Salon privé et bibliothèque

Ed ouvrit la porte et attendit que la demoiselle entra.

" Si vous voulez vous donner la peine. "

La pièce etait un magnifique salon tres cossu de style renaissance.
Une draperie au milieu du mur principal representer une scène d'orgie.
De l'autre coté, une immense bibliothèque ou des milliers de livres diverses sejourner.
Un canapé de velour etait installé au milieu de la salle pret d'un geridon.
Derrière, un bar s'etirer le long du mur.

Tout en défaisant son châle, la milicienne pénétra dans le sanctuaire que le jeune homme lui présentait de la main.

Lentement, elle s'avança dans la pièce, carressant de la main les couvertures des vieux volumes qui traînaient dans la bibliotèque. Au vue de la couche de poussière, si les Noxs avaient des hobbys en dehors de leur passion pour la luxure, la lecture ne devait pas en faire partie...
D'ailleurs, Siljine doutait fort que la majorité d'entre eux n'ai jamais ouvert un volume autre qu'un exemplaire de comics à deux sous que vendent les boutiquiers dans les stations de gare perdues du fin fond de la brousse.
Elle se saisit d'un exemplaire original du "De vermiis mysteris" et en effleura précautionneusement les pages de vélins en admirant les gravures.

Elle gardait néanmoins une oreille attentive en direction de l'huis, surveillant ainsi les faits et gestes de son hôte, afin qu'il ne la surprenne pas.

Elle se dirigea nonchalamment vers le canapé et s'assit, une jeambe repliée sous elle avant de lacher négligement le volume sur le guéridon.

"Je doute fort que vous ne m'ayez fait venir ici, juste pour vous abreuver du nectar que vous tenez si précautionneusement, Edward. Aussi, pendant que vous ouvrez le contenant, je vous propose de m'informez de la raison pour laquelle vous m'avez fait quitter cette salle bruyante et enfumée pour vous entretenir avec moi. Si le cas de Mlle LOVE n'est pas en sujet, je ne vois pas bien où vous souhaitez en venir..."

Ed se diriga vers le bar qui tournait le dos au canapé.
Il ouvrit la bouteille et sortit deux coupes.
Il servit les verres. Dans l'une des deux coupes, il glissa discretement a l'insu de la milicienne, un puissant somnifère.

Puis d'un pas nonchalan et boitillant ( Ed n'a pas sa canne) il se remit face à la demoiselle et lui tendit le verre :

" Voyez vous j'ai pris conscience de certaines choses. La première c'est qu'apres l'attaque du bar, les Nox se sont rendu trop sur d'eux et trop gentil envers certains. Dorenavent nous seront bien plus stric envers nos alliées et impitoyable envers nos ennemis.
Les sharps ainsi qu'un commando d'elite nous ont attaquer. Notre reine a disparu et j'ai moi même failli mourir.
Bien qu'une tres vilaine blessures me fut infligué durant l'assaut ce qui me rage le plus aujourd'hui c'est d'être passé par le bourreau des vampires.
Je ne vous le cacherais pas, la guerre est iminente. Nous cherchons donc a definir nos ennemis et nos amis. Voyez vous suite a ma torture et me croyant pour mort, les vampires pour me rabaisser encore un peu plus mon reveler qui se cacher derrière cette attaque. "

Ed lança un regard malicieux en direction de la jeune femme.

" Je vais être clair avec vous, etes vous avec ou contre nous ?

Nord est, dans un bureau obscure du barrage le capitaine Beuarth s'inquiète du manque de nouvelle de sa supèrieurs, sais son combiné et compose le numéro.

Le portable ne sonne pas, il est éteint... Beuarth laisse un message sucin :
Ici Beaurth, on manque de nouvelle comissaire, tous ce passe bien ? On à un adjoint à vous présenter... Une brute pas si conne et apparament de race non humain. Le message ne peut être plus long...

Dans son bureau Beuarth est inquiet... Il attend...

Siljine trinqua avec son hôte et trempa ses lèvres dans son champagne, prenant son temps pour évaluer son interlocuteur. Elle se demandait ce qu'il savait réelement d'elle et de ses activités pendant leur action délirante contre le bar. Après tout , même si l'attaque avait relativement bien fonctionnée en bloquant les Noxs durant une longue période; la commisaire, de par son désir de rester incognito, n'avait pu se rendre compte des personnes présentes dans le bar ou non. Lui, en tout cas, elle ne se rapellait même pas l'avoir croisé ailleurs que dans ce bouge crado puant le foutre et la sueur.
Toutefois, elle décida de nuancer ses propos, plus par jeu que par peur, histoire de voir jusqu'où le jeune homme était capable d'aller dans sa franchise... qu'elle estimait relative !!

* Je ne savais même pas que Demoiselle Malvina s'était offert un encas après notre agression... Et cet homme veux me faire croire qu'il est sortit indemne des griffes de cette créature démoniaque et imbus d'elle même ?? J'en doute !!*

"Vos termes sont peux compréhensibles cher Edouard, ... Vous dites que la dirigeante des vampires vous a révélé qui se trouvait sur les lieux de votre agression et vous me demandez maintenant de quel bord je suis...
Mes fonction de chef de la police de cette citée sont en eveil en entendant pareille nouvelle, et je vous prierais de bien vouloir m'en faire part afin que l'enquête en cours avance prestement et que les auteurs de ce crime ne reste pas impunis. J'en appelle à votre sentiment patriotique et à votre amour pour votre camarade de jeu, la petite Sereiguena... Après tout, plus vous m'en direz sur vos informations et informateurs, et plus vite nous réglerons ce petit différent..."

