/!\ Otis

Nom : Inconnu

Prénom : Otis

Age : Même si son physique le vieilli, il n’a pourtant que 37 ans.

Race : Humain

Description physique :

Otis n’est pas ce que l’on peut appeler un vrai top-model, au contraire : Il a de longs cheveux gris et sales mélangés à la couleur du sang sec sur ses vieilles tifs qui n’ont pas connu depuis longtemps le plaisir d’être propres. Mais, malgré tout ça, il ne sent pas particulièrement mauvais. C’est ce qui reste le plus mystérieux probablement…Le bas de son visage est caché par un bouc imposant lui laissant un style à la Charles Manson très intimidant. Ses yeux sont constamment froncés par le soleil l’éclairant ou la colère le rendant légèrement coléreux. Il n’est ni musclé, ni engraissé, il est tout à fait normal. Sur son corps, on peut voir quelques rares cicatrices de coups de couteaux ou d’impacts de balles.

Tenue vestimentaire :

La tenue vestimentaire d’Otis reste très simple : il porte un vieux débardeur blanc avec le logo d’un groupe dessus seulement, l’état du tee-short laisse méconnaissable le nom de ce dernier à cause des divers tâches de sang ou de graisses masquant au moins les trois-quart du dessin. D’ailleurs ce débardeur est tellement sale qu’il n’est plus blanc mais gris…Il a un vieux pantalon brun déchiré au genou droit. Autour de ses hanches, il a une ceinture avec un étui pour ranger son Beretta. Accroché à son mollet droit, il a également un étui mais cette fois pour ranger son couteau de chasse. Ses chaussures ne sont autre que des para-boots probablement volé à un militaire. Lorsqu’il fait froid, il endosse sa veste de cuir noir.

Description morale :

Otis est tout simplement….fou. Ou alors il est vraiment inhumain. Il faut croire qu’il est plus inhumain car il reste très sensé dans ce qu’il dit. Mais, dès qu’il s’agit de tuer ou de se conduire odieusement avec quelqu’un, là il n’y a aucun problèmes ! C’est un homme vulgaire et qui ne manque pas de culot. Un dur de chez dur comme on dirait. Il n’a pas vraiment peur de souffrir car il sait qu’il a quasiment toujours l’avantage sur son ennemi qu’il prend par surprise et n’hésiteras pas à liquider si il devient potentiellement dangereux. Bref, Otis est un homme sans cœur.

Histoire :

/!\ Attention vocabulaire déplacé dans l’histoire /!\

Otis, un grand tueur en cavale depuis déjà un bail. Comment pourrait-on énumérer le nombre de victimes qu’il a fait, lui et ses deux compères ? C’est techniquement impossible. Ils ont parcouru le Texas avec un vieux pick-up et enterraient les corps à chaque crimes qu’ils commettaient. Mais ce beau rêve meurtrier ne pouvait pas durer encore très longtemps même si cela faisait près de deux bonnes années que leurs assassinats perduraient. C’est un jour fatidique que leurs actes s’arrêtèrent brusquement :

Otis, le leader, Bill la brute et Eddy le malin, étaient un groupe de dangereux bandits parcourant le Texas en tuant des gens au hasard et par simple plaisir de voir du sang couler. Leurs actes étaient terribles et inhumains. La plupart des cadavres étaient découpés en morceaux et enterrés à plusieurs endroits pour limiter les chances qu’on retrouve le cadavre en entier. Mais une nuit, alors que les trois mousquetaires étaient à la recherche d’un domicile pour dormir, ils s’arrêtèrent à une vieille baraque quasiment en ruine. A l’intérieur, ça sentait le chacal, les murs étaient graisseux et leurs meubles couverts de poussières. Les cadres de la famille qui y habitait auparavant étaient encore là, mais la plupart brisés au sol. La lumière était très peu présente, même la lune n’arrivait pas à faire passer ses rayons à travers les vitres sales qui n’avait pas été lavées depuis une bonne dizaine d’années. Oui, cette maison était abandonnée depuis plus de dix ans en voyant son état. Au premier abord, Bill n’eu pas confiance en cette vieille bicoque :

« Moi j’aime pas c’te putain d’maison…En plus c’est crade, on est pas des chiens. »

Et Otis lui répondit d’un air tout à fait naturel, à la limite de l’humour noir :

« Et toi t’y est pas crade peut être ? Dis toi qu’on vient encrasser un peu plus cette maison. Et puis c’est ça et on dort pénards pour cette nuit, ou on pioncent dehors pour se faire bouffer les couilles par les coyotes, choisis vieux. »

