Poli et ... armé !

19h00 ... Bientôt la mairie fermera ses portes, les employés éteindront leurs ordinateurs, ils mettront leurs manteaux et quitteront leur lieu de travaille afin de rejoindre leur famille. Depuis plusieurs jours, Gwénahan à fait le pied de grue devant la mairie afin d'observer le comportement de chacun, elle est sûr d’elle, les échevins du maire partiront en dernier. Il suffira d'en prendre un au hasard et de le forcé à accepter ... en apparence c'est simple mais ... Zut ! 19h30 et il y a encore de la lumière à l'intérieure. Tapie au fond d'une veille 2 chevaux, Gwénahan n'en peut plus d'attendre ! Le personnelle est bien sortit à l'heure prévue mais une petite lumière refuse de s'éteindre ! Peut-être la concierge ? Peut-être une lampe oubliée ? Et ou sont les autres ils s'étaient donné rendez-vous à 18h30 et ils ne sont toujours pas arrivé ... La colère lui monte, et cette étincelance qui la nargue là à cette petite fenêtre ridicule ! Il faut qu'elle sache ! Discrètement elle sortit de la voiture, prenant soin de ne pas en claquer la porte, pas tellement par soucis de réveiller le voisinage, par ailleurs inexistant, mais plutôt par éthique de ne pas démonté cette pauvre épave en l'occasion qui lui sert de véhicule ! La rue est déserte, sombre, humide et cette fichue fenêtre qui est bien trop haute ! Mais sa curiosité est telle que Gwénahan prend le risque et escalade la façade en s'aidant d'un petit rebord de béton composant le dessin de la baptise. Elle s'agrippe aussi fort qu'elle peu au rebord de la fenêtre, et jette un oeil à l'intérieur : là en contre bas un homme est assis à un bureau, il écrit une lettre avec une plume…étrange, il à perdu son stylo ? Son bureau est sombre, il n'éclaire son papier qu'avec une petite lampe verte diffusant une lumière tamisée. Il à l'air concentré ... donc vulnérable ! Encore cinq minutes et tant pis elle ira sans eux ! Si les autres n'arrive pas elle ira conquérir son musée elle-même ! Bien qu'elle craint que son petit couteau ne fiche pas la moindre trouille à l'homme !

Un bourdonnement sonore se fait entendre, se rapprochant de plus en plus. Le bruit sembla s'arrêter à trois ou quatres rues de là, faisant retomber le centre-ville dans... non, il était toujours aussi bruyant.

Lance s'avanca dans la rue sombre, évitant le regard des rares passants - les nuits n'étaient pas sûres dans la Nécropole. Distrait par la pleine lune, il faillit oublier sa mission. Il s'arrêta à une dizaine de mètres de l'Hôtel de Ville, tapis dans la rue sombre.

Une seule lumière était visible de l'extérieur... Il y avait aussi cette silhouette fine et élancée, visible à cause de cette lumière, accrochée au rebord d'une fenêtre. Cette femme devait probablement être Gwénahan, une autre recrue, mais Lance préféra se montrer discret et la regarder faire, intervenant en cas de problème.

Il changea de position pour avoir une meilleure vue tout en dégainant silencieusement le petit sabre japonais d'environ 60 cm de sa ceinture. Il ne lui manquait que le katana et il aurait l'air d'un vrai samouraï, se dit-il en ricanant intérieurement. Lance rampa dans la direction de l'hôtel et se cacha derrière une vieille voiture pourrie, observant secrètement la recrue faire.

Gwénahan descendit de son perchoir et fit les quatre cents pas face à la porte d’entrée. Le regard fixé sur sa montre n’attendant que l’instant fatidique pou rentrer. Elle trépignait d’impatience, se fumant une ou deux cigarettes au passage lorsque la lumière s’éteignit.