La milicienne s'arrêta un instant, prenant le temps de reprendre une gorgée de champagne; pas si fameux que ça au demeurant, un léger goût indescriptible venant agresser la saveurs raisinée et pétillante du grand cru; et rendit son regard malicieux au Nox. Elle décida de le titiller un peu avant , désireuse de s'amuser avec ce sous fifre de la putain luxurieuse, avant de découvrir où cette dernière ce cachait.

"Vous m'annoncer également qu'une guerre est actuellement imminente?? Hors je n'en ai pas encore observé les prémices... pensez vous réelement que vos ennemis aient désormais besoin de vous refrapper parceque votre établissement c'est reconstruit?? Allons, cher Edouard, soyons honnête: vous n'atteignez même pas le dixième de votre soit disant grandeur passé, vous ne restez qu'un ramassis de crevures qui pansent leurs blessures en pleurnichant la disparition de leur Salope en chef... Pensez vous réelement que vous pourriez contenir un nouvel assaut si un groupe armé débarquait au niveau de votre établissement?? Vous ne possédez rien de plus que ce que je vois là, vos fond monétaire sont réduit à néant et vos gens tremblent, avançant les yeux dans le dos pour éviter de ce faire agresser dans les ruelles de ma citée. Vous n'êtes plus que l'ombre de vous mêmes... Il me suffirait, si jamais je souhaitais pour ma part briser l'alliance que j'ai avec votre maîtresse, lancer ma milice entière contre vos murs, en troupe d'assaut joliment constituées, et vous n'auriez alors plus d'échapatoire que celui de me lécher les bottes !! Heureusement que je vous apprécie autant, cher ami... "

Satisfaite, elle s'accorda une nouvelle gorgée de breuvage avant de relancer :

"Je vous bropose... propose, pardon, une nouvelle alliance. Il suffirait que vous me fassiez un peu fonciance... confiance excusez moi... Et que vous me laissiez prendre en main votre sécurité. En échange, il suffirait que vous me donniez un pourtengace de vos recettes, à hauteur de 15 sour pent... et je pourrais sans dul noute vous assurez une protection à la hauteur de vos esrépances...Le tribut de la ctivoire en quelque sorte."

Les idées de la jeune commissaire s'embrouillait et une douce torpeur s'emparaît d'elle à mesure que les barrières de son esprit lachait prise. Une lueur de comprehension jaillit dans les yeux de la jeune femme bafouillante, et elle se dressa, brisant au passage le verre sur la table basse pour n'en garder que le pied, qu'elle dressa vers le jeune homme, en poignard futile.

"Qu'est ce que je... vous m'avez... Enfant de putain !!"

Avançant dans le brouillard de sa vue défaillante, elle tenta sans grande force de porter un coup à son interlocuteur...

Ed eu un sourir satisfait.
Il evita tres facilement le coup. Se saissisant de l'autre verre fit de meme et se trancha la paume de la main gauche pour montrer qu'il ne craignait pas la douleur des coups.

" Mon coeur plein de haine fait aujourd'hui abstraction de ces douleurs si humaines. L'esprit est plus fort que la douleur ma chère. "

Puis par jeu et dans le flou de son adversaire tournoya autour de la demoiselle. Sa main perler de sang

" Grandeur décadente, menace de mort, manque de respect ...
Vous oubliez ou vous vous trouver ma chèr Siljine.
Les vampires n'ont pas reussi a ma briser bien au contraire.
Cette dure epreuve m'a renforcer dans la conviction que nous devions être plus dure avec nos alliés et terrible envers nos ennemis.
Mme Love n'est plus là mais j'ai l'intime conviction qu'elle reviendra tres bientot. Je me prepare donc a l'accueillir de nouveau dans ce fief avec les plus grands honneurs, celui de notre renaissance. Je m'attache donc aujourd'hui a rebatir notre empire et a detruire nos ennemi.
L'attaque du bar etait une bonne idée commissaire mais les draks et les vampires ont parler. Vous ne pouvz même pas faire confiance et tenir vos alliées. Pauvre de vous, seul abandonnée, entourer de tant d'ennemi.
Vous dites m'apprecier, pauvre folle. Votre parole n'est que mensonge et trahison. Sachez que si je voulais vous tuer cela aurait ete chose faite depuis longtemps. Non j'ai plusieur projet pour vous. Vous en serez en temps voulu. "

Ed attendait enfin que la drogue finise son oeuvre.

"Fils de chienne.. tu v... vas payer... "

Siljine se redressa, son instinct de survie la poussait à combattre, accélérant sa pression sanguine, et du même coup, diffusant encore plus rapidement le somnifère dans son organisme. Elle battait l'air de son bras, tentant d'atteindre son adversaire. Elle ne plierait pas sans combat... elle.... elle...
La jeune femme s'affaissa sur les genoux, la tête engourdie, les pensées nébuleuses. Son esprit n'imprimait plus rien, ses synapses se déconnectaient peu à peu. Quelle dérision, elle la reine des paresseux et des indigents, la voilà qui sombrait en plein sommeil au milieu d'un combat...
Son dernier regard fut pour le jeune homme. Elle grava dans son esprit les traits délicats de son hôte avant de sourire.

*Après tout c'est le jeu, je te tuerais à mon réveil ...*

"Je ne suis pas... Malvina. Moi je ne te laisse... rais... pas ...partir vi... vant...batârd"

Ses yeux se révulsèrent et elle s'affala enfin à terre... quelques instants plus tard, une respiration douce et régulière s'entendait dans la pièce.

Ed fut tres satisfait du spectacle.
Enfin ces projets pouvait demarrer.
Il quitta la pièce un instant en direction du bar.

Ed revient accompagner de M. Lust.
Peu de temps après bertant vint les rejoindres.