Un fou à l'accueil

PNJ Nombre de messages : 276 Date d'inscription : 24/09/2005

Le punk regardait d'assez loin son "protégé" réaliser sa "mission". Cet homme était en proie au péché de Colère et était facilement manipulable pour l'Avatar de Colère, Seigneur du Plaisir de détruire...

L'homme n'avait pas bronché, sans un mot il les avaient prises et s'étaient dirigé vers l'hopital, récitant son texte à voix basse, comme une litanie.

Il était désormais rentré. Elles allaient beintot faire leur effets.

Dans le hall, un léger tintement sefit entendre. Des sortes de bagues tombèrent dans un tintinabulle ressemblant à la chute de pièce de cuivre.
L'homme hurla alors :
_En souvenir d'Ashraa et des Sharks!

Plus que quelques secondes avant qu'elles n'explosent.

Elles.

Les grenades qu'il s'était ceinturée autour du corps.

Un agent de sécuriter qui passait par là entendit la cacophonie que produisit les grenades lancées par un parfait inconnu. Prit sur le fait, le 'policier' sortit son arme de sa gaine et le chargea en prenant le plus grand des soins d'enlever le cran de sureté. Il chargea son arme en abaissant le chien. Il prit aussitot son talkiwalki et appela des renfort. Çà de fait, il voulait maintenant essayer de mettre l'individu hors de nuire! Les Grenades ayant déjà sautées, la fumée commençait à se dissipé quand il dessidit de sortir de sa cachette. Il pointa son arme en direction du turbulant.

-Vous êtes en état d'arrestation, les armes à terre et les mains au ciel!

PNJ Nombre de messages : 276 Date d'inscription : 24/09/2005

Malheureusement pour lui, ce "turbulent" n'avait pour unique que de se faire sauter au milieu de l'hopital... Il avait hurlé ensuite quelque chose comme "Laissez parler votre Colère!", impossible à dire la fin avait été couverte et surtout arrétées par l'explosion.

Le gardien de la sécurité allait donc devoir arrété un tas de chair complètement carbonisé... Enfin il s'en rendrait compte quand la fumée se serait dissippée.

Et dehors, le punk souriait, amusé.

Quelques instant plus tard, la police débarquerait faire son travail... Cela poserait de gros problèmes pour la gestion de l'hopital.... Mais ca c'était l'unique but du Punk. Celui-ci retourna s'amuser en ville après ce petit spectacle sortant de l'ordinaire.

L'agent de sécuriter, l'arme toujours pointée dans le milieu de la brume, s'avança en allumant sa lampe torche. Il regardait ou essayait plutôt de regarder dans tout les recoins pour voir si l'audieux personnage qui avait fait cette attanta à la grenade n'était pas encore là. L'énorme nuage finit enfin par se dissiper, l'agent ne vis rien n'i personne. Il continua de regarder partout, il pensa alors que le jeune homme avait finnalement sortit avant que les grenades n'explosent, jusqu'a ce qu'il commence à trouver des boyeaux humain carbonisés. Dégouté par le spectacle, l'agant se heurta vers l'extérieure pour en régurigter son dîner. À la même occasion, les policiers arrivèrent, deux voitures se stationnère et les policiers en sortirent et l'agent leurs expliqua la tragédie et aussitôt, il rebroussèrent chemin au poste. L'agent lui alla en aviser la direction et les concièrges.

Invité

Des policiers amenèrent un homme blessé à l'épaule, un inspecteur de police. Ceux-ci se diriègrent vers l'accueil, un air dégouté vers ce qui pouvait être encore visible de l'attentat et, a l'hotesse :
_Petite, un médecin immédiatement...

Si celle-ci refusait ou demandait de patienter, les hommes répondrait ceci :
_Il y a eu apparement des problème et os vigiles de bloquent pas la zone pour le travail des inspecteurs... Si vous ne voulez pas avoir de problèmes avec la Justice, notre inspecteur devrait etre soigné le plut tôt possible et nous fermerons les yeux dessus. Compris?

Une telle mesure les embeterait autant que l'hotesse : ils seraient forcé de faire de la paperasse, mais l'intimidation amenait parfois voir souvent ses fruits pour avoir des "services express".

L'hotesse, n'ayant pas vraiment le choix, fit venir un lit à roulette pour le policier blesser. Les infirmiers l'ammenèrent au soins d'urgence. Sur place, un homme à veste blanche, apparament Medecin se pointa devant le blesser avec ses bistouris en main.

-Vous allez sentir un légé picottement.

Lui dit-il d'un tont sarcastique. Il s'avança vers lui et lui ouvrit à froid l'épaule. Les infirmier étaient là, quatre en tout avec le medecin, 5. Deux infirmier était placé près des membres suppérieures et les retenaient pour ne pas trop bouger, deux autres faisaient la même chose mais avec les membres inférieure. Après tout çà, il lui fit des points de sutures, 15 en tout.

-Passer une bonne journer maintenant monsieur l'agent.

Lui dit-il avait encore un grand sourire pendu jusqu'au oreilles.

Invité

Lambert grogna, serra les dents, hurla au final...

Une fois la douleur de l'opération passée, bien qu'il reste celle de la blessure, il pensa Ah, les *bips*, je suis surs qu'ils en ont rajoutés !
Mais cette réaction n'était dut qu'au "choc". Reprenant assez vite ses esprits malgré la douleur, il se dit qu'après tout, tout comme lui, ces hommes sauvaient des vies aux yeux du grand public et que, à l'ombre, ils en profitaient sûrement pour assouvir leurs pulsions ou instincts.

A partir de cette pensée, il en vint à réfléchir sur la nature chasseresse des vampires... L'instinct de survie leur demandait de chasser pour survivre, étaient-ils donc responsable de leur actes?
Drôle de défense à faire devant un tribunal, cela!

Puis, vers les docteurs :
_Alors, sans même un boite de calmant ou un petit remontant?

Ils le regardèrent puis pensèrent deux minutes. Un s,avança vers lui, le sourire accrocher à la bouche et lui tendit un cachèt de petite pillule blanche.

-Si la douleure persiste encore, prener deux cachèt avec un bon grand vers d'eau. D'ici là, vous tomberez en dormis et la douleure se dissipera pendant quelques temps, même après votre réveille.

Puis il alla dans la petite salle de bain pour se laver les mains, comme à l'acoutume lorsqu'on termine une oppération.

Invité

Lambert remerciera l'homme d'un signe de tête.
_M'ci...

Puis il réfléchit mentalement... Sale journée, mais il s'arrangerait pour avoir quelques jours de "repos" pour la blessure.
Il ne vallait mieux pas "trop" en faire et se fondre dans la masse paresseuse de l'administration et surtout, celui lui permettra de réfléchir à de récent évènements...

Il se releva, n'accorda plus aucune attention au personnel en espèrant que celui-ci aurait bien compris les propos de ses collègues à l'accueil.
C'est ça d'être un policier peu scrupuleux, on peut tout obtenir plus ou moins gratuitement avec les bons termes.