- " Et merde ! "

S’en prendre garde elle pénétra dans le bâtiment plongé, lui, dans l’obscurité. Elle avait bien songé à noté chaque entrée et sortie du personnelle, repérer chaque maison avoisinante mais elle n’avait pas pensé à faire un plan de l’intérieur de la mairie … Elle prit le premier couloir à sa gauche, tout en courant elle tenté de se repérer par apport à l’extérieur mais ce n’était pas évident. Enfin elle s’arrêta comme figée par la peur, une porte à l’autre bout du couloir venait de se faire entendre. Elle se retourna et se colla contre le mur. Du petit bureau sortit un homme, grand, fin, la cinquantaine bien bâtie, une valisette à la main. Lentement, à pas feutré, Gwénahan s’approcha, lorsqu’elle fût à un mettre de l’homme elle sortit son pistolet et le pointa en direction de la tête de l’homme, elle cria après lui

- " Hé, les mains sur la tête et retourne toi lentement vers moi "

L’homme s’exécuta, Gwénahan était dans l’ombre l’homme n’aurait pas pu apercevoir son visage, le viseur de son pistolet marquait une fine marque rouge sur le front de l’homme qui tremblait.

- " Bon, hum … *Et merde qu’est que jpeux bien lui dire moi ?* Au nord ouest de la ville dans le quartier chic, il y à un musé un ruine … "

Gwénahan ignorait totalement comment intimider l’homme pour qu’il lui file la maintenance du musée. Elle aurait eut besoin d’aide mais les autres l’avaient lâchée !

Lance attendit qu'elle entre dans le bâtiment pour sortir de sa cachette et la suivre le plus discrètement possible. Il entra dans la mairie, ses sens en alerte, marchant le long des murs en essayant de suivre d'une certaine distance Gwénahan qui courait. Il était difficile de se montrer discret dans un bâtiment inconnu et dans une totale noirceur, avec en plus des chaises invisibles pour vous barrer le chemin.

Il s'arrêta en même temps qu'elle, entendant les bruits de pas qui cessèrent puis continua d'avancer lentement. Il se trouvait au début du couloir et Gwénahan presque au bout, du moins si la silhouette noire qu'il avait aperçu pendant quelques secondes était la nouvelle recrue tant attirée par ce musée.

Comprenant un peu trop tard pourquoi elle s'était arrêtée, il se camoufla du mieux qu'il put dans l'ombre en voyant l'homme venir dans sa direction, mais ce fut inutile après l'intervention de Gwénahan. Il s'avanca dans le couloir, vers l'homme et la recrue.

"Désolé pour le retard." dit-il calmement. "On dirait que j,arrive juste au bon moment."

Il attrappa l'homme par un bras et lui tordit dans le dos. Lance passa son bras droit sous l'autre bras de l'homme et il lui placa sa lame sous la gorge. Espérant intimider l'inconnu d'avantage, il attendit que Gwénahan lui dise ce qu'il avait à dire.

Le bonhomme fut d'abord surpris par la demoiselle puis, et surtout, par l'agression venu de nulle part.
Un homme cette fois.

_Que voulez vous?
Vous ne trouverez pas d'argent ici!

Son don démontrait à la fois une certaine lacheté, celle de la peur de mourir, mais en même temps une certaine determination.
Le mélange des deux lui donnait, avec sa carrure, une certaine grandeur. Mais dans l'action, cela passerait sûrement inaperçu.

Gwénahan paniquait de plus en plus, ses mains tremblaient et ses lèvres ne voulaient plus prononcer mots. Soudain, la voix de lance se fit entendre et il prit la situation en main, l'employer paniquer tremblait alors de la même façon que la vampire quelques secondes au par avant.

-" Heureuse de te voir, je commençais à m'inquiéter "

Elle sourit mais dans la peine ombre il était impossible de distinguer quoi que ce soit de ses émotions. Elle approcha son visage de l'oreille du prisonnier et lui glissa :

-" on est là pour te forcer à faire quelques chose dont tu n'as pas envie !"