C’est donc avec une certaine obligation que Billy finit par se dire qu’il fallait mieux dormir ici si il voulait garder sa descendance entre ses jambes. C’est donc d’un air plutôt monotone que les trois aventuriers meurtriers s’engouffrèrent dans la maison à la recherche d’un bon lit douillet. La maison était plus que silencieuse, un véritable silence de mort un régnait. Et c’était le cas de le dire car en arrivant au premier étage dans ce qui semblait être la chambre des habitants de cette demeure, un cadavre de femme putréfié était étendu couché sur le lit couvert de sang. Les tueurs, habitués par la vue des morts mais quelque peu répugnés par l’odeur, ne comprirent pas vraiment ce qu’un cadavre fichait là. Bill continua :

« Maintenant j’comprend pourquoi y’a des coyotes dans l’coin… »

Eddy, le grand penseur de l’équipe, s’avança de quelques pas pour aller examiner de plus près la morte. Il mit son tee-short sur son nez pour couvrir l’odeur. Il dit de sa voix étouffée par le tissu :

« Ca les mecs, c’est fait par un amateur, fait sauvagement…Le cadavre a pleins de coups de je ne sais quel arme dans le corps et elle a la gorge tranchée…Comme celle d’un porc à l’abattoir… »

« Ouais…L’abattoir hein…Répliqua Otis et se frottant sa barbe, Le mec nous aurait fait le remake de massacre à la tronçonneuse ou quoi ? »

Et à peine eut-il finit sa phrase que des bruits de pas lourds et lents se firent entendre au rez-de-chaussée :

« Putain de bordel de merde…Bill, va voir c’est quoi cette merde en bas ! »

Bill sortit deux magnums qui étaient cachés dans son manteau et il descendit les escaliers silencieusement. Arrivé en bas, rien. Pourtant, ils avaient bien entendu des bruits. Même un sourd les auraient entendus tellement ceux-ci étaient forts. C’était de plus en plus étrange : Un maison abandonnée, cette dernière était ouverte, un cadavre gisait au premier et pour finir des bruits de pas, mais personne. Une maison hantée ? Non, les trois compères ne croyaient pas à ces histoires de fantômes. Ils optaient plutôt pour un tueur. Tout comme eux. Mais celui ci semblait plus primaire et violent par rapport à l’état du macabé sur le lit. Probablement un fou ayant tué une femme qui l’a malencontreusement rencontré sur une petite route de campagne égarée. Donc, Bill se retourna pour s’apprêter à remonter avec ses deux amis quand soudain un bruit sourd et court résonna dans la maison. Eddy et Otis descendèrent en bas pour voir qu’était donc ce bruit et là, gisant sur les escaliers, Bill, le crâne presque ouvert en deux par un coup de hache. Otis ne put avoir que des sueurs froides de voir son ami mort dans une tel condition. Maintenant ils en étaient sûrs, c’était bien un psychopathe qui était à l’intérieur de cette maison. Les deux derniers tueurs prirent donc la décision de se séparer, possédant chacun leurs armes plus un magnum de leur ami mort. Otis fit donc l’étage supérieur armé de sa carabine et de son magnum et Eddy s’occupa du rez-de-chaussée. Cependant, il était légèrement moins bien armé qu’Otis mais, ce n’est qu’un détail.

Eddy commença donc à pénétrer dans la cuisine, répugnante. Une odeur de pourriture empestait toute la sale et une bonne quinzaine de mouches volaient autour du lampion accroché au plafond. Il y avait de nombreuses tâches de sang sur les murs ainsi que sur la table au centre de la pièce. Le carrelage blanc était imbibé d’une couche épaisse de crasse qui laissait un instant coller la chaussure au sol avant de se décoller avec le même bruit que lorsque du scotch se déroule. D’ailleurs la crasse était presque autant adhésive. Eddy se retenait presque de vomir tellement l’endroit était sale et répugnant. Le magnum en main, pointé droit devant lui, il s’avança d’un pas lent et prudent à travers la salle ou l’on pouvait entendre les mouches voler tellement le silence était présent. Bien plus présent que toute forme de vie. La main tremblante, il s’apprêtait à tirer sur la première chose qu’il voyait. Même si il voulait combattre sa peur, Eddy n’était pas vraiment un tueur. Il planifiait les plans mais rien de plus. Donc si il devait affronter un fou furieux, il serait plus terrifié qu’autre chose.

