêcher son sadisme vampirique de faire surface. Celui-ci n'est toutefois présent qu'à faible dose.
-Ce qu'il aime/déteste: Elle déteste les foules compactes, car elles font selon elle, trop de bruit et cela l'étouffe. Elle répugne la moindre idée de violence. Cet acte barbare manque, selon la demoiselle, de beaucoup de classe. La jeune femme ne craint pas à proprement dit la lumière du jour. Quoique celle-ci l'incommode et puis, de toute évidence, Roxanne préfère de loin les rayons pâles de la lune aux rayons incandescents de l'astre solaire. Roxanne aime le sang, mais tout dépend de quelle façon il a été versé. Elle a besoin de ressentir dans ce geste une certaine once de grâce ainsi que de délicatesse.
-Alignement: La demoiselle est plutôt neutre. Solitaire et quelque peu égoïste, elle fait ce qui lui semble le plus utile pour elle-même en utilisant des moyens plus ou moins mauvais...


-Histoire: Roxanne Wyatt naquit le 18 octobre 1848 en Angleterre, au manoir Wyatt, en retrait de la ville de Londres et de sa pollution. Monsieur et Madame Wyatt étaient les riches propriétaires d’une compagnie de navigation mondialement reconnue. Un peu partout dans la demeure, des maquettes de paquebots et de caravelles étaient exposées, démontrant leur intérêt envers ces machineries. Dès l’âge de six ans, Roxanne apprit à lire et à écrire, sous la supervision d’un professeur privé et de sa mère. Pendant de nombreuses années, elle se concentra sur la littérature française et anglaise ainsi qu’à la géographie. Malheureusement, Roxanne perdit sa mère à l’âge de 10 ans, décédée à la suite d’une tuberculose. Son père, détruit par la perte de sa femme assuma donc la protection et l’éducation de la jeune fille sans l’aide de personne, refusant de prendre une autre femme comme épouse. Certes, la perte de sa mère eue des répercussions sur la vie de Roxanne. Cette dernière était devenue plutôt solitaire, voir même sombre, restant la plupart du temps chez elle, dans ses livres, ou avec ses jouets, et ne parlant que très peu. Malgré cela son père fit son possible pour la rendre heureuse. La demoiselle passa donc son adolescence dans cet immense manoir, loin de tout ce qui pourrait s’avérer dangereux pour elle. La fortune de Monsieur Wyatt s’élevait à plusieurs centaines de milliers de dollars et tout cet argent était supposé aller à son unique héritière, Roxanne. Toutefois, quelques années plus tard, un événement inattendu vint bouleverser la vie de la famille Wyatt lors des vingt-trois ans de la jeune femme…

3 Novembre 1871, domaine Wyatt, 23hr30 :

Un épais brouillard englobait notre propriété, ainsi qu’une grande partie de Londres ne permettant que très peu de visibilité et ne laissant percevoir que d’étranges formes plus ou moins vagues à travers les ténèbres de la nuit. À vrai dire, cela me plaisait bien. Toutefois, alors que je me trouvai dans ma chambre, à l’étage supérieur, quelqu’un vint frapper à notre porte. Je me redressai pour aller jeter un coup d’œil à ma fenêtre. Mis à part le brouillard, je ne vit rien de très surprenant. C’est à ce moment que j’entendis des voix ; celle de mon père, que je connaissais bien et celle d’un autre homme. Ce dernier avait un ton froid et autoritaire. Intriguée, je sortis à l’extérieur de la pièce et m’avançai dans le corridor. Appuyée contre la rambarde de l’escalier, j’écoutai la conversation des deux hommes. Mon pauvre père semblait désemparé. Si j’ai bien compris, l’entretient constituait une sorte d’entente en rapport avec la fortune de mon père. Sa compagnie était en faillite et il risquait de tout perdre. Cela, je le savais.

-M. Wyatt, votre compagnie ne fonctionne plus aussi bien qu’avant. Elle croule sous les dettes et vous n’avez plus de clients…

-Je… je le sais bien, mais…

-Silence ! Comme je le disais, votre compagnie n’a plus de clients, car il y a de la concurrence. Trop de concurrence. Cela est dommage, car voyez-vous, j’avais investi une grosse somme dans cette compagnie et je risque malheureusement de la perdre… et par la même occasion vous perdrez tout vous aussi…et ça vous ne le voulez pas, n’ai-je pas raison ?