Elle ricana d'un rire sadique et enjoué à l'idée d'accomplir cette mission, elle fit alors signe à Lance de faire rentrer l'homme dans son bureau. Il l'assit sur une chaise, Gwénahan elle prit la place du chef derrière le bureau et se mit à fouiller dans les dossiers éparpillés un peu partout dans les tiroirs.

- " Bon alors droit au but j'ai pas que ça à faire ! Comme je le disais dans le couloir, dans le quartier chic de la ville il y à un musée ... Tu vas m'en donner la propriété ! Et n'éspere pas qu'on te grasse la patte pour ça, estime toi déjà heureux qu'on te laisse la vie sauve si tu te montre docile !"

Tout en parlant elle jouait avec un couteau coupe papier qu'elle faisait glissée entre ses doigts. Elle se leva alors et vint poser la pointe du couteau au coin de l'oeil de l'employer visiblement terrorisé, elle lui fit une petite entaille sur la joue qui se mit à saigner

-" Maintenant soit sage et fait ce qu'on te demande ! "

Lance fut étonné des paroles de la recrue. Elle s'inquiétait? Il haussa les épaules puis serra d'avantage le bras de l'homme dans son dos, l'immobilisant complètement. Il le tira ensuite jusqu'à son bureau, le menacant avec la lame sous sa gorge puis le fit s'asseoir.

Il sortit son beretta de son holster et le pointa sur l'homme, faisant en sorte qu'il reste assis bien sagement. Lance jeta un rapide regard autour, cherchant quelque chose des yeux. Il abandonna sa courte recherche et referma la porte d'un petit coup de pied.

"Nous ne sommes pas fichés dans les archives pourries de la Millice. Parler de tout ça aux autorités serait une perte de temps, ils ne nous retrouveront pas." Lance mentait, mais quand on a un pistolet sur la tempe, on préfère se la fermer. " Aussi, il est fort possible que vous ayez un contrat sur votre tête si vous décidez de jouer au plus malin... Faites ce qu'elle vous dit. Propriétaire du musée, tu rentres chez toi et tu vois tes gosses, si t'en a, ta femme et tu es bien heureux. Fais le mauvais choix et t'auras plus l'occasion de les voir... En fait ce sont eux qui ne te verront plus."

Lance, un sourire carnassier sur les lèvres, semblait s'amuser avec sa victime, mais restant tout de même correct en lui donnant deux choix. Un des deux était le bon, pourvu que le lascar ait été assez intimidé...

L'employé de mairie était terrorrisé par ses deux malades.

_Me...me faite pas de mal... J'vous en supplie!

Mais dans sa frayeur, il réussit à prononcer quelques phrases...
Cela pouvait sembler courageux d'affronter ainsi ses "bandits" à moins que ce ne soit de la lacheté pour les aider. Un peu des deux...

_E...Ecoutez... Ca servira à rien.

Il pensa rapidement. Euh...zut, pourquoi j'leur dit ca, moi?
Il se dépécha de prononcer ce qu'il avait à dire, afin que les agresseurs entendent tout et peut-etre le laisse en vie. La vitesse a laquelle il y prononcait, lui faisait perdre les begaiement de peur.
_L'acquisition d'une telle propriété demande plus qu'une simple signature sur un document! Il vous faudrait diverses autorisations de la mairie! Sans cela, même avec une signature, ca mènera à une enquête et à des problemes pour vous et moi.
Laissez tombez et on oublie tout ca! J'veut pas d'problème, juste vivre tranquille! S'il vous plait!

Il n'avais pas pensé que ne rien dire aurait mené à cette enquete et a leur arrestation alors que, apprenant cela, les "acheteurs du musée" pourraient vouloir se débarasser de lui.