Le temps passait, et toujours rien. Il avait fait tout le rez-de-chaussée et personne. Pourtant, il devait bien y avoir quelqu’un étant donné que Bill avait été tué à coup de hache. Fatigué de toute cette recherche inutile, il partit s’asseoir sur le vieux divan de la famille, salit par le temps. A ses pieds, était tombé un cadre de photo. Dessus il y avait un homme, une femme et deux enfant, une fille et un garçon. Et là, Eddy reconnu le cadavre au premier étage, c’était la femme sur la photo. L’homme serait-il le tueur ? Aurait-il tué sa propre famille ? Impossible à dire, personne n’avait vu le visage de l‘assassin. Exténué, il se coucha donc un instant sur le canapé en regardant le plafond. Quelle merde, ils voulaient simplement dormir et ils se retrouvent avec un rival qui veut également les tuer à cause de ses pulsions. Et soudain, un bruit d’éclatement résonna dans la maison. Otis descendit les escaliers quatre à quatre et arriver dans le living-room, il découvrit Eddy, la tête tranché, le corps encore couché sur le canapé. Il se sentit tout à coup perdu et également en danger. Il hurla :

« Bordel de putain d’merde ! Espèce d’enfoiré montres moi ta sale tronche tout de suite avant que j’te colle mon couteau bien profond dans l’fion ! »

Mais étrangement, rien, personne ne répondit, pas un seul bruit le vide total. Otis arma donc sa carabine et rangea son magnum avec son Beretta en le coinçant entre son ventre et sa ceinture. L’ambiance était très tendue, comment pourrait-il le trouver sachant que ce tueur était lui même plus discret que le silence. Soudain, il aperçu une silouhète dehors, une silouhète qui passait devant les vitres. Otis marcha d’un pas rapide vers la porte et la fit sauter d’un coup de pied dans la clenche qui était déjà bien abîmée. Et là, il vit un homme couvert de sang, une hache à la main, également ensanglanté. Ses yeux étaient exorbités et emplis de folie. Il ressemblait un peu à Otis sauf que lui avait la marque de sa folie sur le visage. Il pointa sa carabine vers la tête de l’homme et il lui cria :

« Toi fils de pute ! Expliques moi qui t’es tout d’suite ! »

Sauvagement, l’inconnu tenta de l’attaquer avec sa hache mais avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, une balle traversa sa jambe droite, laissant gicler un véritable jet de sang. Les gémissements de douleur du tueur commencèrent à énerver Otis qui ne put s’empêcher de venger ses amis et de mettre fin aux jours d’un déchet comme lui :

« Tu vois…On s’attaque pas à plus fort que sois gros con. Tu voulais jouer le héros, et bien t’as tout gagner tu va saigner à mort connard ! »

Et dans le désert silencieux, un coup de feu résonna puis, le silence revint. Otis venait de tuer le tueur. Prit à son propre jeu. Au cas ou la Police lancerai une recherche sur les tueurs du Texas, il laissa les trois cadavres à l’intérieur de la maison. Comme le fou ressemblait à Otis, les Policiers penseraient que les trois seraient morts. Ainsi, il serait écarté de tout dangers. Seulement, il devait maintenant trouver un endroit ou vivre et continuer à persécuter la race humaine. Il partit à la gare la plus proche et prit une destination au hasard. Le prochain arrêt se nommait « Nécropole »…


Particularités : Il a un tatouage sur le torse : Un crâne avec des ailes de chauves-souris de chaque côtés.

Proposition du joueur à l'équipe admin :

Don : Tir Précis

Armes : Une carabine 12 mm avec une dizaine de balles, un Beretta chargeur plein et un couteau de chasse. Le seul problème…c’est qu’il n’a pas de balles de rechange…
Total :
Carabine 12 mm - 10 Balles
Beretta 9mm - 15 Balles

Clan : Pour le moment, il va rester indépendant. Mais il se pourrait qu’un clan veuille le recruter par la suite…

Quelle fiche !

Citation :

/!\ Attention vocabulaire déplacé dans l’histoire /!\

PTDR j'ai pas pu me retenir u_u

C'est pas mal tout ça, mais un peu trop d'armes, enlèves en une please ! ^^

Faut prendre en comtpe que j'ai pas de moyen de trouver d'autres balles et que mon arme la plus puissante, le 357 magnum, n'a que 4 balles au lieu de 6. Après si il faut vraiment en enlever une je préfère enlever mon magnum, même si il est très puissant, je préfère largement le bon vieux style carabine

PS : pour le vocabulaire, j'ai préféré préciser, je connait des jeux ou avec des insultes dans la fiche on est refusé donc bon...^^'

Ta Fiuche est excellente .. Moi j'aimeuh aussi

Pour les armes j'appuie la decision de Jenna, ca fait un peu too much...

Hum je suis pressé de la voor en rp celui la

C'est fait pour les armes, la plus puissante en moins

Validée !