La limousine se gara devant les égouts. Le chauffeur vint ouvrir la porte à l'étrange passager qui toujours sans un mot descendit.
*Des égouts ! Quelle infamie ! Nous ne sommes pas des rats !*
Le conducteur fit signe au jeune homme qui avait apparament l'âge d'être son fils de le suivre.
Les deux hommes marchèrent dans les égouts, amènagé mais l'odeur était assez nauséabonde. Nul doute a avoir les lieux été vidé de quasiment toute préscence...
*Quelle puanteur ! Personne ne m'avait parlé de cela...*
Les deux hommes s'arrêterent dans une grande salle. Elle avait été autrefois très belle. Plus de puanteur juste l'odeur de renfermé. Plus aucun meuble tout avait été dépouillé. Il y avait encore les traces de tableaux et de meubles. Il ne restait qu'un seul fauteuil recouvert de plastique. Le jeune homme blond s'y diriga sans hésiter et avec l'aissance des gens bien nés. Nathaniel retira le plastique qu'il jeta au loin et découvrit un fauteuil de cuir noir. Il s'y assit avec grâce. et contempla la salle.
Le chauffeur s'avança et prit la parole d'une voix malaisé.
Je suis désolé monseigneur, nous sommes désolé... Le clan est à l'abandon. Depuis plusieur semaines nous sommes sans nouvelles de tous les maîtres. Les gardiens et autre "employés" ont désertés la ville. Je suis avec deux autres novice le dernier gardien du repaire. Si Dame Malvina ou le seigneur Sirion était là vous aurait été acceuillis avec les honneurs mais hélas ils ont disparu depuis bien longtemps. L'original qui les a remplacé. Un dénommé Alvine était une folle... Nous sommes au désespoir...
*Fourberie ! Ce lieu est désert ! Je vais devoir m'atteler à le repeupler !* Bien j'entends ! Faites venir les autres novices. Je ne vous considère pas comme coupable du délabrement de ce lieux. Mais sachez que notre race ne tolèrera de vivre dans un trou à rat. Je vais aller faire un tour en vile. Durant mon abscence vous veillerai à Organiser ce lieux dans la splendeur qui lui appartenait. A mon gout certes mais avec magnficience et beauté.
Un hommes et une femme sortirent d'une alcôve sur le coté. Ils mirent un genoux au sol et baissèrent la tête.
Bonsoir ! Relevez vous et obtempèrez... Si j'avais le temps je ferais travailler des domestiques mais notre vitesse sera un avantage. A minuit le lieux doit avoir retrouvé tous son superbe !
Sans un mot de plus le jeune homme s'en fut. Marchant de sa démarche souple et spectrale. Les trois personnes encore présentes se regardèrent et se mirent en devoir de rendre le lieu habitable.
Dehors Nathaniel se mit au volant de la limousine. Bien qu'il aimait se faire conduire il savait parfaitement piloter une telle machine.
* En route... Il faut trouver quelques poupées et des hommes et femmes apte a boire.*