[hum scuse j'étais absente! vraiment dsl vais me rattraper.]

kaluna suivit les deux nouvelles personnes a de connaissance. A vrai dire, en les suivant de trop loin elle les avait perdu, et avait du se débrouiller pour retrouver son chemin jusqu'a la mairie.
Finalement quand elle arriva la mairie était censé être fermé, apparent ses deux compagnons y était entré. L'aura de lance la guida jusqu'a eux.
Lorsqu'elle les retrouva tout deux était entrain d'agresser, un personnel de la mairie. Elle s'approcha nonchalante de Gwenahan et posa son regard sur l'homme apeuré.

Gwénahan se rassis sur le siége de l'employer, elle s'accouda au bureau et mit la tête entre ses mains

-"Et merde, merde, merde ... Bordel qu'est qu'on peut faire pour avoir se fichu musé ? ... ... Et si je trouve un mortel qui accepte de prendre mon nom ? Euh j'veux dire quelqu'un qui prendrais mon identité ? Un crétin quoi ? Il aurait l'inspection sur le dos à ma place et dés que c'est fini boum on s'en débarrasse ! Euh ... j'veux dire il peut partir ... Alors ? "

Gwénahan était suspendue aux lèvres de l'employer, ses idées se bousculaient dans sa tête au point qu'elle les mélangeaient toute et qu'elle en bégayait à son tour. Kaluna entra, elle la salua respectueusement d'un signe de tête et d'un geste de la main l'excusa de son retard. Elle se releva et se remit à fouiller dans les dossiers, cette fois dans une lourde armoire de fer posée contre le mur.

-"Bon réfléchissait bien à mon idée, si elle ne convient pas trouvait-en une autre ! Mais n'ouvrez pas la bouche avant d'avoir trouvé j'vous le conseil vivement ! Pendant se temps moi j'ai autre chose à cherché tant quj'y suis après tout ! "

Elle fouilla et retourna tout les dossiers qu'elle trouva, enfin elle sortit un gros dossier jaune.

-"Exanderla ... Ah enfin ... Et ben dit donc elle en à eut des proprios s'te piaule ! Bon alors pour ça tu ne vas pas me dire qu'il faut une enquête et tout l'tintouain quand même !?! Alors ... où on signe se fichu papelard que j'en finisse avec cette histoire ... Ah voilà ... Dé-li-thiel ... Voilàààà , c'est une bonne chose de faite et de un ! Alors as-tu trouvé pour le musé ? "

L'employée déglutit.
_Ecoutez ce genre de batiment public sont suvreillés par diverses agences et administration. Il vous faudrait les autorisations ou dérogations de chacunes d'elle dans les domaines dans lesquelles elles sont impliquées.
Un mécène généreux pourrait se voir confier la direction d'un tel musée, la mairie pouvant réaliser plusieurs des démarches pour le mécène. Ca se fait habituellement quand il s'agit d'un riche mécène.

Il déglutit à nouveau.
_La possession d'un tel batiment ne peut être acquise que par des voies officielles. Si vous voulez, on oublie tous ce qui se passe actuellement, vous revenz demain quand la mairie est ouverte et vous voyez avec mes collègues ce qu'il faut faire....

Il commençait à craquer légèrement.
_Ecoutez, moi, j'veut juste vivre tranquille, j'veut pas de problèmes...

Lance resta immobile, écoutant le lascar parler d'un air inintéressé. Il ignora l'entrée de Kaluna, écoutant toujours avec une moue dépitée. Il soupira longuement, faisant tourner son pistolet dans sa main. Il prit la parole sans regarder l'homme.

"Vous n'avez donc aucune réelle solution? Je déteste qu'on me fasse venir pour rien, en général je termine toujours ce que j'ai à faire. Un pot de vin généreux aux autorités suffirait-il? Ou bien devrons nous employer la force ou un autre moyen de corruption? Ne peuvent-il pas simplement le vendre?"

Trop de questions, trop de salive gaspillée, trop de temps...