Il se racla la gorge et avança d’un pas nonchalant à travers le hall d’entré.

-Votre fille mérite ce qu’il y a de mieux et vous ne tenez pas à ce qu’elle devienne comme tous ces travailleurs sous payés qu’est la majorité de la population n’est-ce pas ?

-C’est exact, elle mérite mieux, beaucoup mieux, répondit mon père d’une voix faible, sentant venir le pire.

Je descendis quelques marches, m’efforçant de rester dans l’ombre tout en m’étirant afin d’apercevoir le visage de l’inconnu. Celui-ci était grand, mince et portait un haut-de-forme noir, tout comme son manteau. Ses traits témoignaient de son âge plus ou moins avancée. J’estimai qu’il devait avoir autour de la cinquantaine -j’ignorais combien j’avais tords-. C’est à ce moment, alors que je l’observais en silence, que ses yeux noirs me transpercèrent littéralement alors qu’il relevait brusquement la tête vers moi.

-Mais venez-donc nous rejoindre, mademoiselle Wyatt, je ne mords pas, dit-il à mon intention.

Un rictus amusé franchit les lèvres de l’homme alors que son regard était rivé sur moi, me clouant sur place. Je m’accrochai à la rambarde et fini par descendre les marches qui me séparais des deux hommes pour venir me poster près de mon père, telle une enfant apeurée.

-J’ai une offre à vous faire M. Wyatt, dit l’homme en me toisant toujours de son regard étrange. Je m’arrange pour sortir votre compagnie de la faillite et en échange vous me donner… votre fille.

À ce moment, mon père empoigna ma main si fortement que j’ai l’impression, encore aujourd’hui, de ressentir ses doigts se serrer sur mes propres jointures. Je sentis mes jambes céder sous mon poids, soudainement prise d’un sentiment de vide et de panique aux proportions vertigineuses. À ce moment, j’ai dû perdre connaissance, car je ne me souviens de rien, mis à part la poigne ferme de mon père qui m’empêcha de m’écraser au sol.

Quelques heures plus tard, tout au plus, je me réveillai, assise sur la banquette d’un attelage tiré par des chevaux. Je frissonnai légèrement, non à cause du froid, mais plutôt à cause de ce qui m’entourait. Étrangement, la température de mon propre corps semblait avoir chutée de plusieurs degrés, tel que je ne ressentais plus le froid et l’humidité de l’air. C’est alors que je ressentis une douleur au cou. J’y posai ma main et la retira quelques secondes après. Celle-ci était recouverte de sang. Mon sang. Je me redressai en avisant une entaille encore fraîche à mon poignet droit. De plus en plus paniquée, j’interrogeai mon «ravisseur» d’une voix confuse.

-Qu’est ce que vous… que m’avez-vous fait ?

-Eh bien, je vous ai mordue très chère…

-Je …mordue ?!

-J’ai fait de vous l’une des nôtres… une créature de la nuit se nourrissant du sang aussi délicieux que le vôtre ait pu l’être.

Je fronçai les sourcils en touchant une seconde fois mon cou. Deux petites cavités y étaient imprégnées, semblant sur le point de cicatriser. Cependant, je n’étais pas dupe. Les vampires n’existaient pas ! Il n’y avait que la vie et la mort ! Rien n’existait entre les deux, ni les fantômes et encore moins les vampires. Toutefois, celui envers lequel je devrais vouer allégeance pour de nombreuses années, a tôt fait de me prouver le contraire. Et ce, le lendemain matin.

»» Suite sur l'autre page, j'ai plus de place!

7 novembre 1871, Londres, 5hrs45:

J’avançai en regardant le sol, mon sombre compagnon à mes côtés. Celui-ci était vêtu d’une longue cape sombre et avait rabattu son capuchon sur sa tête. Moi, il m’avait interdit de prendre ne serait-ce qu’une veste. Le soleil n’était pas encore levé. Et puis, de toute façon, le ciel de Londres était perpétuellement grisâtre si mes souvenirs sont bons. Toutefois, lorsque l’astre solaire vint se pointer derrière les nuages, je ressenti une étrange sensation et une sensibilité nouvelle au niveau de mes bras nus ainsi qu’à mes yeux. Je posai immédiatement mes mains devant ceux-ci, éblouis par la lumière du jour qui me semblait plus forte qu’à l’habitude. Des ouvriers et des marchands préparant leur journée marchaient autour de moi, me bousculaient, me dérangeaient au plus haut point. Pourquoi ne semblaient-t-ils pas incommodés par ce changement qui ne semblait atteindre que moi seule ? Mon ravisseur avait-il vraiment raison ? Celui-ci, toujours caché sous sa cape posa un bras autour de mes épaules et m’entraîna vers une ruelle. Une porte, sur le mur droit de la ruelle menait à une sorte de taverne ou une auberge, je ne sais pas. Enfin, un endroit où des ivrognes tentaient de se réveiller de la veille, trop saouls pour marcher droit, bref le genre d’endroit où je n’aurais jamais crû mettre les pieds. Toutefois, nous y restâmes plus de cinq jours, à la grande demande de mon geôlier. Il en profiterait pour trouver de nouvelles proies, tout comme il avait fait de moi-même.