"Comme je le disais, si vous n'avez aucune autre solution pour le moment, je me verrai dans l'obligation de vous castrer et de vous redemander cette question par la suite... Alors là si vous n'avez encore rien, nous sommes dans la merde, mais on ne vous aura plus dans les pattes." dit-il, approchant dangereusement sa lame vers la gorge de l'homme. Il descendit ensuite vers son pantalon, l'épée prête à le priver de ses parties génitales à tout moment... Il bluffait toujours, se donnant un air de meurtrier stupide, mais ils devaient être discrets.

L'homme s'affola.
_Hé! non, non... pas ça!
J'veut juste vivre tranquillement moi.

Il fit pas de pause et repris immédiatement après :
_Le pot-de-vin est une bonne solution... Y a pas mal de rumeurs de corruption sur les conseillers du maire, il accepterons facilement un pot de vin pour accéllér les choses et faciliter l'officialisation de la passation d'un batiment public à un... organisme privé.
S'il vous plait.... laissez moi partir, maintenant!

-" Organisme privé ... Hum hum ... Bon alors sayons clair, maintenant on va partir enfin quand je dis partir .. sache qu'on à toujours un oeil sur toi ! Demain dés l'ouverture, tu vas allé voir tes supérieurs et tu les préviendras de notre venue dans la soirée, dit leur qu'ils préparent tout, on refuse d'attendre ! Et previens-les bien qu'il doivent être seul et ... avec de grande poche ! "

Elle s'approcha alors de lance et lui fit signe qu'elle souhaitait s'en allé, avant d'ouvrir la porte elle se retourna et dit :

-" Demain, tu pourras te chargé de lui. Mais jusque là evitons de l'abîmer ! "

Elle ricanna. Tout trois partirent alors qu'ils traversaient le couloir, Gwénahan m'augréa :

-" Où on va trouver l'pognion pour les corromptres ? j'ai pas un rond en poche ! "

Elle fit une moue de dépit.


[hrp : on retourne au salon ? /hrp ]

-" A moins que ... ? Hum ... de toute façon nous trouverons une solution, j'ai déjà eus à faire plus d'une chose dégradante pour trouver de l'argent, je ne suis plus à une prêt ! "

Lance rengaina son wakizashi d'un air embêté.

"Très bien, maintenant ne parle pas de ce qui s'est passé à personne et tout ira pour le mieux. Pense pas à appeler les flics, on te surveillera et il y aura probablement quelques hommes près de chez toi, qui verront tes moindres faits et gestes. Maintenant, tire-toi."

Lance se leva et rangea son beretta dans son holster. Il resta quelques secondes à fixer le lascar, l'air neutre, puis sortit après les deux femmes, lancant un dernier regard derrière son épaule en ayant franchit la porte.

Il retrouva les deux jeunes femmes dans le couloir.

"Si Shintaro juge que c'est une bonne affaire, il paiera probablement, et nos "salaires" en souffriront. Vous êtes déjà nourrie et logée, j'crois que ça va être tout." dit-il à Gwénahan avec un sourire en coin.

Il baissa la voix.

"Aussi, évite de me tutoyer."

Ils retournèrent au manoir...

[Hj: Suite au salon ]

la deuxieme idée de kaluna fut suggéré par lance, l'idée de perdre un peu d'argent sur son salaire lui n'était pas si fatal. elle e contenta de continuer son chemin sans rien dire. mais la derniere phrase de Lance l'avait tout de meme un peu étonné, finalement cette demande ne la consernait pas tellement...

[suite au salon]

la deuxieme idée de kaluna fut suggéré par lance, l'idée de perdre un peu d'argent sur son salaire lui n'était pas si fatal. elle e contenta de continuer son chemin sans rien dire. mais la derniere phrase de Lance l'avait tout de meme un peu étonné, finalement cette demande ne la consernait pas tellement...

[suite au salon]