-Ah! Le soleil… j’ai le regret de vous annoncer que vous ne pourrez désormais plus supporter ses rayons incandescents. Ils risqueraient de vous procurer d’atroces souffrances, dit-il sur un ton amusé.

Il glissa sa main contre ma joue en esquissant un sourire en coin.

-Si belle…Ce serait triste de vous faire du mal…

Pour je ne sais quelle raison, cette phrase me laissa une drôle d’impression. Je pensai lui envoyer mon poing en pleine figure, mais quelque chose m’en empêchait, quelque chose qui n’a rien à voir avec la force brute. Il était clair dans ma tête que je ne devrais jamais poser ni même penser commettre un acte de violence envers cet homme. Sous le choc de la nouvelle plus ou moins vraisemblable, je fus quelque peu bouleversée et pendant plus de trois jours, je cessai de parler et refusai d’avaler la moindre goutte de sang, insultée et dégoutée de ce que cet homme m’avait fait. Au début, il ne sembla pas s’en inquiéter, se contentant de me laisser faire. Toutefois, alors que je semblais décidée à tenir le coup pendant un quatrième jour d’affilé, je fini par être tentée par ce nectar qu’est le sang humain. Ma première victime fût un jeune homme dans la vingtaine.

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C’est à partir de là que ma soif de sang s’est perpétuée au fils des ans. Nous partîmes de l’auberge pour errer à travers le pays. Cette vie de vagabonde était très loin de celle que j’avais toujours vécue. Même si j’ai eu envi à quelques reprises d’abandonner mon «créateur», je ne l’ai jamais fait. Pourquoi ? Parce que je me sentais rattachée à lui et parce qu’il était pour moi une sorte de protection, la seule à ma disposition. Certes, je ne l’aimais pas, je ne l’ai jamais aimé, et ce, d’aucune façon. Lui non plus d’ailleurs n’a jamais éprouvé le moindre sentiment pour moi. Durant toutes ces années où je l’ai suivit, où je l’ai parfois imité, je n’ai acquis que du respect pour cet homme à fière allure. En aucun cas, il n’a pu ou même voulu me toucher. Et cela, je lui en suis reconnaissante. Pourtant, je suivais mon geôlier sans protester, ne parlant presque jamais. Comme prévu, l’homme, qui n’a jamais voulu me révéler son nom, avait réussit à sauver la compagnie de mon père. La fortune dont je devais hériter me revint de droit, déposée dans mon compte. Mon «compagnon» et moi avant quittés l’Angleterre, au cours de l’an 1882. Il me fit visiter l’Espagne, l’Italie et même l’Égypte tout en me permettant de gouter au sang ayant dans chaque cas, des origines différentes. Cependant à ma grande tristesse, j’appris la mort de mon père, au cours de l’hiver 1896. Notre manoir me fût promis, lors de mon retour. Toutefois, je ne suis plus retournée en Angleterre depuis de nombreuses années déjà. Malgré les années qui passaient, je ne semblais vieillir d’aucune façon. Si bien que je me suis blasé de cette existence à la fois parfaite et pleine de vices. Le XXème siècle s’écoula devant mes yeux, me propulsant à travers tous les changements qui s’offraient à moi. Au cours du XXIème siècle, mon geôlier et moi avons vagabondés un peu partout, découvrant des endroits qui, selon moi s’avéraient être de vrais dépotoirs ! Il n’y a que quelques jours tout au plus que nous sommes arrivés à la Nécropole et ce qui ce trouve devant moi ne m’inspire pas confiance. Toutefois, l’homme qui me trimbale un peu partout avec lui est persuadé que nous y trouverons quelque chose… mais quoi ? Cela, il n’a pas voulu me le dire. Il s’est contenté de me dire :

-Tu devras continuer seule maintenant… nous nous reverrons un jour, au plaisir de te revoir.

Et il me laissa là, dans un parc, seule au milieu de ce monde étrange qu’est devenu ma nouvelle vie je suppose. Avant même que je puisse répliquer, il était parti. Je continuai donc mon chemin à travers cet endroit dont je ne connaissais pratiquement rien à la recherche de je ne sais trop quoi…

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Jusqu’à présent, c’est ainsi que ce résume l’existence de la demoiselle solitaire. Pour le reste, cela reste à voir...


-Particularités: Une marque de crocs est encore visible sur son cou.

-Proposition a l'équipe administrative:

-Don: Elle excelle dans l'art de la manipulation. En d'autres termes, elle manipule ses victimes grâce à son charme.
Définition : En somme, le don que possède Roxanne n’est pas très exceptionnel. Il ne sert qu’à cacher sa vraie nature à ses futures victimes, en l’occurrence, aux humains. De prime abord, ce don ne lui ai efficace qu’une seule fois par mois, donc, elle ne peut l’utiliser que sur une seule victime (c’est entre autre pour cette raison qu’elle prend un soin particulier à choisir ses proies, voir plus haut). Elle n’utilise pas la manipulation dans son sens propre du terme. Il s’agit plutôt d’une sorte de drague si l’on peut dire, un simple mensonge derrière lequel elle camouffle son appartenance aux créatures de la nuit. Naturellement, ce don ne lui ai serviable que la nuit, il lui est donc inutilisable le jour. La façon qu’il fonctionne est très simple : À première vue, Roxanne semble humaine, étrange, mais humaine, comme la plupart des vampires. Toutefois, elle réussit à perpétuer ce mensonge, tel qu’elle n’avoue jamais être un vampire avant la mort ou la transformation de sa victime. En d’autres termes, on pourrait la qualifier de menteuse professionnelle.


-Armes: Un couteau, placé dans un étui, est rattaché à un lacet de cuir, sur sa cuisse droite. Elle ne s’en sert pratiquement jamais, mais il est tout de même là.

-Clan:Aucun pour le moment...

Bienvenue parmi nous, moi je trouve ta fiche très intéressate j'ai bien aimé la partie histoire mais par contre à mon avis il se peut que les admins te reproche ton don qui put etre un peu bill car mal défini, quels sont ses limites, je veut dire tu peut le déclencher autant de fois que tu veut il peut agir sur toutes personnes ???....

Tatatata Psy'Ill :p

Alors ton don n'est pas clair pour moi. Tu veux dire quoi par manipuler ? Si tu veux dire au sens manipuler comme une marrionette, c'est refusé directement ^^

Sur Necropole, tout ce qui a attrait au charme et à la manipulation se fait en RP. A toi de dévelloper un roleplay assez satisfaisant pour arriver à embobiner tes adversaires.
Dans un premier temps il existait un don assez semblable à celui-ci qui s'appellait "charme" mais il a été enlevé en raison de son côté anti-RP

ex: Dark angel s'aprocha du méchan et lui di de lui donné son arme. Come il étai charmeure celui ci lui dona.

Tu vois ce que ça peut donner. On a pas vraiment l'impression que le charme agisse...

-Je ne surprendrai personne en disant que je m’en doutais. Je l’ai modifié, en espérant qu’il soit assez clair.

-Adalwolf, je sais ce que c’est que d’être admin et je connais aussi les idiots qui agissent en manipulant les autres joueurs. J’en ai bannis plusieurs à cause de cela^^. Ne t’inquiètes pas, ce n’est certainement pas mon intention de me servir de vous comme des marionnettes. Je suis pus intelligente que ça voyons!

-Je comprends que ça peut avoir l’air confus, sans explications concrètes et je comprends également ce que tu veux dire avec ton exemple Padre Necro. Si tu veux mon avis, il faut vraiment ne pas avoir d’imagination pour faire un truc pareil, et ce n’est pas mon cas lol!

Donc, à vous de décider ce que vous en pensez!

Le Padre il croit qu'il peut poster partout sur les fiches ! :p Mais non Padre ! xD Tu n'en as pas le droit.

....

Mais maintenant si ! =/ Mais pas tout le temps quand même ! u_u

Psy'll on poste pas sur les fiches !! è_é

Ensuite moi ta fiche je la trouve pas mal du tout ! =/